Journaliste Maire de Saint-Marcel-l'Eclairé, conseiller d'arrondissement Membre de la Commission administrative départementale (1941-1942)[11] Nommé conseiller départemental en 1942[12]
Élections cantonales de 2001 : Maurice Pouilly (UDF) est élu au 1er tour avec 53,58 % des suffrages exprimés, devant Marc Appriou (PRG) (26,71 %), Hervé de Penfentenyo (FN) (10,55 %) et Régis Chaduiron (PCF) (5,69 %). Le taux de participation est de 64,06 % (9 122 votants sur 14 239 inscrits)[14].
Élections cantonales de 2008 : Jacques Larrochette (Divers droite) est élu au 2e tour avec 58,64 % des suffrages exprimés, devant Thomas Chadoeuf (PRG) (41,36 %). Le taux de participation est de 52,06 % (8 085 votants sur 15 530 inscrits)[15].
À l'issue du 1er tour des élections départementales de 2015, deux binômes sont en ballottage : Annick Guinot et Bruno Peylachon (Union de la Droite, 43,67 %) et Jean-Marc Chevillard et Isabelle Coquard (FN, 31,53 %). Le taux de participation est de 47,52 % (9 287 votants sur 19 542 inscrits)[17] contre 48,95 % au niveau départemental[18] et 50,17 % au niveau national[19].
Au second tour, Annick Guinot et Bruno Peylachon (Union de la Droite) sont élus avec 64,63 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 47,39 % (5 456 voix pour 9 259 votants et 19 539 inscrits)[20].
Le premier tour des élections départementales de 2021 est marqué par un très faible taux de participation (33,26 % au niveau national)[21]. Dans le canton de Tarare, ce taux de participation est de 30,77 % (6 189 votants sur 20 111 inscrits)[22] contre 32,35 % au niveau départemental[23]. À l'issue de ce premier tour, deux binômes sont en ballottage : Annick Lafay et Bruno Peylachon (Union à droite, 62,82 %) et Éric Bouhana et Kristin Zimmerman (Union à gauche avec des écologistes, 20,99 %)[22].
Le second tour des élections est marqué une nouvelle fois par une abstention massive équivalente au premier tour. Les taux de participation sont de 34,36 % au niveau national[24], 33,07 % dans le département[23] et 31,36 % dans le canton de Tarare[22]. Annick Lafay et Bruno Peylachon (Union à droite) sont élus avec 76,67 % des suffrages exprimés (4 611 voix pour 6 309 votants et 20 118 inscrits)[22],[25],[26].
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La pyramide des âges, à savoir la répartition par sexe et âge de la population, du canton de Tarare en 2009[29] ainsi que, comparativement, celle du département du Rhône la même année[30] sont représentées avec les graphiques ci-dessous.
La population du canton comporte 49 % d'hommes et 51 % de femmes. Elle présente en 2009 une structure par grands groupes d'âge similaire à celle de la France métropolitaine[Note 2].
Il existe en effet 111 jeunes de moins de 20 ans pour cent personnes de plus de 60 ans, soit un indice de jeunesse[Note 3] de 1,11, alors que pour la France cet indice est de 1,06. L'indice de jeunesse du canton est par contre inférieur à celui du département (1,22) et à celui de la région (1,15)[31].
Pyramide des âges du canton de Tarare en 2009 en pourcentage[29].
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,2
90 ans ou +
1,3
7,2
75 à 89 ans
10,8
13,6
60 à 74 ans
14,3
19,8
45 à 59 ans
18,6
21,2
30 à 44 ans
20,1
17,1
15 à 29 ans
15,2
20,9
0 à 14 ans
19,7
Pyramide des âges du département du Rhône en 2009 en pourcentage[32].
↑Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[16].
↑L'âge est la durée écoulée depuis la naissance. Il peut, selon l'Insee, être calculé selon deux définitions : l'âge par génération (ou âge atteint dans l'année ou encore âge en différence de millésimes), qui est la différence entre l'annLes résultats du recensement de la population sont désormais présentés en utilisant l'âge en années révolues.
↑L'indice de jeunesse est égal à la division de la part des moins de 20 ans par la part des plus de 60 ans.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.
Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne)
Claude Motte, Isabelle Séguy et Christine Théré, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : les communes de la France, Paris, Ined, , 407 p. (ISBN978-2-7332-1028-4, lire en ligne).