Cepoy

Cepoy
Cepoy
La mairie.
Blason de Cepoy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loiret
Arrondissement Montargis
Intercommunalité Agglomération montargoise et rives du Loing
Maire
Mandat
Régis Guerin
2020-2026
Code postal 45120
Code commune 45061
Démographie
Gentilé Cepoyennes, Cepoyens[1]
Population
municipale
2 373 hab. (2021 en évolution de +0,81 % par rapport à 2015)
Densité 279 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 50″ nord, 2° 44′ 16″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 114 m
Superficie 8,52 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Montargis
(banlieue)
Aire d'attraction Montargis
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châlette-sur-Loing
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Cepoy
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Cepoy

Cepoy est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune de Cepoy et des communes limitrophes.

La commune de Cepoy se trouve dans le quadrant nord-est du département du Loiret, dans la région agricole du Gâtinais pauvre[2]. À vol d'oiseau, elle se situe à 63,8 km d'Orléans[3], préfecture du département, à 5,3 km de Montargis[4], sous-préfecture, et à 3,8 km de Châlette-sur-Loing, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Montargis[5]

Les villes les plus proches sont : Girolles (2,3 km), Corquilleroy (3 km), Châlette-sur-Loing (3,8 km), Paucourt (4,4 km), Montargis (5,3 km), Pannes (6,1 km), Gondreville (6,2 km), Ferrières-en-Gâtinais (6,5 km), Villemandeur (6,5 km), Treilles-en-Gâtinais (6,7 km) et Fontenay-sur-Loing (6,9 km)[6].

Communes limitrophes de Cepoy
Girolles Fontenay-sur-Loing
Corquilleroy Cepoy Paucourt
Châlette-sur-Loing – Lancy

Géologie et relief

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La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques[7].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années, et du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. La formation la plus ancienne est de la craie blanche à silex remontant à la période Crétacé. La formation la plus récente est des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°329 - Château-Landon » et « n°365 - Montargis » de la carte géologique au 1/50 000ème du département du Loiret[8],[9] et leurs notices associées[10],[11].

Carte géologique de la commune
Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - 66.0)
Quaternaire
(0 - 2.58)
Holocène
Fz  : alluvions récentes des lits mineurs, Holocène
Fy  : alluvions récentes des levées et montilles de la Loire et des basses terrasses du Loing, Holocène
Pléistocène
qOE  : Limons et Loess, Quaternaire
Néogène
(2.58 - 23.03)
Pliocène  non présent
Miocène  non présent
Paléogène
(23.03 - 66.0)
Oligocène
g1CEt  : calcaire d'Étampes, Stampien supérieur
Éocène
e4PN  : poudingue de Nemours, Paléocène-Éocène inférieur
Paléocène
e1-4Rc  : complexe argilo-sableux à silex = argiles à silex, Paléocène-Éocène inférieur
Mésozoïque
(66.0 - 252.17)
Crétacé
(66.0 - ≃145.0)
c5Cr  : craie blanche à silex, Campanien

La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 8,52 km2[12],[Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 8,44 km2[9]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 37 mètres. L'altitude du territoire varie entre 77 m et 114 m[15].

Hydrographie

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Cepoy est traversée par deux voies d'eau :

  • à la lisière du bourg historique et au pied de la pente occidentale de la vallée du Loing, le canal du Loing, qui est navigable ;
  • à l'écart du bourg, à environ 300 mètres à l'Est, le Loing, rivière affluent de la rive gauche de la Seine, aujourd'hui non navigable, franchi par un pont nommé « pont de la Girafe »[16].

Lieux-dits et écarts

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Le Bourg, Montenon, Montigny Rapine, le Moulois, les Murgères, le Parc, Puy-la-Laude, le Tranchoir, les Vallées.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 689 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[17]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune d'Amilly à 8 km à vol d'oiseau[19], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 642,8 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Milieux naturels et biodiversité

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Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Cepoy comprend une ZNIEFF[23].

La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 2[Note 2], dénommée forêt de Montargis, d'une superficie de 4 598 hectares, est répertoriée depuis 1985-86 pour ses intérêts écologiques et faunistiques. Elle s'étend sur 9 communes, dont Cepoy pour la frange nord-ouest de la ZNIEFF correspondant à la partie est de la commune[24]. Son altitude varie entre 88 et 133 m[25]. Le chêne est l'essence la plus représentée, toutefois, la chênaie-hêtraie est présente sous forme de stations de faible superficie. La flore se caractérise par la présence de végétaux associés aux sols acides comme la callune (Calluna vulgaris), la violette des chiens (Viola canina) ou la myrtille (vaccinium myrtillus), et aux sols neutres à légèrement alcalins sur calcaire ou marne (Rosa micrantha, la scille à deux feuilles (Scilla bifolia), le céphalanthère à longues feuilles (Cephalanthera longifolia), le gaillet odorant (Galium odoratum)[26]. Un réseau complexe de mares (toutes ne sont pas en eau la même année) conduit à de notables déplacements d'amphibiens en période de reproduction. Le nord-est du massif est ainsi directement concerné. Le nord du massif, nettement relié à la vallée de la Clairis correspond également à un secteur de mouvements importants de mammifères grands et petits ainsi que pour l'avifaune. L' intérêt pour les chiroptères semble s'être déplacé durant les années vers la vallée de la Clairis[26]. La forêt de Montargis est gérée par l'Office national des forêts[27].

Préhistoire

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La Pierre-aux-Fées

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Avec sa position dans le Bassin parisien et dans la vallée du Loing, la station de la Pierre-aux-Fées[28] est l'un des sites les plus importants du Paléolithique final pour les contacts entre le nord et le sud de la plaine européenne centrale et occidentale[29]. Son occupation date du Magdalénien supérieur et final[30] mais avec des particularités.

Bien conservée, elle a fourni une industrie lithique incluant des pointes à cran hambourgiennes, des pointes à dos anguleux très proches des pointes hambourgiennes, des perçoirs de type Zinken (les rares perçoirs très fins étant sur éclats), d'étroits grattoirs sur bout de lame à front très plat. Les silex sont façonnés par débitage laminaire de nucleus aménagés, souvent bipolaires. Il y a très peu de lamelles à dos rabattu, ce qui distingue cet ensemble du Magdalénien final. Mais il se distingue aussi du Hambourgien pur par l'absence de formes microlithiques et le fait que les grattoirs sont plus étroits et leur plan de travail plus plat que celui des grattoirs hambourgiens[29].
Plusieurs auteurs (Schmider, 1971[31] ; Tromnau, 1981[32] ; Kobusiewicz 1983 ; Allain, 1989[33]) ont proposé l’existence de contacts entre le Hambourgien et notamment le Magdalénien du Bassin parisien, sur la base de la présence régulière de pointes lithiques évoquant entre autres les pointes à cran hambourgiennes qui, dans certains inventaires, l'emportent même sur les lamelles à dos, armatures typiques du Magdalénien. L'industrie lithique du locus 7 du Tureau des Gardes (Marolles-sur-Seine[34]) présente les mêmes caractéristiques hambourgiennes que celle de la Pierre-aux-Fées[35].

La même époque a fourni une plaquette gravée représentant une tête de cheval délicatement dessinée[29] de 4 cm de long[36].

Deux foyers de la couche IV dans le secteur 2 indiqueraient l'emplacement d'une structure d'habitat[37].

En 1983 la station de la Pierre-aux-Fées est en cours de fouille[29].

Sites proches

Un autre site du Paléolithique supérieur est découvert fin septembre 1974[38] au lieu-dit La Maison Blanche[39],[40] à 2,4 km[39] au nord[38] sur la commune de Fontenay-sur-Loing[41]. Malgré la proximité avec la Pierre-aux-Fées, la Maison Blanche est un site du Magdalénien typique, sans tendances hambourgiennes[38].

Un peu plus éloignés, à 50 km au nord se trouvent le grand site magdalénien de Pincevent et ceux de Marolles-sur-Seine (Seine-et-Marne). Le site de Marsangy (Yonne) est à un peu moins de 50 km à l'est.

Le Chalat

Établissement rural occupé entre le Ier siècle avant notre ère et le Ier siècle de notre ère[42].

Cepoy fut, jusqu'au milieu du XIVe siècle, le siège d'un bailliage qui fut transféré à Montargis en raison de l'essor pris par cette cité, en raison de la fréquentation royale de son château.

Temps modernes

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Un relais de poste a existé jusque dans la seconde moitié du XVIIIe siècle au hameau de Puy la Laude, en contrebas du tracé actuel de la route nationale 7, à la lisière ouest de la forêt de Montargis.

En 1743, Cepoy fut érigée en marquisat sous Louis XV, au profit de Guillaume Bouvier de La Motte (1686-1759), petit-neveu de Madame Guyon, célèbre mystique amie et correspondante de Fénelon.

La physionomie du château de Cepoy (qui héberge aujourd'hui une école des Compagnons du devoir), date à peu près de cette époque, la construction d'origine, datant du règne de François Ier, ayant été fortement remaniée.

La gare de Cepoy sur la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache est mise en service vers 1888 par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM). Elle était encore en service en 1975, elle a été fermée et détruite depuis.

Héraldique

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Blason de Cepoy

Les armes de Cepoy se blasonnent ainsi :

De gueules à un chevron d'or accompagné de trois trèfles du même[43].

(armoiries de la famille Bouvier de La Motte, marquis de Cepoy)[44]

Au , Cepoy est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[45]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montargis[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[46],[47]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montargis, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[47]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[48],[49].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (43,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (53,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,7 %), zones urbanisées (23,3 %), forêts (20,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,5 %), eaux continentales[Note 6] (4,4 %)[50].

L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Organisation urbaine

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La commune est traversée par la vallée du Loing qui est limitée en rive gauche par le canal du Loing, et en rive droite par la RD 240 et la voie S.N.C.F. et mitée par diverses anciennes sablières. L'urbanisation s'est développée des deux côtés de la vallée, quelques équipements dont la mairie étant cependant implantés sur une île entre deux bras de la rivière.

Voies de communication et transports

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Réseau routier principal de la commune de Cepoy (avec indication du trafic routier 2014).

La commune est desservie par les transports en commun de l'agglomération montargoise.

Risques naturels et technologiques

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La commune de Cepoy est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement du Loing), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses [51]. Entre 1999 et 2019, quatre arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune de Cepoy : trois pour des inondations et coulées de boues et un pour des mouvements de terrains[52].

Carte de l'aléa retrait-gonflement des argiles concernant la commune de Cepoy

Risques naturels

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Les constructions exposées au risque d'inondation pour une crue centennale représentaient en 2007 environ 40 logements, soit près de 110 habitants, quelques bâtiments à usage d’activités (commerce, moulin), des établissements recevant du public et plusieurs équipements sensibles (mairie, camping, avenue du Château…)[53]. Les crues du Loing ont essentiellement lieu aux mois de décembre, janvier et février, qui concentrent l’ensemble des crues majeures, plus rarement en automne (octobre 1896), et au printemps (mai 1836). Les deux crues de référence sont celles de janvier 1910 (3,16 m à Montargis) et de mai-juin 2016 (3,36 m à la même station)[54],[55]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) Agglomération montargoise et Loing Aval approuvé le par arrêté préfectoral et modifié en 2013 pour la commune de Dordives[56].

Le territoire de la commune peut également être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[57].

Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[58]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[59].

Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante[60]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[52].

Risques technologiques

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La commune est concernée par le risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (l'autoroute A77 et la route départementale D740)[51],[61].

Politique et administration

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Découpage territorial

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Bloc communal : Commune et intercommunalités

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La paroisse et bourg de Cepoy acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[62] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[63]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[64].

Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[65].

Localisation de la commune de Cepoy dans la communauté d'agglomération Agglomération Montargoise et Rives du Loing.

Initialement constitué par arrêté préfectoral le , le district urbain de l’agglomération Montargoise, le plus ancien district de France, regroupait huit communes dont la commune de Cepoy. Celui-ci avait des compétences réduites : ordures ménagères, transports, service départemental d’incendie et de secours (SDIS) et assainissement. La communauté d’agglomération a été créée dans l’optique d’avoir une mutualisation des moyens. En application des dispositions de la loi no 99-586 du relative au renforcement et à la simplification de la coopération intercommunale, le district s’est transformé en communauté d’agglomération qui a pris le nom de « Agglomération Montargoise et Rives du Loing » par arrêté préfectoral du . Les statuts dont été adoptés le [66]. La commune appartient à d'autres établissements publics de coopération intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le découpage territorial de ces structures est en constante évolution dans une perspective de rationalisation et d'efficience des services[Note 7].

La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe), visant une réduction du nombre d'intercommunalités en France, fait passer de 5 000 à 15 000 habitants, sauf exceptions, le seuil démographique minimal pour constituer une intercommunalité et a un impact sur les périmètres des intercommunalités du département du Loiret dont le nombre passe de 28 à 16. Mais la communauté d'agglomération Agglomération Montargoise et Rives du Loing, dont la population totale dépasse le nouveau seuil minimal, ne voit pas son périmètre changer[67] et la commune de Cepoy en reste donc membre. Cette loi a toutefois un impact sur ses compétences avec l'attribution de nouvelles compténces comme de la gestion des milieux aquatiques et de la prévention des inondations à partir du [68].

Circonscriptions de rattachement

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Sous l'Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Cepoy était rattachée sur le plan ecclésiastique à l'ancien diocèse de Sens[69] et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[70].

La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Cepoy est alors incluse dans le canton de Montargis, le district de Montargis et le département du Loiret[71].

La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838[72]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[73]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes[74]. L'acte II intervient en 2003-2006[75], puis l'acte III en 2012-2015.

Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Cepoy aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

Circonscription Nom Période Type Évolution du découpage territorial
District Montargis 1790-1795 Administrative La commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[65],[71]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[76].
Canton Montargis 1790-1801 Administrative et électorale En 1790, lors de la création des cantons, districts et départements, la commune de Cepoy est rattachée au canton de Montargis[65]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du 26 juin 1793, et ne conservent qu'un rôle électoral[76]. Ils permettent l’élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[77]. Ils acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
Montargis 1801-1973 Sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[78]. Cepoy est alors rattachée au canton de Montargis par arrêté du 9 vendémiaire an X (30 septembre 1801)[79],[65].
Châlette-sur-Loing 1973-2015 En 1973, la commune est rattachée au canton de Châlette-sur-Loing, un canton issu de la division de l'ancien cantonde Montargis[80],[81].
Châlette-sur-Loing 2015- Électorale La loi du [82] et ses décrets d'application publiés en février et [83] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au canton de Châlette-sur-Loing[83]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement une circonscription électorale dédiée à l'élection d'un binôme de conseillers départementaux siégeant au conseil départemental[84].
Arrondissement Montargis 1801- Administrative Cepoy est rattachée à l'arrondissement de Montargis depuis sa création en 1801[65],[79].
Circonscription législative 4e circonscription 2010- Électorale Lors du découpage législatif de 1986, le nombre de circonscriptions législatives passe dans le Loiret de 4 à 5. Un nouveau redécoupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siège de député « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par département varie désormais de 1 à 21[85],[86]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq à six[87]. La réforme n'affecte pas Cepoy qui reste rattachée à la quatrième circonscription[88].

Collectivités de rattachement

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La commune de Cepoy est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[89], à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales.

Politique et administration municipales

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Conseil municipal et maire

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Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Cepoy, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[90], pour un mandat de six ans renouvelable[91]. Il est composé de 19 membres[92]. L'exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1791 ? Pierre Bizieux    
1871 ? Guillaume Lacroix Gauche radicale Entrepreneur en travaux publics
Conseiller général du canton de Ferrières (1877-1901)
1955 mars 1977 Georges Petit    
mars 1977 mars 1989 Jean Bezeault    
mars 1989 juin 1995 Jean Lamy    
juin 1995 mars 2008 Paul Ferrari DVD Médecin
Vice-président de la communauté d’agglomération montargoise (2001-2008)
mars 2014 mai 2020 Jean-Paul Schouleur[93]   retraité
mai 2020 En cours Régis Guerin[93],[94]   Ancien cadre
Les données manquantes sont à compléter.

En 2008, la commune a reçu le label « Ville Internet »[95].

Drapeau de la Suède Dals-Ed (Suède).

Équipements et services

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Environnement

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Gestion des déchets

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En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de ramassage et de traitement des ordures ménagères (SMIRTOM) de Montargis, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 8], des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[96]. Un réseau de trois déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche de la commune est située sur la commune d'Amilly[97].

Le SMIRTOM de Montargis procède également à l'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective dans l'unité d'Amilly, construite en 1969. Une convention de délégation du service public de traitement a été conclue en 2013 avec la société Novergie Centre, filiale énergie du Groupe Suez pour la valorisation énergétique des déchets[98].

Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté d'agglomération Agglomération montargoise et rives du Loing en application de la loi NOTRe du [99].

Production et distribution d'eau

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Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[100]. La commune de Cepoy a délégué la gestion du service au syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable de la région du Puy la Laude, un syndicat créé en 1957 desservant cinq communes : Cepoy, Corquilleroy, Fontenay-sur-Loing, Girolles et Paucourt[101],[102],[103]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal relèvent désormais de la compétence de la communauté de l'agglomération montargoise et des rives du Loing (A.M.E.) qui assure la représentation-substitution des communes adhérentes au SIAEP, dont Cepoy, au sein de celui-ci. 7 497 habitants étaient desservis par le syndicat en 2015 (7 473 au 31/12/2014)[104]. Les trois ressources sont les deux forages situés sur la commune de Cepoy et le puits de l’Abymes sur la commune de Paucourt. Le volume prélevé en 2015 atteint 588 064 m3 d'eaux brutes. Le volume d'eau consommée s'élève en 2015 à 369 215 m3 et est distribuée à 4 197 abonnés dont 1 424 sur la commune de Cepoy[105].

Assainissement

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La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte[106], est également assurée par l'A.M.E.[107],[108],[109] qui dispose ainsi en 2015 d’un réseau de 384,8 km, de 11 737 regards de visite et de 145 postes de relevage et de trois stations d’épuration principales situées à Chalette-sur-Loing, à Amilly et à Vimory[110]. La commune est raccordée à la station d'épuration située sur le territoire de la commune de Chalette-sur-Loing, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 85 000 EH, soit 16 700 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d'épuration biologique dit « à boues activées ». Son exploitation est assurée en 2017 par la Lyonnaise des Eaux Amilly[111],[112].

Certaines rues de la commune ne sont pas desservies par le réseau d’eaux usées (réseau d’assainissement collectif) de l’Agglomération montargoise et les habitations doivent dès lors être pourvues d’un système d’assainissement individuel. L’assainissement non collectif (ANC) désigne ces installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[113]. L'agglomération montargoise assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[114],[110].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[115]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[116].

En 2021, la commune comptait 2 373 habitants[Note 9], en évolution de +0,81 % par rapport à 2015 (Loiret : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7758647988659259729491 0201 029
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9711 0121 0111 0031 0019879431 021954
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9109159911 1311 3711 3651 3681 4811 723
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 6641 5841 5431 8561 9932 0642 2922 3442 366
2021 - - - - - - - -
2 373--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[117] puis Insee à partir de 2006[118].)
Histogramme de l'évolution démographique

Elle est située dans l'aire urbaine de Montargis.

Comme dans la majeure partie de l'Orléanais et du Gâtinais, la survenue du phylloxéra, à la fin du XIXe siècle, a profondément modifié la sociologie de la commune. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, une bonne moitié des chefs de famille étaient qualifiés de vignerons (activité sans doute non exclusive). Aujourd'hui, l'activité viticole a complètement disparu, hormis pour de rares usages domestiques.

Parallèlement, le développement des établissements Hutchinson, dans la commune voisine de Châlette-sur-Loing, a parachevé le déclin des activités agricoles dans la commune.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L’église Saint-Loup datant de la fin du XIe siècle et de la première moitié du XIIe siècle, fut restaurée à la fin du XIXe siècle.
    Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 29 décembre 1981.[119] ;
  • Le gisement préhistorique de la Pierre-aux-Fées de 2 000 m2, du paléolithique supérieur, au lieu-dit la Grosse-Pierre.
    Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 26 octobre 1977.[120] ;
  • L’ancienne maison du directeur général des canaux d'Orléans et du Loing ou maison des seigneurs du canal, commandée avant 1692 par Nicolas Cadot et construite dans les deux ou trois décennies suivantes. Elle abrite aujourd'hui l'auberge de jeunesse.
    Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 3 mai 1999.[121]
  • Château, détruit en 1358 pendant la guerre de Cent Ans et reconstruit à la fin des XIVe et XVIIe siècles[122] ;
  • Le moulin de l'Écluse datant de 1530 et le moulin Neuf de 1830 ;
  • Plusieurs écluses ;
  • La forêt domaniale de Montargis ;
  • Les rives du Loing ;
  • Une cité ouvrière de Cepoy, construite par les architectes Raguenet et Maillard, a fait l'objet d'un article dans la revue L'Architecture en 1923[123] ;
  • Le viaduc du Loing, pont métallique de type bipoutre franchissant le Loing entre la commune et Fontenay-sur-Loing.

Personnalités liées à la commune

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  • Raoul Nordling (1881-1962), consul de Suède à Paris sous l'occupation, est enterré à Cepoy[124], où il séjournait fréquemment et où sa sœur Alice Fiévet vivait dès avant la Première Guerre mondiale ;
  • Rémy Julienne, cascadeur français, né à Cepoy le et enterré au cimetière de Cepoy ;
  • Franck Gava, ancien joueur international de football né en 1970, est originaire de Cepoy où il a commencé sa carrière ;
  • Stéphane Robert, joueur de tennis professionnel, né en 1980, ayant atteint la 61e place mondiale en 2010 ;
  • Eddie Kuligowski, photographe français, y est décédé le 15 janvier 2021 et y est inhumé.

Manifestations

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Fête du village : fête Saint-Loup le premier week-end de septembre. Spectacles, retraite aux flambeaux, feu d'artifice, etc.

Le nom « Cepoy », habituellement prononcé /se.pwa/ jusque dans la première moitié du XXe siècle, a inspiré l'un des noms de plume – « Jacques Cépoy » (avec un accent) – du journaliste Pierre Pujo, qui avait quelques racines maternelles à Ferrières-en-Gâtinais, mais aussi à Mignères et Pannes ; le nom du « haras de Cepoy », un élevage de chevaux lipizzan situés à Loches (Indre-et-Loire), propriété de Chantal Bouvier de Lamotte, Miss France 1972.

La commune possède plusieurs labels :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Montargis comprend trois villes-centres (Amilly, Châlette-sur-Loing et Montargis) et cinq communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. La commune peut faire partie de diverses autres intercommunalités qui ne sont pas représentées : des syndicats (syndicats intercommunaux à vocation unique(SIVU), (syndicats intercommunaux à vocation multiple(SIVOM), syndicats mixtes) ou d’autres regroupements intercommunaux (programme local de l'habitat (PLH), contrat local de santé (CLS), centre intercommunal d'action sociale (CIAS).
  8. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
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Références

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  16. On ne dispose pas de preuve tangible d'un lien entre le nom de ce pont et le voyage retentissant, au printemps 1827, du convoi pédestre conduisant la girafe offerte à Charles X par Méhémet Ali de Marseille à Paris, mais il n'existe également aucune preuve rendant plausible toute autre explication sur le nom de ce pont.
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Bibliographie

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  • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
  • Collectif, Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
  • Abbé Patron, Département du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, Comédit, 1991, réédition de 1870, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
  • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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