Chalampé

Chalampé
Chalampé
La mairie.
Blason de Chalampé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Mulhouse
Intercommunalité Mulhouse Alsace Agglomération
Maire
Mandat
Hugues Hartmann
2022-2026
Code postal 68490
Code commune 68064
Démographie
Population
municipale
987 hab. (2021 en évolution de +3,35 % par rapport à 2015)
Densité 207 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 49′ 17″ nord, 7° 32′ 31″ est
Altitude Min. 211 m
Max. 217 m
Superficie 4,77 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rixheim
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Chalampé
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Chalampé
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Chalampé
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Chalampé

Chalampé est une commune française de la région mulhousienne située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Le nom allemand est Eichwald.

Ses habitants sont appelés les Chalampéens et les Chalampéennes.

Géographie

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Village de l'arrondissement de Mulhouse et du canton d'Illzach situé près du pont du Rhin. Près du village se trouve également l'autoroute A36, qui relie Ottmarsheim à Saint-Jean-de-Losne.

Communes limitrophes de Chalampé
Rumersheim-le-Haut
Bantzenheim Chalampé Le Rhin Neuenburg am Rhein
(Drapeau de l'Allemagne Allemagne)
Bantzenheim Bantzenheim

Écarts et lieux-dits

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  • Chalampé le Bas, à quelques kilomètres au nord du village principal.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Grand canal d'Alsace, le Rhin, le ruisseau du Muhlbach de la Hardt et un autre petit cours d'eau[1],[Carte 1].

Le Grand canal d'Alsace, d'une longueur de 93 km, prend sa source dans la commune de Schœnau et se jette dans le Rhin à Erstein, après avoir traversé 31 communes[2].

Le Rhin, long de 1 233 km est le plus long fleuve se déversant dans la mer du Nord et de l'une des voies navigables les plus fréquentées du monde. Il traverse la Suisse, l'Autriche, l'Allemagne et les Pays-Bas et marque la frontière entre l'Allemagne et la France[3].

Le ruisseau du Muhlbach de la Hardt, d'une longueur de 38 km, prend sa source dans la commune de Ottmarsheim et se jette dans le canal de Neuf-Brisach à Biesheim, après avoir traversé 15 communes[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Chalampé[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phréatique rhénane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piémont oriental du Sundgau, les canaux situés entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Le périmètre s’étend sur 3 596 km2. Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[5].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 673 mm, avec 7,7 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Colmar-Meyenheim », sur la commune de Meyenheim à 17 km à vol d'oiseau[8], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 595,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Au , Chalampé est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (29,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (29,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (29,8 %), eaux continentales[Note 4] (23,5 %), terres arables (20,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,2 %), zones urbanisées (8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
  • Cette commune s'appelait précédemment Eichwald[18].
  • Schalampé (Cassini), Chalampé (1793).
  • En alsacien : Schàlàmpi.

Cette localité appartient d'abord à la ville de Neuenburg am Rhein (pays de Bade), située sur la rive droite du Rhin. Le Rhin marquait la frontière entre le Saint-Empire romain germanique et le royaume de France. En raison des crues du fleuve dont le cours changeait, le lieu faisait partie tantôt du ban de Neuenburg, tantôt de celui de Bantzenheim[19]. C'est grâce à la correction du Rhin supérieur au XIXe siècle, commencée par l'ingénieur Johann Gottfried Tulla, que la frontière a été stabilisée.

Pendant la Guerre de Succession d'Espagne, une bataille a lieu sur le territoire en 1709. Elle oppose une armée du Saint-Empire romain germanique à une armée du royaume de France. Le Feldmarschall Mercy, à la tête de 30 000 hommes venant de Bâle, campe près d'une métairie appelée Gestifshof, située au milieu d'une forêt de chênes, propriété de la ville de Neuenburg am Rhein. Le maréchal du Bourg, campant avec 15 000 hommes à Rumersheim-le-Haut, attaque les Autrichiens et les bat. La forêt est éclaircie et quelques familles qui avaient suivi l'armée française vont s'établir dans le lieu même, où se forme petit à petit un hameau qui est d'abord appelé Eichwald (en français chênaie)[19]. Il ne prend le nom de Chalampé qu'en 1735.

Le 1er septembre 1870, durant guerre franco-allemande de 1870, eut lieu l'affaire de Chalampé-sur-le-Rhin où la garde nationale mobile du Haut-Rhin fut engagée contre les troupes allemandes[réf. nécessaire].

Seconde Guerre mondiale

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Entre 1939 et 1940, le village est évacué et toute la population se réfugie dans les Landes. Le village est détruit en 1944 par les Allemands, qui veulent effacer toute trace de la présence française. Le village ne sera libéré que le 9 février 1945.

Le développement de la commune

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À partir des années cinquante, la commune va se développer avec la création de grands travaux : le grand canal d'Alsace, et ses usines hydroélectriques de Fessenheim et d'Ottmarsheim. Il y a aussi de nombreuses industries qui seront créées le long du Rhin. Les infrastructures routières, notamment l'A35, permettent aux habitants d'exercer leur profession à Mulhouse, à Bâle ou encore en Allemagne. La population a quasiment augmenté de 400 % avec l'implantation de nouvelles industries dans la commune.

Blockhaus en béton situé dans les bois
La casemate n°111 en 2012

En , l'île du Rhin est pressentie pour recevoir des injections de saumure, en provenance des Mines de potasse d'Alsace, dans les couches profondes du sol[20]. Les élus locaux[20], puis la population se mobilisent contre le projet en occupant le site[21]. Ils reçoivent le soutien du syndicat CGT des mineurs et de Louis-André Sackmann[20], un universitaire strasbourgeois à la retraite, spécialiste de la mécanique des fluides[22]. Les manifestants installent leur quartier général dans la Casemate n°111, un blockhaus, et y demeurent 284 jours jusqu'à ce que le projet soit finalement abandonné[21].

Origine du nom

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Eichwald signifie chênaie. Le nom d'Eichwald apparait dans les textes vers 1720 et est exclusivement utilisé par les administrations allemandes après la nomination par l'administration française d'un bailly à Neuenburg am Rhein et de la création par cette ville de la seigneurie dite d'Eichwald ou Chalampé. Un texte décrit un lieu géographique composé d'une île couverte de chênes appartenant à la ville allemande de Neuenburg.

Panneau bilingue.

Le nom de Chalambé apparaît dès 1717 dans divers documents du conseil souverain d'Alsace liés à la création du village après la bataille de Rumersheim le 26 août 1709. Avant cette date, on ne trouve pas de trace des appellations Chalampé ou Eichwald ; le lieu où s'est implanté le village de Chalampé était partagé entre l'île de Neuenburg délimitée par divers bras du Rhin et le Bantzenheimerwald.

Le vocable chalambé est probablement une transcription phonétique du mot alémanique schlamper par les Français restés en ces lieux, soldats et accompagnateurs de l'armée du roi de France Louis XIV de France. Le mot (cf. l'allemand schlampig, Schlampe) décrit une personne d'apparence négligée et pauvre[19]. Ce nom de Chalampé est resté attaché au village nouvellement créé sous diverses formes jusqu'en 1871 : Chalambé (1717), Chalambey, Choulampé, Chalampé (1720), Schlampé (1840), Chalampé (1918).

De 1871 à 1918, l'administration allemande d'Alsace-Lorraine donnera au village le nom d'Eichwald, mais l'appellation courante restera l'expression alsacienne « schalampi »[23].

De 1940 à 1945, l'administration nazie redonnera au village le nom d'Eichwald.

Chalampé retrouvera son nom d'origine dès le 9 février 1945, date de sa libération.

Héraldique

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Blason de Chalampé

Les armes de Chalampé se blasonnent ainsi :
« De gueules à la bande d'or accostée de deux branches de chêne de même englantées d'argent. »[24]

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1852 1867 Pierre Lucas   Cultivateur
1867 1874 Georges Wolff   Cultivateur
1874 1882 François Louis Birgy   Vannier
1882 1896 Hubert Hug    
1896 1941 Pierre Émile Lucas   Aubergiste
1941 1945 Joseph Wolff    
1945 1953 Joseph Koessler    
1953 1975 Émile Hunsinger    
1975 2001 Armand Schweitzer    
mars 2001 juillet 2020 Martine Laemlin-Delmotte UDI-NC Professeure d'allemand
Conseillère régionale d'Alsace (2010 et 2014 → 2015)
Conseillère régionale du Grand Est (2015 → 2021)
juillet 2020 décembre 2021
(démission)
Christine Dupont-Dufeutrelle[25]    
janvier 2022[26] En cours Hugues Hartmann    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 987 habitants[Note 5], en évolution de +3,35 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
256251225265308302313309340
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
342339345340324312311337323
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
309357332333343338348222296
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3706018731 0341 011966888967950
2021 - - - - - - - -
987--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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Église Saint-Wendelin

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L'église Saint-Wendelin.

Statue de saint Wendelin

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Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Chalampé » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Chalampé », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. Sandre, « le Grand canal d'Alsace »
  3. Sandre, « le Rhin »
  4. Sandre, « le ruisseau du Muhlbach de la Hardt »
  5. « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Chalampé et Meyenheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Colmar-Meyenheim », sur la commune de Meyenheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Colmar-Meyenheim », sur la commune de Meyenheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Chalampé ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin - Georges Stoffel (1868)
  19. a b et c Site de la commune, « Historique », sur chalampe.fr (consulté le ).
  20. a b et c Roger Cans, « Les sirènes de Chalampé », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. a et b « Chalampé, retour sur l'occupation de l'Ile du Rhin », L'Alsace,‎ , p. 30
  22. François Charru, « La mécanique des fluides en France dans la première moitié du xxe siècle », Comptes Rendus. Mécanique, vol. 351, no S3,‎ , p. 31 (ISSN 1873-7234, DOI 10.5802/crmeca.203, lire en ligne, consulté le )
  23. Ortbeschreibendes und geschichtliches Wörterbuch, 1902.
  24. Archives Départementales du Haut-Rhin
  25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  26. « Hugues Hartmann, nouveau maire de Chalampé », sur lalsace.fr, .
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.

Liens externes

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