De profundis sont les premiers mots latins du psaume 130 extrait du Livre des Psaumes de la Bible, classé 129 dans la Vulgate. L'incipit littéraire de sa traduction, de l'hébreu au latin : « De profundis clamavi ad te, Domine » (Du fond de l’abîme j’ai crié vers Toi, Seigneur) a inspiré de nombreux compositeurs et écrivains :
De profundis H.156, pour solistes, chœur et bc (1670), H.189, pour solistes double chœur, flûtes, cordes et bc (1683), H.211, pour solistes, chœur et bc (1690), H.212, pour solistes, chœur et bc (1690), H.213, pour solistes, chœur et bc (1689, 1690), H.222, pour solistes, chœur et bc (1690, 1691), H.232, pour 3 voix, 2 groupes d’instruments et bc ( ? ) de Marc-Antoine Charpentier.
De profundis S 23 (1688), pour solistes, chœur mixte et orchestre de Michel-Richard de Lalande
De profundis est le titre donné à la traduction française du roman de Stratis Myrivilis (Ernest Flammarion, 1933; original : Η ζωή εν τάφω, « La vie dans la tombe », 1923–1924).
De Profundis est un roman posthume (1980) de Salvatore Satta.
↑Éclats d'une poétique de l'approche de l'inconnaissable, Livre VI, (2010-2013), coll. « Poètes des cinq continents », éd. L'Harmattan, Paris, mars 2013, (ISBN9782343005225). p. 95-100.