Guillaume Seignac

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Guillaume Seignac
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Guillaume Seignac, né le à Rennes, mort le à Paris, est un peintre français de l'École d'Écouen[1]. Il est le fils de Paul François Seignac, peintre français du XIXe[2].

Biographie

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Guillaume Seignac entre à l'École des beaux-arts de Paris dans les ateliers de Gabriel Ferrier, de Tony Robert-Fleury, et de William Bouguereau qui exerce une grande influence sur lui, tant dans le choix des thèmes traités que dans la technique utilisée qui accorde une grande importance à la qualité du dessin.

Il expose régulièrement au Salon des artistes français[3], où il est récompensé en 1900 par une mention honorable et en 1903, par une médaille de troisième classe. Les femmes constituent son sujet de prédilection, qu'il peint souvent dévêtues, dans des sujets antiques ou mythologiques.

En 1902, il s'installe au 84 boulevard du Montparnasse à Paris[4].

Collections publiques

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Salons

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Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations contenues dans cette section proviennent de la biographie de Guissaume Seignac sur le site rehs.com[4].

Galerie

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  • Œuvres de Guillaume Seignac
  • L'abandon[5]
    L'abandon[5]
  • Jeune femme de Pompéi à une terrasse[réf. nécessaire]
    Jeune femme de Pompéi à une terrasse[réf. nécessaire]
  • Le réveil de Psyché[réf. nécessaire]
    Le réveil de Psyché[réf. nécessaire]
  • Nu au canapé, huile sur toile (55 × 65 cm), vente ADER. 18 mai 2016 Drouot Richelieu.
    Nu au canapé, huile sur toile (55 × 65 cm), vente ADER. Drouot Richelieu.
  • Diane, la chasseresse, huile sur toile (56 × 46 cm)
    Diane, la chasseresse, huile sur toile (56 × 46 cm)

Bibliographie

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  • Dictionnaire Bénézit
  • Cécile Ritzenthaler, L'École des beaux-arts du XIXe siècle : les pompiers, Paris, Mayer, 1987, 335 p. (ISBN 2-85299-002-4)
  • Gérard Schurr, Les petits maîtres de la peinture, Éditions L'Amateur, 1989.

Iconographie

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Notes et références

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  1. ↑ « Acte de décès no 4963 (vue 19/31) de Guillaume Seignac du registre des décès de l'année 1924 du 14e arrondissement de Paris », sur Archives de Paris (consulté le )
  2. ↑ « Guillaume Seignac », sur EcoleEcouen, (consulté le )
  3. ↑ Dont il devient sociétaire en 1901.
  4. ↑ a et b (en-US) « Guillaume Seignac », sur rehs.com (consulté le )
  5. ↑ « L'abandon - Guillaume Seignac - WikiArt.org », sur www.wikiart.org (consulté le )

Liens externes

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