Naissance | |
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Nom de naissance |
Joanny Lagrula |
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Enfant |
Jean Louis Lagrula (d) |
A travaillé pour |
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(775) Lumière |
Joanny-Philippe Lagrula (1870-1941) est un astronome français. Il est quelquefois référencé comme Philippe Lagrula.
En 1901, il soutient sa thèse pour le doctorat ès sciences intitulée Étude sur les occultations d'amas d'étoiles par la Lune avec un catalogue normal des Pléiades à l'université de Lyon[2]. À l'époque, les occultations des Pléiades par la Lune sont importantes pour vérifier la correspondance de la position réelle de la Lune avec celle prédite par les calculs.
Il travaille tout d'abord à l'observatoire de Lyon. Le , il devient directeur de l'observatoire de Quito, poste qu'il occupe pendant quelques années[évasif]. Il travaille ensuite[Quand ?] à l'observatoire de Nice jusqu'en 1924, où il rejoint le personnel de l'observatoire d'Alger. Il en est ensuite le directeur de 1931 à 1938, à la suite de François Gonnessiat, qui avait pris sa retraite. Son parcours de carrière est quasi identique à celui de François Gonnessiat, qui avait aussi travaillé à Lyon, Quito et Alger.
Il a eu deux enfants : Jean-Louis Lagrula[3], astronome également, et Reine Lagrula, épouse Fleureau.
Il découvrit un astéroïde : (775) Lumière. L'astéroïde (1412) Lagrula porte son nom.