Juan López Sánchez | |
![]() Portrait de Juan López Sánchez, datant d'après 1939. | |
Fonctions | |
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Ministre du Commerce | |
– (6 mois et 12 jours) |
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Gouvernement | Caballero II |
Prédécesseur | Anastasio de Gracia (Industrie et Commerce) |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Bullas |
Date de décès | (à 72 ans) |
Lieu de décès | Madrid |
Nationalité | Espagnol |
Syndicat | CNT FSL (es) (à partir de 1933) |
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Juan López Sánchez, né le à Bullas (Murcia) et mort en 1972 à Madrid, est syndicaliste libertaire espagnol membre de la Confédération nationale du travail (CNT).
En 1930, il est le secrétaire du comité national de la Confédération nationale du travail.
En , il signe le Manifeste des Trente (avec notamment Joan Peiró et Ángel Pestaña)[1] qui défend uns ligne définie comme « modérée » ou « possibiliste libertaire » au sein de la Confédération nationale du travail.
Il est, après Ángel Pestaña, le second secrétaire de la Fédération syndicaliste libertaire (es).
Le , la CNT décide d'entrer dans le gouvernement du Front populaire. La confédération est représentée par quatre ministres : Juan García Oliver à la Justice, Federica Montseny à la Santé, Joan Peiró à l'Industrie et Juan López Sánchez au Commerce[2],[3].
Après la défaite de la République espagnole et la retirada, il rejoint Londres où il défend une « politique de collaboration » avec les autres forces républicaines non-communistes[4].