La plateforme structurale supérieure de la Brie est constituée par une couche de pierre de meulières datant du Sannoisien. L’exploitation de ces pierres de meulières a fourni un matériau de construction très utilisé dans la commune. La couche de meulières est surmontée par un manteau plus ou moins régulier de limons des plateaux qui sont constitués par des dépôts argilo-sableux fins et compacts d’une fertilité importante.
D'anciennes marnières étaient exploitées sur le territoire, notamment le long du ru de Gorneaux (Arlin) et au nord de la Jodelle. L'extraction des meulières était liée au besoin de matériaux de construction, pour les habitations et les murs d'une part, et pour la construction des routes en essor aux XVIIIe siècle et XIXe siècle d'autre part.
Le territoire de la commune des Chapelles-Bourbon fut inclus en 1984 dans un périmètre de recherches et d'exploitation pétrolières dit « Permis de La Marsange »[1]. Le permis fut renouvelé en 1990[2] puis prolongé en 1995[3]. Il fut repris en 1997 avec la concession de mines d'hydrocarbures liquides ou gazeux dite « Concession de Champrose »[4].
En 2010, un permis exclusif de recherches a été accordé à la société Poros SAS
[5], portant sur 459 km2 et valide jusqu'au [6].
Un puits de pétrole fut installé en 1992 à la sortie du village, le long de la rue de Paris en allant vers Tournan-en-Brie. Il fut démantelé dans les années 2000.
La superficie de la commune est de 642 hectares ; l'altitude varie entre 108 mètres au sud au niveau du Bréon et 118 mètres au nord[7].
La commune s'étend sur un plateau au relief très peu marqué, traversé par la partie supérieure du Bréon qui creusera sa vallée en aval à Fontenay-Trésigny. Ses paysages sont typiques de la Brie, marqués par une succession d'openfields (culture du blé, du maïs et de la betterave sucrière) entrecoupés de massifs forestiers plus ou moins denses (parc de Champrose, le Petit Parc, parc des Vieilles Chapelles, parc de Beaumarchais...).
Le territoire est partagé entre les bassins versants du Bréon au sud-est et de la Marsange au nord-ouest.
Son réseau hydrographique se compose de trois cours d'eau référencés :
Le Bréon, 22,13 km[8] et ses affluents drainent le secteur du village et des Vieilles Chapelles. Le Bréon sert de limite avec Marles-en-Brie au sud-est ;
le ru de Gorneaux, 2,14 km[9], sert de limite avec La Houssaye-en-Brie à l'est ;
le ru des Boissières, cours d'eau naturel et canal de 8,18 km[10], affluent de la Marsange, draine le secteur de Champrose, Beaumarchais (château et ferme), le Ménillet et la Grange Gallois.
Le territoire est parsemé de petits plans d'eau, la plupart d'anciennes marnières : étangs Marianne, mare Honteuse, mare aux Chênes, mare Plate, mare des Vieilles Chapelles...
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,05 km[11].
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12].
La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[14].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mouroux à 17 km à vol d'oiseau[17], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,3 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal des Chapelles-Bourbon comprend un ZNIEFF de type 2[Note 1],[21],
la « Forêt de Crécy » (6 897,74 ha), couvrant 17 communes du département[22].
Au , Les Chapelles-Bourbon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23].
Elle est située hors unité urbaine[24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[24]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].
La population a historiquement stagné autour d'une centaine d'habitants. Le village est resté, jusqu'aux années 1960, un groupe d'une dizaine d'habitations établies le long de la rue du Limodin, à l'est de l'église paroissiale.
La population capello-bourbonnaise s'est accrue sensiblement à partir des années 1970. Le développement du village a débuté alors avec l'installation de pavillons le long de la rue de Paris et de la rue de Beaumarchais.
C'est de cette époque que datent les bâtiments industriels situés le long de la rue Beaumarchais, entre le cimetière et la RD 216. Le développement s'est également effectué le long de la rue du Limodin par le comblement des espaces existants.
Le premier lotissement rue Étienne Jodelle fut mis en œuvre en 1989 et achevé en 1994, le lotissement rue de Garlande fut construit en 1998, le lotissement rue Saint-Vincent fut construit en 2007.
Le schéma de développement est classique, le long des axes existants et avec l'édification de zones pavillonnaires. La nouvelle population est essentiellement d'origine urbaine ou sub-urbaine à la recherche d'une meilleure qualité de vie.
La population devrait se stabiliser à 500 habitants, avec le souci d'une gestion rigoureuse des sols en permettant une évolution harmonieuse du village tout en préservant son caractère rural.
Les hameaux et fermes isolés n'ont en revanche pas évolué, le développement urbain s'étant effectué exclusivement au sein du village.
La commune des Chapelles-Bourbon, malgré sa petite taille et sa faible population, est au cœur de deux grands projets intéressant les communes environnantes et le centre de la Brie :
Réhabilitation de la ferme des Vieilles-Chapelles.
L'ensemble immobilier a été vendu le par la Compagnie Fermière Benjamin et Edmond de Rothschild, propriété de Benjamin de Rothschild.
Le programme consiste à réhabiliter le bâtiment en bureaux pour la communauté de communes, réaliser une crèche, une salle polyvalente et une médiathèque.
La première tranche des travaux (pôle petite enfance, maison des services, salle du conseil communautaire, parking) a démarré fin 2014 et doit être livrée fin 2017/début 2018. Le coût des travaux de la première tranche est de 8 300 000 € HT[27].
Le RER E devrait avoir, dans quelques années, son terminus au Val Bréon. Cette ligne, qui permet actuellement de relier Tournan-en-Brie au centre de Paris en une demi-heure, sera ainsi prolongée de 3,4 kilomètres afin de desservir la zone logistique. La future gare sera construite entre la RN 36 et le circuit d’essai du futur Val Bréon 2. Cette nouvelle zone de 100 hectares sera aménagée derrière la zone actuelle sur le territoire de la commune des Chapelles-Bourbon (la zone logistique actuelle se situe à Châtres)[28]. L'aménagement nécessiteraient le doublement de la voie sur la section de ligne entre la gare de Tournan-en-Brie et la nouvelle gare.
Le montant total de l'opération a été estimé à environ 100 M€[29].
Les Vieilles Chapelles, Beaumarchais (château et ferme), le Ménillet, la Grange Gallois, Champrose.
Il y avait autrefois, dans la paroisse, cinq hameaux qui ont complètement disparu : la Honteuse (ancienne ferme dans le bois du Ménillet), le Trou aux Rus (ancien hameau dans le bois du Ménillet), la Mare Matra (ancienne ferme), la Bretêche (ancienne forteresse selon la légende), la Jodelle (ferme d'une certaine étendue au XVIIIe siècle, maison inhabitée à la fin du XIXe siècle).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (73,7 %), forêts (26,3 %)[30].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[31],[32],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[33]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].
Parmi ces logements, 93,3 % étaient des résidences principales, 2,5 % des résidences secondaires et 4,3 % des logements vacants.
La part des ménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 81,6 % contre 15,8 % de locataires[34] dont, 1,3 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 4] et, 2,6 % logés gratuitement.
Le nom de la localité est mentionné sous la forme Capella nova[35] et Capella Hanis au XIIIe siècle[36] ; La Chapelle Hanys en 1384[37] ; Les Chapelles Haouis en 1498[38], de la fondatrice Dame Haoüis (Havis ou Havisia) de Garlande, épouse de Guillaume de Garlande[39] ; Ecclesia parrochialis de Capella Helloisis en 1513[40].
Au XVIIe siècle, on retrouve dans des actes, peu nombreux, l'appellation Capella in Bria en 1631[41].
Entre -2500 et -1000, déforestation progressive, augmentation de la population, travail du cuivre, du bronze, puis du fer ; les terres sont mises en culture.
Durant la période gauloise, le site se situe dans la partie sud du territoire des Meldes (Meldi).
En 852 puis en 861, raids vikings sur les villes de Melun et de Meaux. Nouveau raid sur Melun en 886.
Au XIe siècle, les terres sont dans la mouvance de la famille de Garlande[45]. La famille de Garlande, originaire de la Brie, est de noble - quoique assez modeste - extraction, probablement de lignage chevaleresque. La connaissance de la famille, fidèles du roi, commence avec Guillaume de Garlande qui exerce l'avouerie de deux domaines proches de Faremoutiers dépendant de l'abbaye Saint-Jean de Lagny.
En 1080, Dame Haoüis (Havise ou Havoise) de Garlande, épouse de Guillaume de Garlande, fonde une première, puis une seconde chapelle au lieu où se trouve aujourd'hui la commune des Chapelles-Bourbon. Elle donna les deux chapelles, dont l'une se nommait la Chapelle-Neuve et l'autre la Chapelle-Vieille, à la congrégation de Saint-Maur-des-Fossés, qui possédait un prieuré à Tournan[46].
Quelque temps après, des maisons s'élèvent autour de ces chapelles qui devaient être situées au lieu-dit aujourd'hui « Les Vieilles-Chapelles » et forment une paroisse qui prend le nom de « Chapelles Haoüis » du nom de sa fondatrice.
Cette paroisse était au civil de l'élection de Rozoy, province de Brie, et pour les affaires ecclésiastiques du doyenné du Vieux-Corbeil, diocèse de Paris en 1536.
Les deux chapelles d'origine ont été détruites. L'église actuelle, qui remplace une des chapelles, ne parait pas être antérieure au XVe siècle.
Vers 1140, Gui de Garlande est seigneur de La Houssaye, Possesse vers 1166/67 et Tournan-en-Brie vers 1173. Il ratifia la donation faite par son aïeule en 1182.
En 1166, sont seigneurs des Chapelles, Anseau et Guy de Garlande, seigneur de Possesse, comme représentant Hugues de Possesse, seigneur de Tournan.
Les seigneurs de Garlande se perpétuent pendant plus d'un siècle : Ansel (ou Anseau) II de Garlande et son frère Jean de Garlande en 1191, Dame veuve d'Ansel II de Garlande en 1201, Robert de Garlande en 1218, Anseau III de Garlande en 1246, Anseau IV de Garlande en 1257.
En 1287, Jean de Garlande vend la châtellenie de Tournan à Pierre de Chambly qui est seigneur des Chapelles en 1293. La châtellenie de Tournan est cédée peu après à Charles de Valois.
La châtellenie de Tournan est ensuite peu à peu démembrée et appartint à différents seigneurs. Il est probable que la seigneurie des Chapelles fut détachée à cette époque de la châtellenie de Tournan. Les seigneurs de la terre des Chapelles ne sont pas connus pour la période allant de 1293 à 1405.
En 1405, le seigneur des Chapelles est Louis de Villiers, seigneur de Neufmoutiers.
En 1450, le seigneur est Jacques de Villiers, puis sa sœur et héritière Dame de Villiers en 1457, mariée à Adam de Cuise. La famille de Cuise, dont Antoine de Cuise (14..) et René de Cuise (1501) régnera jusqu'au début du XVIe siècle.
En 1522, N. Paillard, dit « de la Chapelle » est seigneur des Chapelles, son nom se trouve sur la cloche de l'église qui était consacrée à saint Vincent.
En 1536, la nomination du curé de la paroisse, qui appartenait à l'abbé de Saint-Maur, passe à l'évêque de Paris, lors de la réunion de l'abbaye à l'évêché. La Houssaye, Neufmoutiers et Villeneuve-Saint-Denis étaient avec Les Chapelles-Bourbon, les seules paroisses de la province relevant de l'évêché de Paris. Toutes les autres environnantes étaient à l'évêché de Meaux.
En 1550, Estiennette Paillard, dame de Neufmoutiers, Egrefin, Trois-Maisons et la Vieille-Chapelle est mariée à Clérambault le Picard, seigneur d'Atilly-en-Brie, morte le . Sa tombe existe dans l'église de Neufmoutiers.
En 1556, la paroisse prend concurremment avec son ancien nom « Les Chapelles-Haoüis », dans des actes peu nombreux, le nom de « Les Chapelles-en-Brie » du nom de la province de Brie. Constatation de l'existence d'un château dit « château des Chapelles », présumé se trouver à l'emplacement des Vieilles-Chapelles.
En 1639, ouverture d'un registre tenu par les curés et contenant les mariages, baptêmes et inhumations qui ont lieu dans la commune.
Le village n'apparaît que tardivement dans la cartographie, contrairement aux villages environnants (Tournan, Marles, La Houssaye...). La carte de l'Île-de-France dressée par Pierre Duval vers 1650 le mentionne, mais pas la carte de la généralité de Paris dressée par Hubert Jaillot en 1708. Le village ainsi que les fermes seront distinctement répertoriés dans la carte de Cassini dressée après 1756.
En 1792, les registres de l'état civil ne sont plus tenus par le curé, mais par les membres du Conseil général de commune élus à cet effet, puis par le maire.
La commune prend le nom de « Les Chapelles-Union ». Jusqu'à cette époque il y avait un curé titulaire, le presbytère était au Pavillon des Chapelles.
À partir de la fin de 1793, l'église des Chapelles a été desservie par le curé de La Houssaye puis par celui de Neufmoutiers.
En 1802, Les Chapelles-Union sont rattachées du point de vue de la religion catholique, au diocèse de Meaux (Concordat).
En 1812, le département de Seine-et-Marne doit ensemencer mille hectares en betterave, dont cent soixante-sept dans l'arrondissement de Coulommiers et deux hectares dans la commune des Chapelles-Union.
En 1814, réquisition en nature pour l'armée française pendant l'invasion.
En 1815, un dépôt de l'armée russe tient garnison aux Chapelles pendant six semaines.
La commune reprend son nom de « Les Chapelles-Bourbon ».
En 1824, la commune est desservie par le bureau de poste de Tournan.
En 1827, la commune croit se dispenser du service d'un garde champêtre et ne vote pas le traitement qu'elle faisait figurer au budget depuis 1818. De 1827 à 1869, il n'y a pas eu de garde champêtre dans la commune.
En 1830, délibération du conseil municipal qui demande que la commune soit détachée du canton de Rozoy et rattachée à celui de Tournan. La demande est repoussée ().
En 1830, organisation de la garde nationale. La commune des Chapelles-Bourbon fait partie du bataillon de La Houssaye, 3e bataillon du canton de Rozoy.
En 1831, levée du plan parcellaire de la commune par M. Auxerre, géomètre.
En 1835, arrêté du qui réunit Les Chapelles-Bourbon à La Houssaye pour l'entretien d'une école primaire dans cette dernière commune.
La même année, donation à la commune par François-Antoine Caron (1763-1835) d'une rente perpétuelle de 600 francs, cinq pour cent. Une plaque commémorative se trouve scellée au mur dans la salle de la mairie.
En 1839, conformément à un arrêté ministériel du , fondation d'une école primaire aux Chapelles-Bourbon dans des bâtiments loués aux époux Vignier, au lieu-dit la Cour commune . À partir de ce jour, les mariages, précédemment célébrés dans la mairie, sont célébrés dans la salle d'école.
L'instituteur devient secrétaire de la mairie qui est définitivement établie dans la maison d'école.
En 1840, projet de réunion de la commune à celle de La Houssaye (abandonné).
En 1841, projet de réunion de la commune à celle de Neufmoutiers (abandonné)
En 1844, achat par la commune aux époux Vignier, du bâtiment avec dépendance où se faisait l'école et où logeait l'instituteur depuis 1839.
En 1851, délibération du conseil municipal sur le recrutement de la garde nationale qu'on organise dans le département ().
En 1861, le conseil municipal émet un avis favorable à ce que la commune soit desservie par le bureau de poste à établir à La Houssaye ().
Don d'une pompe à incendie à la commune par M. Granger. En 1863, construction d'un bâtiment pour remiser la pompe à incendie.
En 1864, création d’une subdivision de sapeurs-pompiers qui sera rattachée à la compagnie de Fontenay-Trésigny (arrêté préfectoral du ).
En 1865, érection de l'église des Chapelles-Bourbon en chapelle vicariale. Installation d'un conseil de fabrique.
En 1866, le conseil municipal estime qu'il y a intérêt pour la commune à continuer à être rattachée au bureau de poste de Tournan.
En 1867, inondation par suite d'un orage. Dans l'intérieur de la commune il y a 85 centimètres d'eau.
En 1868, le conseil municipal refuse d'installer un garde champêtre (). Sur les instances du préfet, le conseil municipal revient sur sa décision et nomme un garde champêtre ().
Du au , les Prussiens réquisitionnent chevaux, vaches, moutons, pain, fromage, avoine, voitures, vin, argent, etc.
Pendant la guerre, il y eut peu de séjours prolongés de troupes, mais un très grand nombre de passages de soldats allemands et de convois de ravitaillement. À partir de l'armistice, la commune est occupée et pillée par les soldats allemands.
Du au , les troupes logent dans le château de Beaumarchais. Vols et pillages au château. En , départ de la commune des troupes allemandes. Passage des dernières colonnes.
Contribution de guerre imposée par l'Allemagne : 1 000 000 francs pour le département de Seine-et-Marne, 152 724 francs pour l'arrondissement de Coulommiers, 724 francs pour la commune des Chapelles-Bourbon.
En 1873, inondation par suite d'un orage, moins grave qu'en 1867, avec 50 centimètres d'eau dans les rues.
En 1875, le conseil municipal vote l'acquisition d'un corps de bibliothèque pour la fondation d'une bibliothèque scolaire (). Le ministère de l'instruction publique donne 46 volumes à la bibliothèque en 1876 ().
En 1879, le conseil municipal vote la gratuité absolue de l'école ().
En 1881, la commune est rattachée au bureau de poste de La Houssaye-en-Brie (). Reconstitution de la subdivision des sapeurs-pompiers ().
Fermeture du cimetière situé autour de l'église. Ouverture d'un nouveau cimetière construit sur un terrain acheté à M. Charpentier, le long du chemin vicinal no 3 allant des Chapelles-Bourbon à Neufmoutiers ().
En 1882, délibération pour la construction d'une mairie-école en remplacement des bâtiments existants qui sont insalubres et insuffisants ().
En 1883, la commune participe à l'établissement d'un bureau télégraphique à La Houssaye.
En 1885, pose de la première pierre de la nouvelle mairie-école érigée place de l'église sur un terrain acheté à M. Vallée (). Inauguration de la nouvelle mairie-école, le jour de la fête patronale ().
Le canton de Fontenay-Trésigny se situe dans le département de Seine-et-Marne qui a pour commune chef-lieu la ville de Melun. Le canton de Fontenay-Trésigny est composé de communes appartenant aux arrondissements de Provins (17 communes), Melun (13 communes) et Meaux (3 communes). La commune des Chapelles-Bourbon appartient à l'arrondissement de Provins, le plus étendue mais le second moins peuplée et le moins dense du département. Cet arrondissement de 9 ancien cantons et 165 communes comptait 161 849 habitants en 2012[51].
La commune des Chapelles-Bourbon appartenait jusqu'alors au canton de Rozay-en-Brie, qui comprenait 22 communes et comptait 25 985 habitants en 2012[52]. Fontenay-Trésigny était la commune la plus peuplée du canton, loin devant Rozay-en-Brie qui compte près de la moitié de sa population. Le canton de Rozay-en-Brie faisait partie de l’arrondissement de Provins. De la Révolution à 1926, La commune des Chapelles-Bourbon et le canton de Rozay-en-Brie appartenaient à l'arrondissement de Coulommiers, puis de 1926 à 2005 à l'arrondissement de Melun avant de passer à l'arrondissement de Provins en 2006[53].
Longtemps marquée par les rapports sociaux découlant de la propriété foncière, la Seine-et-Marne est, de manière générale, un département de tradition plutôt conservatrice, même si elle a été rapidement, sous la Troisième République, gagnée aux idées républicaines. Cette tradition conservatrice se manifeste notamment dans les arrondissements ruraux de Seine-et-Marne, où sont régulièrement élus des candidats issus des partis de droite.
Lors des élections départementales de 2015, Jean-Jacques Barbaux (maire de Neufmoutiers-en-Brie et conseiller général sortant du canton de Rozay-en-Brie) et Daisy Luczak (maire de Courquetaine), binôme UMP, ont été élus conseillers départementaux au second tour pour le canton de Fontenay-Trésigny[54]. Jean-Jacques Barbaux a été ensuite élu président du conseil départemental de Seine-et-Marne[55].
Par arrêté préfectoral du [58], le Val Bréon fusionne le avec d'autres communautés de communes pour former la nouvelle intercommunalité du Val Briard, dont la commune est désormais membre.
La commune adhère au Syndicat Intercommunal d'Enlèvement et de Traitement des Ordures Ménagères de la région de Tournan-en-Brie (SIETOM) qui a pour compétence la collecte et le traitement des déchets des habitants de 41 communes membres.
Le SIETOM exploite au total 5 déchetteries, une usine de tri des déchets à Tournan-en-Brie et une usine de valorisation des ordures ménagères à Ozoir-la-Ferrière. Fontenay-Trésigny possède une déchetterie, ouverte en 2005 et située sur la route de Chaubuisson le long de la N 4.
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [62],[63].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune des Chapelles-Bourbon est assurée par le SIAEPA de la région de La Houssaye-en-Brie pour la collecte, le transport et la dépollution[64],[65],[66].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[67]. Le SIAEPA de la région de La Houssaye-en-Brie assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[64],[68].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[71].
En 2021, la commune comptait 469 habitants[Note 6], en évolution de +7,57 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La commune est rattachée au collègeJean-Baptiste Vermay de Tournan-en-Brie. L’établissement, qui a été entièrement rénové et agrandi de plus de 2 500 m2 en 2014, fait partie des plus grands collèges de Seine-et-Marne[75].
Fontenay-Trésigny dispose d'un nouveau centre d'intervention et de secours inauguré en et situé en périphérie d'agglomération à l'extrémité de la rue Bertaux[76].
La commune des Chapelles-Bourbon compte une association sportive et de loisirs, le Club Omnisports Loisirs Capello-Bourbonnais. Les communes limitrophes comptent également de nombreuses associations sportives couvrant de multiples sports.
La commune est adhérente au syndicat intercommunal de la piscine de Fontenay-Trésigny[77].
Le quotidien régional Le Parisien, dans son édition locale Seine-et-Marne, ainsi que le bi-hebdomadaireLe Pays Briard relatent les informations locales.
La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre et d'IDF1.
L’information institutionnelle est assurée par plusieurs publications périodiques : le journal de la communauté de communes du Val Bréon[78] ; Seine-et-Marne Magazine, mensuel diffusé par le conseil général de Seine-et-Marne[79] et le Journal du Conseil régional, bimensuel diffusé par le conseil régional d'Île-de-France[80].
En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 57, occupant 242 actifs résidants (dont 12,1 % dans la commune de résidence et 87,9 % dans une commune autre que la commune de résidence).
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 75 % contre un taux de chômage de 3,4 %.
Les 21,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12,5 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 3,8 % de retraités ou préretraités et 5,3 % pour les autres inactifs[83].
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 28 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 13 dans la construction, 7 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’Information et communication, 2 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien et 3 étaient relatifs aux autres activités de services[84].
En 2020, 5 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 4individuelles.
Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[85].
Le territoire fait l’objet d’exploitations peu diversifiées, principalement consacrées à la culture des céréales et de la betterave sucrière. Depuis la naissance des Chapelles-Bourbon, l'agriculture était la principale activité économique. Le village, avec le développement de la mécanisation, a connu l'exode de sa population rurale.
Le recensement agricole 2010 fait état de deux exploitations agricoles en activité ayant leur siège dans la commune contre 2 en 2000 et 4 en 1988. La superficie agricole utilisée a fortement décru de 497 hectares à 415 hectares puis 307 hectares[86].
Les Chapelles-Bourbon est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[87].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[88]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 124 ha en 1988 à 154 ha en 2010[87].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles des Chapelles-Bourbon, observées sur une période de 22 ans :
Évolution de l’agriculture aux Les Chapelles-Bourbon entre 1988 et 2010.
Le château de Beaumarchais, manoir de style anglo-normand édifié en 1927 sur les plans de l'architecte Henri Jacquelin par Louis Boucheron, joaillier de la place Vendôme est inscrit partiellement au titre des monuments historiques[90].
La première mention qui est faite de cette terre date de 1548, par un acte où Guillaume Prudhomme, seigneur de Liverdy, Fontenay-en-Brie, etc., conseiller du roi, trésorier de l'épargne, puis trésorier de France, avoue tenir de demoiselle Anne Godonvillier, dame de Pézarches, le dit fief de Beaumarchais, qu'il a acquis de Jacques de Poisieu, chevalier, seigneur de Vallery, et d'Antoinette de Costée.
Le , Nicolas Lamberty, écuyer, seigneur de Beaumarchais et du Breuil, fonde une chapelle dans la cour du donjon du et affecte à cette fondation cent cinquante francs de rente à prendre sur la ferme de la Pigeonnière.
Le fief passe dans de nombreuses mains sous l’Ancien Régime et après la Révolution.
Une maison seigneuriale, datant probablement du XVIIe siècle, et une ferme y sont construites.
Le château, la ferme ainsi que le Petit-Beaumarchais formaient un groupe d'habitation contenant dix à douze familles ;
Le Ménillet (autrefois Méniet) était une terre noble. Cette terre, appelée Mesnil-Forteret dans les plus anciens titres, était avant 1378 un monastère portant le nom de Sainte-Catherine-des-Enfants. Ce domaine a appartenu au duc de Montpensier. Le , MM. Dupuis et Godefroy, devenus acquéreurs de cette terre, l'ont revendu à M. Singer, propriétaire du château du Chemin, situé à Neufmoutiers.
Le château du Ménillet présente les caractères d'une petite forteresse, les bâtiments étaient alors entourés de fossés remplis d'eau à l'instar des maisons seigneuriales du pays de Brie. Plusieurs familles vivaient dans le domaine ;
L'église du XVIIIe siècle, placée sous le vocable de saint Vincent possède une cloche du XVIe siècle classée au titre d'objet[94].
La structure est très simple, sans retrait ni colonne, avec deux petites chapelles de chaque côté du chœur, formant une croix latine.
L'église est petite, voûtée d'un seul jet, avec cinq poutres apparentes et montantes. Le clocher, à l'extrémité ouest, est lourd et flanqué de contreforts aux angles, couvert en bâtière et surmonté d'une petite flèche en ardoise.
La cloche est de la Renaissance, ornementée de rinceaux, de dauphins, d'arabesques et d'armoiries. Elle porte la date de 1522 et une inscription en caractères gothiques en relief.
À l'intérieur de l'église se trouvent une statue de saint Roch en bois peint du XVIIe siècle, et une statue de sainte Geneviève, également en bois peint, placée sur l'autel.
S'y trouve par ailleurs une inscription sur marbre noir à la mémoire de François-Antoine Caron, bienfaiteur du village.
La porte d'entrée en bois peint est surmontée d'une imposte en vitrail[95].
Monument aux morts et à la mémoire d'Albert Besson, accolé au mur du clocher, sur la place de l'église.
La ferme de Champrose.
Champrose (également écrit Champ-Rose et Champrouze en 1254), était une seigneurie qui, en 1739, appartenait à François Peyrenc de Moras. En 1770, son frère François Marie Peyrenc de Moras résidait en sa terre de Champrose dont il avait hérité. Le duc de Penthièvre était en 1789 propriétaire du château de Champrose. Le , le maréchal Augereau acheta cette propriété de madame Micault de la Vieuville. Différents propriétaire se succédèrent avant que M. Singer en fît l'acquisition le .
Quant aux bois de Champrose, ils faisaient partie du domaine d'Armainvilliers, cédé par le roi Louis XV au comte d'Eu. Le duc de Penthièvre, son cousin germain, hérita de ces bois.
Le château de Champrose a complètement disparu, il ne reste que la ferme. Dans le domaine de Champrose se trouvaient, outre le château et la ferme, également un moulin.
La ferme des Vieilles-Chapelles, vraisemblablement le berceau de la commune.
Le château des Chapelles devait être élevé en ces lieux, disparu à une époque inconnue.
La ferme, qui remonte au XVIIe siècle, fut vendue comme bien national en 1793. La vente comprenait la ferme du Grand-Boitron, la propriété de la Bourdelle et une maison de berger au Palis. Plusieurs propriétaires ses succédèrent, dont M. Pierre-Alexis Caron en 1818, son neveu M. Grangier en 1851 et M. Hastier en 1862.
Le pavillon des Chapelles fut vendu nationalement avec les Vieilles-Chapelles. Plusieurs propriétaires se succédèrent. S'y trouvait un très beau parc aménagé avec des pièces d'eau.
Ecartelé : aux 1) et 4) de gueules à une croix latine alésée d'or ; en 2) d’azur à la bande d’argent côtoyée de deux doubles cotices potencées et contre-potencées d’or qui est de Champagne ; en 3) d'azur à trois fleurs de lys d'or posées 2 et 1, qui est de France moderne.
Ornements extérieurs
Timbré d'une couronne murale d'or et soutenu à dextre d'une gerbe de blé d'or et à senestre d'une branche de chêne de sinople englantée d'or, croisées et liées de gueules en sautoir à la pointe.
Détails
Composé par Jean-Claude Molinier en 1991. Adopté par le conseil municipal la même année[96].
Christian de Bartillat, Au Village de Brie, Presses du Village, 1984, 352 p.
Frédéric-Auguste Denis, Lectures sur l'histoire de l'agriculture en Seine-et-Marne, Presses du Village, 1982, 376 p.
André Laurent, La Seine-et-Marne autrefois, Éditions Horvath, 1982, 192 p. (ISBN2-7171-0238-8)
Jules Legoux, réédition de l'ouvrage intitulé Histoire de la commune des Chapelles-Bourbon paru en 1886, Res Universis, 1991, 186 p. (ISBN2-87760-659-7)
Félix Pascal, Histoire topographique, politique, physique et statistique du département de Seine-et-Marne, Tome 2, Crété Imprimeur, 1836, 692 p.
René-Charles Plancke, La vie rurale en Seine-et-Marne 1853-1953, Éditions Amatteis, 1982, 256 p.
René-Charles Plancke, Histoire de Seine-et-Marne vie paysanne, Éditions Amatteis, 1986, 432 p.
Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN2-84234-100-7), « Les Chapelles-Bourbon », p. 1321
Manoir de Beaumarchais, Restauration du patrimoine, les monuments font leur printemps, Conseil général de Seine-et-Marne, 2008, 20 p.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
↑L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )