Production | 20 novembre 2000 |
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Fréquence | 1,3 GHz à 3,8 GHz |
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Fréquence du FSB | 100 MT/s à 1 066 MT/s |
Niveau 1 | 8 ko à 16 ko par coeur |
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Niveau 2 | 128 ko à 4096 ko |
Niveau 3 | 4 Mo à 16 Mo partagé |
Finesse de gravure | 65 nm à 180 nm |
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Nombre de transistors | |
Cœur |
1-2 (2-4 threads avec l'hyper-threading) |
Socket(s) |
Architecture |
x86-16, IA-32, x86-64 (certains) |
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Extensions | MMX, SSE, SSE2, SSE3 (certains) |
Micro-architecture | NetBurst |
Marques |
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La microarchitecture NetBurst est une microarchitecture de processeurs Intel (7e génération de microprocesseur x86). Elle est assez différente de la microarchitecture P6 du Pentium III[1].
Introduite fin 2000, elle est remplacée en 2006 par l'architecture Core, issue de l'évolution pour ordinateurs portables de la microarchitecture P6. La montée en fréquence des processeurs « Netburst », indispensable à l'évolution de cette microarchitecture, est en effet impossible à poursuivre à ce moment-là, à cause d'une trop grande dissipation thermique[2].
Afin de permettre une importante montée en fréquence, elle se distingue du Pentium III par de nombreux étages de pipeline : 20 pour Willamette et Northwood, 31 pour Prescott et Cedar Mill, contre 10 pour le Pentium III.
Deux inconvénients mettent à mal le pipeline long :
(dans le désordre)