Peugeot 402

Peugeot 402
Peugeot 402
Peugeot 402 berline.

Marque Peugeot
Années de production 1935-1942
Production 75 068[1] exemplaire(s)
Classe 11 CV
Moteur et transmission
Énergie Essence
Moteur(s) 4-cylindres en ligne
Cylindrée 1 991 à 2 142[2] cm3
Puissance maximale 55 à 63[2] ch
Transmission Propulsion
Boîte de vitesses 3 vitesse Av et M AR
Masse et performances
Masse à vide 1 110[3] kg
Vitesse maximale 115 à 125[1] km/h
Consommation mixte 8,7 L/100 km
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Berline
Coupé
Cabriolet
Suspensions à lames transversales à l'AV, à l'AR, amortisseurs à Leviers hydrauliques
Dimensions
Longueur 4 850 mm[4]
5 000 mm[4]
4 470[3] mm
Largeur 1 640[3] mm
Hauteur 1 580[3] mm
Empattement 3 150 mm[4]
3 300 mm[4]
2 880[3] mm
Chronologie des modèles

La Peugeot 402 est une automobile de la marque française Peugeot, produite entre 1935 et 1942, période marquée par la Seconde Guerre mondiale et les restrictions qui en découlent.

C'est à cette période que naissent de nouveaux courants de design automobile, notamment américain, à l'image de la Chrysler Airflow de 1934 appliquant les idées du Streamline Modern. Les constructeurs européens sont dès lors désireux de suivre l'exemple des Américains, et la Peugeot 402 appliquera, comme la Simca 5[5], l'aérodynamisme[6], donnant des courbes plus fluides. Elle remplace à la fois la Peugeot 401 et la Peugeot 601.

L'aérodynamisme selon Peugeot

[modifier | modifier le code]
Peugeot 402 légère

En période de crise économique puis de guerre, la production automobile française subit un très fort ralentissement, les ventes passant de 230 000 à 179 000 exemplaires entre 1930 et 1935[7]. Les Européens appliquent alors les mêmes idées, sur l'aérodynamisme des automobiles, afin de réduire leurs moteurs sans perte de vitesse et de gagner en consommation. Lors du Salon de Paris de 1933, la plupart des constructeurs présentent des automobiles aux formes très rondes et aux pare-brise inclinés. La Peugeot 402 est l'automobile européenne la plus représentative de cette nouvelle mode. Très inspirée par les plus récentes réalisations américaines, sa silhouette est d'une grande modernité.

Sa première apparition a lieu au Salon de Paris de 1935, soit à peine un an après la Chrysler Airflow et son clone DeSoto Airflow ainsi mais aussi la même année que la Volvo PV36 Carioca et la Toyota Modèle AA. Le dessin est pratiquement semblable pour la plupart des véhicules aérodynamiques de cette époque : une calandre arrondie, des ailes gonflées, une très longue carrosserie de six glaces et un pare-brise coupe-vent en deux parties. Néanmoins, la particularité de la 402 est ses phares intégrés à la calandre, une première dans l'automobile, que Peugeot appliquera de nouveau sur des modèles futurs. Cette signature fuselée des modèles Peugeot est désignée par le terme « fuseau Sochaux »[7].

Conception - Technique

[modifier | modifier le code]

La conception d'une nouvelle voiture, la 402, répond à deux besoins. Le premier est de remplacer les modèles vieillissants que sont les Peugeot 401 et la 601. Le deuxième est de faire face à une concurrence grandissante. En effet, Citroën vient tout juste de produire les premiers modèles de Traction Avant et Renault est bien établi sur le marché automobile avec ses modèles : la Vivaquatre et la Primaquatre. Le superviseur de la conception de la Peugeot 402 est le responsable du département Études Carrosseries, Henri Thomas.

Les ingénieurs de Peugeot mettent au point une automobile classique sur le plan technique. Le châssis est de type « Bloctube », très rigide, ayant déjà fait ses preuves sur de précédents modèles. Quatre freins à tambours à câbles et une direction à boîtier sont installés. Les suspensions sont à roues indépendantes à l’avant avec ressort à lames transversales et pont rigide à vis à l’arrière avec ressorts à lames cantilever, amortisseurs hydrauliques à levier[1]. La boîte de vitesses offre trois rapports, dont la seconde et la troisième sont synchronisées[8]. Le moteur est un quatre-cylindres culbuté de 1 991 cm3 de 55 ch[1].

Moteur Diesel

[modifier | modifier le code]

Depuis 1928, Peugeot fabrique dans le Nord, dans son usine de moteurs CLM (Compagnie Lilloise de Moteurs) à Lille, des moteurs Diesel destinés aux bateaux, autorails et tracteurs agricoles[9]. En 1936, le constructeur avait préparé son moteur Diesel de la série HL50 pour une installation dans les véhicules utilitaires légers. La réglementation française de l'époque n'autorisait pas l'installation de moteurs Diesel sur les véhicules routiers, à l'exception des camions et des véhicules utilitaires, et même en raison de leur approche relativement prudente en matière de motorisation Diesel de la 402, il était nécessaire pour Peugeot d'obtenir une dérogation spéciale des autorités[10]. Dans les dernières semaines de 1938, plusieurs prototypes 402 avaient été équipés de l'unité Diesel HL50 déjà utilisée pour les camions légers. Au cours des premiers mois de 1939, plusieurs douzaines de berlines 402 "conduite intérieure" à carrosserie longue furent équipées de moteurs Diesel et vendues comme des taxis. Le moteur HL50 utilisé était une unité de 2 300 cm3 avec une puissance déclarée de 55 ch. Si la version Diesel était entrée en production, la 402 aurait été l'une des premières berlines Diesel disponibles dans le commerce.

L'économie de carburant indiquée pour le moteur Diesel de 2,3 litres était environ 33 % meilleure que celle de la 402 à moteur essence de 2,1 litres. Au moment où la guerre a éclaté, environ 12, voire plusieurs douzaines, de Peugeot 402 à moteur Diesel existaient, mais un seul châssis de 402 à moteur Diesel survivait encore à la fin de la guerre.

Le travail de développement n'a cependant pas été vain et, en 1959, Peugeot lancera la 403, l'une des premières berlines Diesel française, précédée sur le marché mondial par Mercedes-Benz avec notamment la Mercedes-Benz 260 D produite de 1936 à 1940 puis en 1949 avec la Mercedes-Benz 170 D.

Seconde Guerre mondiale

[modifier | modifier le code]
Peugeot 402 utilisée par une unité de l'Armée de terre (le 40e GRDI) en mai 1940.

La 402 connaît un vif succès dû à son esthétique séduisante, à ses bonnes performances et à un silence de fonctionnement supérieur à la moyenne de l’époque[11]. Au début de la Seconde Guerre mondiale, la 402 devient un des principaux types de voiture de liaison utilisée par l'Armée française. Environ 1 000 exemplaires de divers modèles ont été commandées entre 1938 et mais plusieurs dizaines de 402 sont également réquisitionnées pour servir dans les unités militaires. La version 402BL à six places se révèle particulièrement utile pour les militaires[12]. Les 402 capturées par les Allemands en 1940 sont utilisées par la Wehrmacht jusqu'à la fin de la guerre[13].

Après cinq années, la production de la 402 s'arrête en juin 1940 en raison de l'invasion allemande. Les usines sont ravagées par un bombardement allié, dévastées, et tous les stocks, matières et machines-outils nécessaires sont pillés et même finalement emportées en Allemagne en 1944. Étant donné qu'il faudra attendre 1949 pour que la production et les ventes de Peugeot retrouvent un niveau respectable, la Peugeot 402 ne survit pas et termine sa carrière en 1942[1].

Peugeot 402 Andreau (1936).

Pourtant, une nouvelle version de la 402 avait été dessinée dès 1936 pour être mise en vente en 1940, connue sous le nom de 402 Andreau. C'est un ingénieur de Saint-Cyr, Jean Andreau, qui dessine un prototype de cette version, remarquable par un Cx faible pour l'époque - 0,34 contre 0,68 pour la berline - que l'on distingue esthétiquement par des flancs plus galbés, des portes sans montant et un pare-brise panoramique. Initialement prévu avec un V8 de 18 CV, le prototype réalisé en 1936 est finalement équipé d'un quatre-cylindres du modèle de base[14]. Elle ne sera presque pas commercialisée[7].

Peugeot 402B Légère montrant les phares entre la grille et le radiateur.

Dès sa commercialisation en 1935, la 402 est disponible en deux longueurs de châssis et huit configurations de carrosserie : une limousine à six glaces, une familiale, un coach, un cabriolet, un roadster, une Éclipse, une commerciale et un taxi. Une version raccourcie, d'abord vendue sous le nom de 302 (berline, 4 glaces, moteur 1800), sera rebaptisée 402 légère en 1938, avant de devenir la 402 B légère en associant la carrosserie de la Peugeot 202 à un moteur de 402 B en 1939[15].

Il a existé des versions à culasse fonte et à culasse en Alpax (meilleur rendement, puissance et moindre consommation). Certains exemplaires sont dotés de la boîte de vitesses semi-automatique Cotal, dont la commande électrique au volant est appelée moutardier[16].

Malgré l'interdiction du Diesel pour les véhicules de tourisme à cette époque, quelques prototypes et exemplaires sont équipés du moteur Diesel des utilitaires HL50.

402 B - 1939

[modifier | modifier le code]

En octobre 1938, la 402 prend le nom de 402 B. Sa mécanique propose dorénavant 12 CV fiscaux (soit 63 ch) pour une cylindrée de 2 142 cm3 et une vitesse maxi de 125 km/h. Esthétiquement, sa calandre est plus proéminente, et pour permettre un chargement plus important, la malle arrière, dont le volume est augmenté, abrite désormais la roue de secours. En 1939, une 402 B Légère plus performante vient étoffer la gamme : elle allie la caisse moins lourde et plus courte de la Peugeot 202 au moteur 2 142 cm3 de la 402, grâce auquel elle peut atteindre les 135 km/h[17]. En mai 1940 l'occupation allemande interrompt définitivement la fabrication des Peugeot 402 B[18].

Par ailleurs, afin de remplacer l'essence, rationnée dès , la Peugeot 402 se dote de solutions de remplacement. Le système gazogène en est une : cette technique n'est pas nouvelle, elle est déjà employée dans les années trente. Le principe du gazogène consiste à greffer sur le véhicule une installation permettant la combustion de bois, fournissant ainsi un gaz pauvre. Une fois filtré, ce dernier pénètre dans un mélangeur équipé d'une prise d'air installée au-dessus du carburateur. Il faut allumer le foyer et attendre une combustion idéale afin d'obtenir un flux de gaz régulier. Une 402 B équipée du gazogène « polycombustible » breveté Gohin-Poulenc atteint péniblement les 75 km/h tout en consommant 20 à 30 kg de charbon de bois à l'heure en moyenne[18] avec une faible autonomie.

Peugeot 402 Eclipse de 1936 et son toit rigide escamotable

402 Éclipse - 1936

[modifier | modifier le code]
La 402 Éclipse de face.

Peugeot est le premier constructeur à mettre en production le principe du toit en tôle d'acier escamotable dans le coffre arrière d'une automobile. Breveté en 1933, cette invention est l'œuvre de Georges Paulin, chirurgien-dentiste et dessinateur amateur par passion[19]. Émile Darl'mat possède une importante concession Peugeot à Paris. Il sait qu'une clientèle aisée est prête à payer plus cher pour rouler dans un modèle différent de la série. Il se procure les châssis nus chez Peugeot et le carrossier Marcel Pourtout transforme la voiture dessinée par le styliste G. Paulin. En 1936, la 402 Éclipse est équipée du toit électrique qui sera abandonné l'année suivante au profit d'un système manuel jugé plus fiable et moins gourmand en énergie. Elle en profitera pour abandonner le châssis normal de 3,15 m d'empattement pour celui de la série familiale de 3,30 m[20] permettant de transporter six personnes. Le pare-brise devient plat, d'une seule pièce sans division centrale et la roue de secours, jusque-là extérieure, intègre désormais la malle arrière. Durant l'été 1938, la 402 reçoit les roues Michelin Pilote à bâtons plats. De septembre 1935 à septembre 1940, quelque 580 Peugeot 402 Éclipse seront produites[18].

402 Darl'mat

[modifier | modifier le code]
Une 402 Darl'mat au Mans

Il existe aussi un modèle coupé carrossé par Darl'mat. Il est livré le aux Grands Garages de Champagne à Reims. Trois Darl'mat sont engagées aux 24 Heures du Mans 1937 et terminent 7e, 8e et 10e[14]. L’identité du premier propriétaire est toujours inconnue, on sait par contre qu’il est acquis en 1945 par un militaire américain. Ce dernier repart aux États-Unis avec la voiture et la conserve une vingtaine d’années. Il la cède ensuite à un amateur, qui, après l’avoir fait rouler, la remise dans une grange près de Seattle. Les circonstances dans lesquelles la voiture a été retrouvée ne sont pas banales. Venue se perfectionner à Paris dans le cadre de son travail, une jeune femme travaillant chez Peugeot à New York devient la stagiaire de Philippe Boulay, lui-même collaborateur de Darl’mat depuis plus de quarante ans. Revenue aux États-Unis, la jeune femme appelle Philippe Boulay quelques années plus tard pour lui signaler la présence d’une Darl’mat dans une grange[21].

D’abord quelque peu sceptique car échaudé à la longue par ce genre d’affirmations rarement confirmées, Philippe Boulay cède devant les preuves fournies : la présence de motifs décoratifs ronds sur les côtés du capot et la plaque arrière en forme de cœur. Rapatrié en France, le cabriolet arrive au Havre en 1989. La voiture a beaucoup souffert, mais elle est complète. Elle est exposée telle quelle à Rétromobile l’année suivante, avant de subir une restauration complète. La voiture est motorisée par un moteur quatre-cylindres en ligne à soupapes en tête de 55 ch, qui passa à plus de 60 ch avec la 402 B. Une boîte de vitesses semi-automatique électro-magnétique Cotal équipe la 402[21].

Cependant, son coût très élevé ne permet pas la réalisation en série. Des 32 cabriolets Darl’mat construits, il reste peu d’exemplaires aujourd’hui — une demi-douzaine environ. Au total, 105 Darl’mat ont été fabriquées, dont 20 coupés et 53 roadsters[21]. Cependant, cette 402 sportive a servi de faire valoir par Peugeot à l'occasion des salons de l'auto (au Grand Palais), pour prouver la qualité des productions de Sochaux.

402 utilitaires

[modifier | modifier le code]

Les utilitaires 402 s'appellent SK3 (cabine 402, moteur 302), SK4 (cabine 402, moteur 402), MK4 (cabine 402, moteur 402), MK5 (cabine 402 B, moteur 402 B) et DK5 (cabine 402 B, moteur 402 B, roues arrière jumelées)[22]. Cette dernière a été produite jusqu'en 1941 et utilisée sur le front de l'Est par l'armée allemande.

Type Moteur Base Puissance fiscale Autres spécificités Production
SK3 TE 302 10 CV.
SK4 TH 402 11 CV. Modèle spécial pour Exportation : SK3 avec moteur 402.
MK4 THU 402 11 CV. Radiateur coupe vent, cabine 2 pl. en 1936. Capot 402 et cabine élargie 3 pl. en 1937. 1712
MKN THU 402 11 CV. 1166
MKHL HL 50 402 Châssis long pour cars 18 places, utilisé exclusivement pour les services de transport des usines Peugeot.
MKH HL 50 402 Correspond exactement au MK4 avec un moteur Diesel. Même évolution en 1937. 47
HMK HL 50 402 Correspond exactement au MKN avec un moteur Diesel. 31
MK5 THU2 402 B 12 CV. C. U. 1200 kg 884
DK5 THU2 402 B 12 CV. C. U. 1400 kg 12733
D5G TH2G gazogène 402 B 9 CV. C. U. 1200 kg 2114

Berliet Dauphine 1939

[modifier | modifier le code]

La Berliet Dauphine 1939 reprend la carrosserie de la Peugeot 402B, avec une calandre et des phares, inspirés des productions américaines de l'époque. Sa production sera stoppée par la guerre. Elle sera la dernière automobile de la marque Berliet qui se consacrera ensuite à la fabrication de poids lourds. Plus tard, le visuel de la voiture fut utilisé pour la publicité et le packaging des cigarettes Gauloises Blue Way.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d et e A. Van den Abeele (2008)
  2. a et b « Peugeot 402 », sur Caradisiac
  3. a b c d et e 402 Légère : cf. « Peugeot 402 Légère de 1938 », sur Misterdim.com
  4. a b c et d Longueur normale : Berline / Grande longueur : Familiale.
    Empattement normal : Berline / Coach / Cabriolet / Roadster ;
    Empattement long : Familiale / Commerciale / Taxi.
    Cf. « Descriptif de la gamme Peugeot 402 », sur Série 02, (consulté le )
  5. « Les pourquoi de la Simcacinq », La Revue commerciale automobile,‎ , p. 378-379 (lire en ligne)
  6. « Chef-d'œuvre de la technique moderne », La Revue commerciale automobile,‎ , p. 371-375 (lire en ligne)
  7. a b et c S. Bellu (2008), p. 40
  8. « La Restauration de la 402 de Joachim », sur Peugeot 402.com
  9. Musée de l'Aventure Peugeot. The exhibit label (2012) states: «Peugeot commence à fabriquer des moteurs Diesel à partir de 1928, à la « Compagnie Lilloise des Moteurs », filiale d’Automobiles Peugeot, notamment pour les tracteurs agricoles ou ferroviaires, les bateaux, etc.. Le moteur Peugeot HL50, mis au point en 1936, est d’abord monté en série sur les utilitaires légers MK. Les premiers essais sont fait en 402 en 1938, avant de lancer la production en série. En 1939, la guerre stoppe le développement des 402 Diesel…..Consommation : 9 litres/100 km, en comparaison une 402 essence consommait 12 litres / 100 km.»
  10. « Automobilia », Histoire & collections, Paris, vol. Nr. 11,‎ , p. 68
  11. Gilles Bonnafous, « Peugeot 402 », sur Motorlegend
  12. François Vauvillier et Jean-Michel Touraine, L'automobile sous l'uniforme 1939-40, Massin, (ISBN 2-7072-0197-9), « Peugeot 402 B et BL », p. 48-49
  13. « Les P.K.W. de la Wehrmacht 1939-1945 : Les Peugeot 202 et 402 sous marquages allemands », Véhicules Militaires Magazine, no 36,‎ , p. 48-51 (lire en ligne)
  14. a et b « Peugeot 402 1935 », sur lecaav.com
  15. Peugeot 402, L'Aventure Peugeot
  16. Andy Adrian, « François Allain (Vintage Mecanic) : « Le Qatar n’est pas uniquement peuplé de voitures modernes » », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  17. Tiroirs de l'insolite : Peugeot 402 B Légère, par Bernard Fournol
  18. a b et c « Peugeot 402 », sur Patrick Miniatures
  19. H. Lamendin (2007), p. 95
  20. Les multiples facettes de la Peugeot 402
  21. a b et c Gilles Bonnafous, « Peugeot 402 Darl'mat », MotorLegend.com,
  22. « Peugeot SK et MK », in Charge-Utile no 70, octobre 1998

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Serge Bellu, Science & Vie : Peugeot 402 - L'automobile streamline made in France, Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Alain Van den Abeele, Voitures de route et de rêve : Histoires & utopies, S.l./Antony/Bruxelles, Renaissance Du Livre, , 171 p. (ISBN 978-2-87415-922-0) Document utilisé pour la rédaction de l’article

Ouvrages utilisés comme sources ponctuelles :

Liens externes

[modifier | modifier le code]