Péry | ||||
Chapelle Sainte-Marie de Péry. | ||||
Héraldique |
||||
Administration | ||||
---|---|---|---|---|
Pays | Suisse | |||
Canton | Berne | |||
Arrondissement administratif | Jura bernois | |||
Commune | Péry-La Heutte | |||
NPA | 2603 | |||
Démographie | ||||
Gentilé | Pérysiens | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 47° 11′ 39″ nord, 7° 15′ 00″ est | |||
Altitude | 635 m |
|||
Superficie | 15,57 km2 | |||
Divers | ||||
Langue | Français | |||
Localisation | ||||
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : canton de Berne
| ||||
modifier |
Péry est une localité et une ancienne commune suisse du canton de Berne, située dans l'arrondissement administratif du Jura bernois.
Le village de Péry est situé dans la partie inférieure (creux) du vallon de Saint-Imier, sur le cours de la Suze, à l’entrée de la cluse de Rondchâtel. Le point culminant se situe à 1312 mètres, sur le Montoz.
La première mention écrite, sous le nom de Péri, figure sur un acte de donation en faveur de l'abbaye de Moutier-Grandval datant de septembre 884. En 1244, Pierre de Péry (Büderich) est cité comme chevalier et maire de Péry. En 1654, le prince Jean-François de Schönau fait ériger un haut-fourneau à Reuchenette.
De 1797 à 1815, Péry a fait partie de la France, au sein du département du Mont-Terrible, puis, à partir de 1800, du département du Haut-Rhin, auquel le département du Mont-Terrible fut rattaché. Par décision du Congrès de Vienne, le territoire de l’ancien Évêché de Bâle fut attribué au canton de Berne, en 1815.
Le , les habitants de la commune acceptent à 82% la fusion de leur commune avec celle de La Heutte. La nouvelle commune, appelée Péry-La Heutte, est effective depuis le [1].
L'entreprise Ciments Vigier est installée à Rondchâtel depuis 1890.