: alors Capitaine et adjoint du général Legentilhomme à Djibouti, il envoie un télégramme au général Wavell, commandant en chef britannique, signifiant que « l'armée française à Djibouti n'accepte pas l'armistice »
: il quitte la côte des Somalis avec le général Legentilhomme et le capitaine Essars pour atteindre Aden
fin : il rallie les Forces françaises libres avec le général Legentilhomme à Khartoum où ce dernier prend le commandement des Forces françaises libres au Soudan et en Érythrée avec pour mission également de tenter de ramener les Somalis dans la guerre
, le commandant Appert est envoyé avec le lieutenant-colonel Diego Brosset et le capitaine Edmond Magendie au Somaliland pour prendre des contacts avec la Côte française des Somalis et récolter des renseignements. Il s’agit de savoir si le ralliement du territoire à la France libre est envisageable sans affrontement franco-français mais la mission échoue.
: Promu lieutenant-colonel, il est un des principaux artisans du ralliement de la côte française des Somalis en . Par son action tenace, il contribue grandement au ralliement de la majeure partie de la garnison
: Au sein de la Brigade Médoc, Raymond Appert s'empare des villages de Saint-Vivien et de Talais, menant son unité jusqu'au dernier réduit des défenses allemandes de la Pointe de Grave.