Saint-Quentin-de-Chalais

Saint-Quentin-de-Chalais
Saint-Quentin-de-Chalais
L'église Saint-Quentin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Joël Papillaud
2020-2026
Code postal 16210
Code commune 16346
Démographie
Gentilé Saint-Quentinois
Population
municipale
245 hab. (2021 en évolution de −7,89 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 15′ 32″ nord, 0° 04′ 08″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 146 m
Superficie 12,38 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Quentin-de-Chalais est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Saint-Quentinois et les Saint-Quentinoises[1].

Géographie

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Localisation et accès

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Saint-Quentin-de-Chalais est une commune du Sud Charente limitrophe avec le département de la Dordogne et non loin de la Charente-Maritime, située à 3 km au sud-est de Chalais et 44 km au sud d'Angoulême.

La commune a une forme assez allongée dans le sens nord-sud et son extrémité sud est bordée par la Dronne qui sert également de limite avec la Dordogne. Le bourg est plutôt situé au nord de la commune.

Le bourg de Saint-Quentin est aussi à 8 km à l'ouest d'Aubeterre-sur-Dronne, 8 km au nord-ouest de Saint-Aulaye, 12 km au nord de La Roche-Chalais, 21 km à l'ouest de Ribérac, 29 km au sud-est de Barbezieux, 45 km de Libourne et 69 km de Bordeaux[2].

La commune est un peu à l'écart des axes importants. Elle est cependant bien desservie par des routes départementales : la D 77 qui va de Chalais à Saint-Aulaye et la D 139 qui va vers Bonnes. La D 674, route d'Angoulême à Libourne, passe 2 km à l'ouest de la commune[3].

La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

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Comme de nombreuses communes charentaises, Saint-Quentin possède un habitat dispersé ; elle ne compte aucun hameau mais de nombreuses fermes ou lieux-dits : Auziac, Barbedorge, Biroche, Boisredon, Chevalier, Chez Binet, Chez Blanchon, Chez Brugier, Chez Jacquet, Chez Jouannet, Chez Massé, Chez Menaud, Chez Milord, Chez Nardon, la Barde, la Côte, la Grande Rougerie, la Grange d'Auziac, la Parcaud, la Petite Rougerie, le Fougeraud, les Bardoux, les Bergères, les Dougnes, le Puits, Saillant, Saint-Vivien[3].

Communes limitrophes

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Saint-Quentin-de-Chalais est limitrophe de sept autres communes, dont une en Dordogne.

Communes limitrophes de Saint-Quentin-de-Chalais
Chalais Orival Rouffiac
Saint-Avit Saint-Quentin-de-Chalais
Bazac Parcoul-Chenaud
(Dordogne)
Les Essards

Géologie et relief

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La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux qui occupe une grande partie du Sud Charente. Cette formation est très localement recouverte par des alluvions anciennes, sable et galets parfois enrobés d'argile comme au nord de Saint-Vivien, datant du Quaternaire, ou des altérites calcaires lors de ces périodes de glaciations, zones actuellement boisées autour du bourg. La vallée de la Dronne, au sud, est occupée par des alluvions plus récentes (partie inondable), parfois accumulées en basses terrasses (la Parcaud)[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui de bas plateaux vallonnés descendant vers le sud, occupé par la vallée de la Dronne. Le point culminant de la commune est à une altitude de 146 m, situé à l'extrémité nord en limite de commune avec Rouffiac et Orival. Le point le plus bas est à 27 m, situé au bord de la Dronne à l'extrémité sud-ouest. Le bourg de Saint-Quentin, niché dans un vallon, est à 85 m d'altitude[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Quentin-de-Chalais.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Dronne, la Beuronne, la Rivaille et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Dronne, affluent de l'Isle et sous-affluent de la Dordogne, passe en limite sud de la commune.

Un ruisseau, la Rivaille, parcourt toute la longueur de la commune et se jette dans la Dronne. Le bourg occupe la tête de sa vallée.

Au sud-ouest, un petit affluent de la Dronne sert de limite avec Bazac, et au sud-est, la Beuronne, qui descend de Saint-Romain fait la limite communale sur quelques centaines de mètres à son confluent avec la Dronne.

La commune comporte aussi quelques fontaines, comme la Fontaine de Guérison à l'est, la Fontaine de Chez Milord, la Font Guillière, et la Font Noire près du bourg[3].

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Milieux naturels et biodiversité

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À Saint-Quentin-de-Chalais, la vallée de la Dronne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[11],[12].

Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[11] :

Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[11].

Au , Saint-Quentin-de-Chalais est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,4 %), forêts (19,1 %), prairies (11,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Quentin-de-Chalais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Quentin-de-Chalais.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 167 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 167 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Le nom de la paroisse est attesté par la forme ancienne, en latin, Sanctus Quintinus (non datée, Moyen Âge)[22].

Quintinus était un apôtre chrétien, évangélisateur de la Gaule, martyr du IIIe siècle[23].

Au XVIIe siècle, la paroisse s'est aussi appelée Saint-Quentin-de-Sèche, à cause de la sécheresse et de l'aridité du sol des collines[24],[25].

Entre 1790 et 1936 la commune s'appelait Saint Quentin, puis Saint-Quentin à partir de 1801. Pendant la Révolution, elle s'appelait Quintini ou La Quintinie[26]. L'actuelle dénomination officielle a été instaurée en 1937[27].

En juin 1909, un souterrain-refuge a été découvert près de l'église. Il consiste en plusieurs chambres taillées dans le roc et reliées entre elles par des couloirs.

Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par un moulin à blé au Saillan, sur la Dronne, et l'élevage de veaux de boucherie était assez important[28].

Administration

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1888 1922 Lajeunie    
1922 1930 Lucien Maurice    
1930 1945 Victor Lavergne    
1945 1959 Amédée Théodore    
1959 1971 Albert Lavergne    
1971 1977 Jean-Claude Rocher    
1977 1981 Raymond Papillaud    
1981 1995 Guy Capdeville    
1995 En cours Joël Papillaud DVG Président de la communauté de communes jusqu'en 2020

Les réélections n'apparaissent pas.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 245 habitants[Note 1], en évolution de −7,89 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
879783780889865799817802725
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
737697617603588557563526527
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
508483442429391398392355285
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
259230219243250269274269250
2021 - - - - - - - -
245--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 128 hommes pour 122 femmes, soit un taux de 51,2 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
11,7 
75-89 ans
16,4 
21,9 
60-74 ans
20,5 
22,7 
45-59 ans
27,0 
15,6 
30-44 ans
13,1 
12,5 
15-29 ans
10,7 
15,6 
0-14 ans
12,3 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Agriculture

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L'agriculture consiste principalement en élevage de veaux et production de céréales (colza, tournesol, maïs).

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[34].

Équipements, services et vie locale

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La salle des fêtes.

Lieux et monuments

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Patrimoine religieux

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L'église de Saint-Quentin-de-Chalais

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L'église paroissiale Saint-Quentin est de style roman (XIIe siècle) pour la partie centrale, et gothique primitif (XVe siècle) pour les bas-côtés. Comme beaucoup d'autres églises, elle fut construite sur les restes d'un édifice antérieur. À la fin du Moyen Âge elle est fortifiée avec chemin de ronde, salle de garde, bretèche et clocher donjon. Elle est classée monument historique depuis 1913[35].

Son tabernacle du XVIIe siècle en bois sculpté et peint représentant la Crucifixion est inscrit monument historique à titre objet depuis 2002[36]. La cloche actuelle de l'église a été fondue en 1548 et refondue en 1907. À l'origine l'église avait deux cloches, l'une d'elles a été fondue pendant la Révolution pour faire des canons.

La fontaine de Guérison

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Cette fontaine, située près de la Beuronne en direction des Essards, était un lieu de pèlerinage tous les jusque dans les années 1970. Une chapelle a été construite à proximité.

Patrimoine civil

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Motte à Puygoyon

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La Motte à Puygoyon, dans le sud de la commune, est une motte castrale détruite semble-t-il pendant la guerre de Cent Ans. Ancien siège d'une baronnie qui dépendait du marquisat d'Aubeterre, on en retrouve la trace jusqu'à la Révolution française. Aujourd'hui c'est une motte boisée avec ses fossés visibles[37].

Autre patrimoine bâti

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Lors de la construction de l'école, des ouvriers découvrent un cluzeau situé à proximité de l'église le , description et communication à la Société archéologique et historique de la Charente par M. Lafitte en .

Il y a eu deux moulins sur la commune, le moulin d'Auziac et le moulin de Saillant.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Quentin-de-Chalais » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Saint-Quentin-de-Chalais », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. a b et c [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  12. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  14. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Quentin-de-Chalais », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Quentin-de-Chalais », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 130
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 625.
  24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  25. [PDF] Brigitte Bousquet, Inventaire supplémentaire des monuments historiques, ministère de la Culture, « Dossier de protection du couvent des Minimes d'Aubeterre-sur-Dronne, notice Mérimée PA00104562, p.5 sur 26 », (consulté le ).
  26. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente,‎ 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 346-347
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Quentin-de-Chalais (16346) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  34. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  35. « Église paroissiale », notice no PA00104509, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. « Tabernacle », notice no PM16000645, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  37. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 321.

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Articles connexes

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Liens externes

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