Saint Maxime ou Sainte Maxime désigne plusieurs saints et bienheureux des Églises chrétiennes, dont le plus célèbre est Maxime le Confesseur († 662).
Par ordre chronologique du décès (natilice) :
- Maxime de Padoue (entre IIe siècle et IVe siècle), possible deuxième évêque de Padoue en Vénétie, successeur de saint Prosdocime, confesseur et thaumaturge ; célébré le 2 août[1],[2].
- Maxime d'Alexandrie († 288), évêque d'Alexandrie ; célébré le 27 décembre[3].
- Maxime de Césarée (IIIe siècle), prêtre et martyr, est mis à mort sur la via Appia à Rome ; célébré le 19 novembre[4].
- Maxime de Rome († 260), officier converti par saint Valérien et saint Tiburce qu'il était chargé d'exécuter, mort sous la torture, martyr avec eux et sainte Cécile ; célébrés le 14 avril[5] et le 22 novembre[6].
- Maxime de Constantinople († 229), patriarche ; célébré le 17 novembre[réf. nécessaire],[Information douteuse].
- Maxime d'Aveia († 250), martyr à L'Aquila, dans les Abruzzes ; célébré le 20 octobre[7]
- Maxime le marchand († 250 ou 251), riche marchand d'Asie Mineure, martyr lapidé durant la persécution de Dèce ; célébré anciennement le 30 avril (?) puis le 14 mai[8],[9].
- Maxime d'Ostie († 295), arrêté avec sa famille sur ordre de l'empereur Dioclétien, martyrs à Ostie, près de Rome ; célébré le 18 février[10].
- Maxime dit Le Gros († 299), évêque de Borsippa, frère du célèbre philosophe et théoricien Philippe dit Le Gros, disparu sans laisser de trace près de Lawland ; célébré le 31 août[réf. nécessaire],[Information douteuse].
- Maxime de Carthage (IIIe siècle), martyr avec Térence, Pompée, Africain et 36 autres compagnons ; célébré le 10 avril et le 28 octobre[réf. nécessaire].
- Maxime de Cumes († 303), martyr à Cumes en Campanie ; célébré le 30 octobre[11].
- Maxime de Durostorum ou Maxime de Mysie († vers 303), avec saint Quintilien et saint Dadas, martyrs dans la Mysie inférieure (aujourd'hui Bulgarie) ; célébré le 28 avril[12] et le 2 août (translation de reliques)[réf. nécessaire].
- Maxime d'Andrinople († entre 305 et 311), martyr ; célébré le 19 février[réf. nécessaire],[Information douteuse].
- Maxime de Jérusalem († 350), évêque de Jérusalem ; célébré le 5 mai[réf. nécessaire].
- Maxime de Naples († 359), évêque de Naples, puni d'exil par l'empereur Constance II ; célébré le 11 juin par les catholiques[13] et le 12 juin par les orthodoxes[14].
- Maxime de Mayence († 378), dix-neuvième évêque de Mayence ; célébré le 18 novembre[réf. nécessaire].
- Maxime d'Évreux (IVe siècle), martyr avec saint Vénérand ; célébré le 25 mai[réf. nécessaire].
- Maxime de Turin († 423), serait né à Verceil en Italie, évêque de Turin ; célébré le 25 juin[réf. nécessaire].
- Maxime de Riez († 462), moine de Lérins, il succéda à saint Honorat comme abbé puis devint évêque de Riez ; célébré le 27 novembre[15]. L'Histoire littéraire de la France lui consacre un chapitre[16].
- Maxime († 483), un enfant, avec Septime et Rogat moines, ainsi que Rustique et Serf ou Servus , sous-diacres de Boniface, lui-même diacre de l'abbé Libérat, tous martyrs à Carthage par la main des Vandales ariens sous Hunéric ; fêtés le 2 juillet[17] ;
- Maxime de Vienne († 625), abbé d'un monastère de Vienne en Dauphiné ; célébré le 2 janvier[réf. nécessaire].
- Maxime le Confesseur († 662), orphelin originaire des environs de Tibériade, élevé dans un monastère de Palestine, moine torturé puis condamné à l'exil ; célébré le 21 janvier en Occident (dies natalis) et le 13 août en Orient (translation de reliques)[réf. nécessaire].
- Maxime Branković (?), métropolite de Belgrade ; célébré le 18 janvier[réf. nécessaire].
- Maxime de Kiev († 1305), d'origine grecque, métropolite de Kiev (1285-1305) puis de toute l'église russe en 1283 ; célébré le 6 décembre[réf. nécessaire].
- Maxime de Lampsaque († 1365), originaire de Lampsaque sur les rives de la mer de Marmara, moine à 17 ans dans un monastère de la Thrace ; célébré le 13 janvier[réf. nécessaire].
- Maxime de Moscou († 1433), « fol en Christ » vivant à Moscou à l'époque de la domination tatare ; célébré le 11 novembre[réf. nécessaire].
- Maxime de Serbie († 1546), fils du prince de Serbie, saint Étienne l'aveugle, entra au monastère de Manssia, puis chassé par les Turcs, se réfugia en Roumanie où il devint évêque, se retira finalement au monastère de Kroushedol en Serbie ; célébré le 18 janvier[réf. nécessaire].
- Maxime le Grec († 1556), originaire d'Arta en Épire, grec, moine en Russie ; célébré le 21 janvier[réf. nécessaire].
- Maxime de Totma († 1650), prêtre à Totma, dans la région de Vologda en Russie ; célébré le 16 janvier[20],[21].
- Maxime Sandovitch († 1914), né en Ruthénie, entre la Pologne et la Slovaquie, prêtre en Ukraine ; célébré le 6 septembre[réf. nécessaire].