Seilh | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Toulouse Métropole | ||||
Maire Mandat |
Didier Castéra 2020-2026 |
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Code postal | 31840 | ||||
Code commune | 31541 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Seilhois, Seilhoises | ||||
Population municipale |
3 266 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 530 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 41′ 44″ nord, 1° 21′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 112 m Max. 145 m |
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Superficie | 6,16 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Blagnac | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-seilh.fr/ | ||||
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Seilh [sɛj] est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Garonne, l'Aussonnelle, un bras de la Garonne et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée de la Garonne de Muret à Moissac » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), deux espaces protégés (le « bras mort de Fenouillet » et le « cours inférieur de la Garonne ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Seilh est une commune urbaine qui compte 3 266 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Seilhois ou Seilhoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Rochemontès, inscrit en 1946 puis en 2008.
La commune de Seilh se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Sur le plan historique et culturel, Seilh fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[1].
Elle se situe à 12 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 7 km de Blagnac[3], bureau centralisateur du canton de Blagnac dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Gagnac-sur-Garonne (1,8 km), Aussonne (3,0 km), Lespinasse (3,0 km), Fenouillet (3,7 km), Beauzelle (3,8 km), Saint-Alban (4,9 km), Merville (5,4 km), Saint-Jory (5,4 km).
Seilh est limitrophe de cinq autres communes dont deux en rive droite de la Garonne.
La Garonne sépare la commune de celles de Fenouillet et Gagnac-sur-Garonne (en partie), en rive droite.
La superficie de la commune est de 616 hectares ; son altitude varie de 112 à 145 mètres[6].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Garonne, l'Aussonnelle, un bras de la Garonne, le Barnefond, le ruisseau des Garossos et le ruisseau du Serpent, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[9].
L'Aussonnelle, d'une longueur totale de 42,4 km, prend sa source dans la commune de Saint-Thomas et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il se jette dans la Garonne sur le territoire communal, après avoir traversé 12 communes[10].
En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 704 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 7 km à vol d'oiseau[13], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[22] :
et un au titre de la directive oiseaux[22] :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[25] : le « cours de l'Aussonnelle et rives » (76 ha), couvrant 12 communes du département[26] et « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[25] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[28].
Au , Seilh est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse[Note 5], une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (46,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (30 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (29,6 %), terres arables (19,4 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (15,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,6 %), forêts (5,1 %), eaux continentales[Note 8] (3,5 %), mines, décharges et chantiers (0,9 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès par la A621.
La ligne 130 du réseau Tisséo relie le centre de la commune à la station Andromède-Lycée de la ligne T1 du tramway, à Blagnac, le TAD 118 relie la commune à la station Aéroconstellation du tramway de Toulouse, et la ligne 388 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la station Basso Cambo du métro de Toulouse via la zone aéroportuaire de Blagnac depuis Grenade.
Le territoire de la commune de Seilh est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Toulouse, regroupant 15 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[32]. Les événements significatifs passés sont la crue généralisée sur le bassin de la Garonne des 23 et 24 juin 1875 (7 500 m3/s à Toulouse), qui a fait 208 morts et détruit 1 219 maisons, et la crue des 1er au (3 300 m3/s) à Toulouse, qui a fait 7 victimes. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[33]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[34],[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 824 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 824 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[30].
La commune est en outre située en aval des barrages de Cap de Long sur la Neste de Couplan (Hautes-Pyrénées) et de l'Estrade sur la Ganguise (Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[37].
Au sud-est de la commune, sur une terrasse surplombant la Garonne, le site du château de Percin atteste d'une présence humaine au Néolithique[38].
Le centre du village s'est déplacé. Il surplombait autrefois la vallée de l'Aussonnelle, là où se trouve le cimetière. L'église paroissiale, consacrée à saint Pierre aux Liens, était d'ailleurs située à cet endroit[réf. souhaitée]. L'église actuelle date de 1881.
Jusqu'aux années 1990, le village de Seilh a connu un lent accroissement de sa population. L'urbanisation du village a commencé par l'installation du golf. Elle s'est étendue ensuite par des lotissements au quartier des Tricheries, avant de concerner les bords de l'Aussonnelle et le vieux village.
Son blasonnement est : Écartelé : au premier et au quatrième de gueules à la tour d'or, ouverte et ajourée de sable, au deuxième et au troisième d'or à l'arbre arraché au naturel ; à la divise ondée d'azur brochant sur le trait du coupé de la partition. La présence de deux tours fait référence à la présence de deux châteaux à Seilh. Certains Seilhois revendiquent le corbeau pour emblème de la commune. Par ailleurs, sainte Blandine, patronne de la commune, est honorée d'une procession tous les 2 juin. |
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-trois[39],[40].
Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne, de Toulouse Métropole et du canton de Blagnac (avant le redécoupage départemental de 2014, Seilh faisait partie de l'ex-canton de Grenade).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44]. En 2021, la commune comptait 3 266 habitants[Note 9], en évolution de +2,22 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
selon la population municipale des années : | 1968[47] | 1975[47] | 1982[47] | 1990[47] | 1999[47] | 2006[48] | 2009[49] | 2013[50] |
Rang de la commune dans le département | 157 | 171 | 178 | 145 | 75 | 64 | 64 | 68 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Seilh fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par l'école primaire Léonard de Vinci.
Le collège est situé dans la commune voisine de Beauzelle et le lycée Saint-Exupéry se trouve à Blagnac.
Sur la commune, est également présent l'ensemble scolaire privé L'Annonciation, qui assure l'éducation de la PS jusqu'à la terminale.
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la métropole de Toulouse Métropole[51].
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 418 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 3 205 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 28 800 €[I 6] (23 140 € dans le département[I 7]). 75 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 11] (55,3 % dans le département).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 8] | 5 % | 6,1 % | 6,6 % |
Département[I 9] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 333 personnes, parmi lesquelles on compte 81,8 % d'actifs (75,2 % ayant un emploi et 6,6 % de chômeurs) et 18,2 % d'inactifs[Note 12],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 639 emplois en 2018, contre 663 en 2013 et 598 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 765, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 71,5 %[I 12].
Sur ces 1 765 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 270 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 89,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
297 établissements[Note 13] sont implantés à Seilh au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 15].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
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Nombre | % | % | |
Ensemble | 297 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
9 | 3 % | (5,7 %) |
Construction | 25 | 8,4 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
76 | 25,6 % | (25,9 %) |
Information et communication | 11 | 3,7 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 12 | 4 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 16 | 5,4 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
63 | 21,2 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
59 | 19,9 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 26 | 8,8 % | (7,9 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,6 % du nombre total d'établissements de la commune (76 sur les 297 entreprises implantées à Seilh), contre 25,9 % au niveau départemental[I 16].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[52] :
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 11 | 2 | 3 | 2 |
SAU[Note 15] (ha) | 129 | 67 | nd | 45 |
La commune est dans « les Vallées », une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (onze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 45 ha[55],[Carte 6],[Carte 7].