Tinténiac

Tinténiac
Tinténiac
L'église de la Sainte-Trinité.
Blason de Tinténiac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Communauté de communes Bretagne romantique
Maire
Mandat
Christian Toczé
2020-2026
Code postal 35190
Code commune 35337
Démographie
Gentilé Tinténiacois
Population
municipale
3 851 hab. (2021 en évolution de +10,98 % par rapport à 2015en évolution de +10,98 % par rapport à 2015)
Densité 165 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 19′ 44″ nord, 1° 50′ 05″ ouest
Altitude Min. 31 m
Max. 90 m
Superficie 23,40 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Tinténiac
(ville isolée)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Combourg
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Tinténiac
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Tinténiac
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Tinténiac
Liens
Site web http://www.tinteniac.fr/

Tinténiac est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

En 2021, avec 3 851 habitants[Note 1], elle est la 69e commune la plus peuplée d’Ille-et-Vilaine et la 205e de Bretagne[1].

Géographie

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Localisation

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Vue de la commune.

La ville de Tinténiac est située le long de la route nationale 137, à 28 km de Rennes et 43 km de Saint-Malo.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Tinténiac
Trimer Québriac / Saint-Domineuc Combourg
La Baussaine Tinténiac Dingé
Saint-Brieuc-des-Iffs / Les Iffs Hédé-Bazouges Guipel

Hydrographie

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La commune est traversée par deux cours d'eau :

Vue panoramique de l'écluse de La Moucherie.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 741 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Quiou à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Tinténiac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tinténiac[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (92,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,4 %), zones agricoles hétérogènes (21,1 %), prairies (14,1 %), zones urbanisées (9,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), forêts (1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Elle est attestée sous les formes de Tinteniacum en 1032[15], et de Teinteniac au XVe siècle[réf. nécessaire].

Tinténiac est un toponyme composé de deux éléments : Tinténi-, qui représente peut-être l'anthroponyme gallo-romain Tintinius et -acum, suffixe locatif et de propriété d’origine gauloise[16]. Ce suffixe, qui marque la localisation, puis la propriété, est d'origine celtique (gauloise) -acon et remonterait au celtique commun *-āko qui explique également le brittonique -ogon, à l'origine du gallois -og et du vieux breton -oc, breton moderne -ec (noté -eg dans l'orthographe actuelle). « Le domaine de Tintinius »[15].

L'évolution régulière en *Tintégny ou plutôt *Tinténé dans l'ouest, propre aux pays de langue d'oïl, ne s'est pas effectuée dans ce cas, car la commune était bretonnante au IXe siècle et le -acum [en réalité gallo-roman -ACU] a ainsi évolué en -ac et non en -ay, -é, ou -y comme dans les zones de langue d'oïl. Par contre, le nom de la commune homonyme de Tintigny (Belgique) est conforme à la phonétique d'oïl. Probable homonymie également avec Tintignac, hameau de la Corrèze, dont le -ac est caractéristique de la phonétique occitane.

La commune est appelée Teintenyac en gallo et Tintenieg en breton.

Le gentilé est Tinténiacois[17].

Le site de Tinténiac est fréquenté depuis le Néolithique. Des vestiges, dont un abondant mobilier lithique et des céramiques du Néolithique moyen, sont retrouvés lors du tracé de la voie express Rennes-Saint-Malo. Tinteniac est cité au VIe siècle comme « Tendenaco villa… civis Rhedonica » dans la Vie de saint Pair, fondateur de l'abbaye de Sesciacum (aujourd'hui Saint-Pair-sur-Mer, Manche), écrite par Venance Fortunat[18]. Un village carolingien découvert à la Cocherais, a également livrés de nombreuses céramiques.

La première mention officielle de Tinténiac figure dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Georges de Rennes en 1032. L'église et le village qualifié de « gros bourg », sont alors donnés par le duc de Bretagne Alain III à sa sœur, Adèle, abbesse de Saint-Georges, à l'occasion de la fondation de l'abbaye. L'abbesse rétrocède par la suite une grande partie de son fief.

La seigneurie de Tinténiac passe ensuite, par le jeu des alliances successives, aux Laval, Coligny, Coëtquen et La Motte. Un membre de la branche cadette de cette dernière famille, Vincent de Tinténiac connu comme chevalier de Tinténiac, est l'un des grands noms de la Chouannerie. Il participe à l'organisation du débarquement de Quiberon, le .

Recto et verso d'une carte civique délivrée par la municipalité de Tinténiac en l'an III (1795).

La Révolution française institue la commune de Tinténiac; qui absorbe entre 1790 et 1794 celle de Saint-Méloir-sous-Hédé, également nommé Saint-Méloir-des-Bois[19],[20]. La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795 ; l’anniversaire de la fondation de la République est aussi célébré à partir de 1797[21].

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le , la commune est libérée par le Combat Command A de la 6e division blindée.

La vie économique du bourg, fondée principalement sur l'agriculture jusqu'en 1950, connaît à cette date un nouvel essor, dû à la création d'établissements scolaires et au développement des activités tertiaires, ainsi que de l'industrie, dans les années 1960, avec l'usine de salaisons d'Ille-et-Rance (SIRSA)[22]. L'entreprise s'appelle désormais "les recettes de Tinténiac" et emploi une vingtaine de salariés dans le domaine de la boucherie-traiteur. En 2022, le premier employeur de la commune est le fabricant de climatiseurs, notamment destiné à l'industrie automobile, Sanden Manufacturing Europe[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Malo en Ille-et-Vilaine. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Claudia Rouaux (PS-NFP). Auparavant, elle a successivement appartenu à la circonscription de Saint-Malo (Second Empire), la 2e circonscription de Saint-Malo (IIIe République), la 6e circonscription (1958-1986) et la 2e circonscription (1988-2012).

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Tinténiac. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Combourg.

Intercommunalité

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Depuis le , Tinténiac appartient à la communauté de communes Bretagne Romantique. Cette intercommunalité a succédé à l'association pour le développement économique du Combournais puis au SIVOM des cantons de Combourg, Tinténiac et Pleine-Fougères, fondé en , auquel appartenait la commune.

Administration municipale

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Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23[23].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
avril 1945 1966
(décès)
Charles Provost CNIP Notaire
mai 1966 juin 1995 Jean Provost   Notaire
Officier des Palmes académiques
juin 1995 mars 2001 Roger Rebours[26] PS Professeur puis principal adjoint de collège
mars 2001[27] mai 2020 Louis Rochefort Centre droit Entrepreneur de charpente et de menuiserie retraité
3e vice-président de la CC Bretagne Romantique (2001 → 2016)
Réélu en 2008 et 2014[28],[29]
mai 2020[30],[31] En cours Christian Toczé DVG Directeur territorial retraité
5e vice-président de la CC Bretagne Romantique (2020 → )
Élu pour le mandat 2020-2026

Tendances politiques et résultats

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Carte
Villes jumelles avec TinténiacVoir et modifier les données sur Wikidata
Villes jumelles avec TinténiacVoir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Bersenbrück[32]Allemagnedepuis
BotesdaleRoyaume-Unidepuis
Redgrave[33]Royaume-Unidepuis
RickinghallRoyaume-Unidepuis

Depuis 1993, la commune est jumelée avec les trois villages anglais de Botesdale, Redgrave et Rickinghall, tous situés au nord du comté de Suffolk.

Depuis 2000, elle est jumelée avec la ville allemande de Bersenbrück (Basse-Saxe), située au nord-ouest du pays, à mi-chemin entre Brême et la frontière néerlandaise. Une charte de jumelage fut cosignée par les maires de l'époque, Roger Rebours et Walter Sandbrink[34], ainsi que par Pierre Saget et Jean-Claude Goupil, premiers édiles de Saint-Domineuc et Québriac, communes associées au jumelage[35].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

En 2021, la commune comptait 3 851 habitants[Note 4], en évolution de +10,98 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1242 1102 0012 3002 1642 1252 0052 1262 156
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1632 1492 1762 1842 1772 2132 2332 1942 201
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0681 9621 8871 6341 6431 6381 5351 7731 948
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 7941 9382 0402 1732 1632 4343 0793 2473 372
2018 2021 - - - - - - -
3 7043 851-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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  • École publique René-Guy-Cadou.
  • École Notre-Dame.
  • Collège Théophile-Briant[39].
  • Collège Saint-Joseph.
  • Lycée Bel-Air enseignement technique public.
  • Lycée professionnel rural privé.
  • L'USTSD est le club tinténiacois associé avec Saint-Domineuc, comprenant quatre sections sportives : football, volley-ball, basket et badminton.
  • Tinténiac Tennis Club.
  • Tinténiac-Combourg Handball Club.
  • Amicale Cyclo-touriste d'Ille-et-Rance.
  • Club du Dragon Vert (Qwan Ki Do).
  • Les Archers de la Bretagne Romantique.
  • Canoë-kayak.
  • Courir à Titéniac-Québriac

Manifestations culturelles et festivités

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  • Festival Tinté Festi'Live (dernière édition en 2015).
  • Festival Tinté Art Rue (dernière édition en 2012).
  • Festival Les Hivernales.
  • Festival Les Jeux divers.
  • Les 6 Heures de Tinténiac.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église de la Sainte-Trinité.
Le manoir de la Grand Cour.
  • La Motte Boutier, motte féodale de 30 m de diamètre très érodée située dans la forêt de Tanouarn, en Tinténiac, juste en limite de la paroisse de Dingé. Ce site semble appartenir à la famille Boutier[Note 5], issue des seigneurs de Combourg et Dol, et qui possédait, à l’époque moderne, de nombreux biens sur le territoire de la paroisse de Dingé. De plus, Thomas, fils de Boutier, concéda le don de Guillaume de Montfort dans la foresta de Tanouarn et Hubert Boutier céda ce qu’il avait sur la Haie Pleebosq en 1223, nom donné par le cadastre de 1836 à la parcelle où se situe la motte nommée le Bois de la Plesse. La seigneurie de la Motte Boutier est citée à la fin du XIVe siècle[40].
  • Dans le bourg, plusieurs maisons du XVe siècle, XVIe et XVIIe siècles : manoir de la Grand Cour (rue des Dames) ; hôtel de Mélesse ; hôtel Préciaux Des Cours ; grenier à sel (sur les bords du canal d'Ille-et-Rance).
  • Manoir de la Besnelais (XVIe – XVIIe siècles).
  • Canal d'Ille-et-Rance ; écluses et maisons éclusières (Tinténiac et la Moucherie).
  • Musée de l'Outil et des Métiers[41].
  • Prieuré Notre-Dame[42].
  • Église de la Sainte-Trinité : église paroissiale (1908), construite sur les plans d'Arthur Regnault.
  • Chapiteau de l'ancienne église (début XIVe siècle).
  • Chapelle du prieuré : reste de l'ancienne église (XVe siècle). Cette chapelle du transept nord est l'unique partie de l'ancienne église qui a été modifié en 1444. Aujourd'hui cette chapelle abrite le retable attribué à Tugal Caris.

Peintures murales

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
D’or à la jumelle d’azur, au bâton de gueules brochant sur le tout, à la bordure d’hermine.

Ce blason est inspiré de celui de la Famille de Tinténiac . En 1384, figure parmi la noblesse de robe française[43][pas clair].

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les descendants de la famille Boutier auraient dû normalement s'appeler Le Chat. Ce fut Thomas filius Buterus Catus qui en décida autrement en se faisant appeler Thomas Boutier.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Population en Bretagne : combien d'habitants dans votre ville - Tinténiac ? », Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Tinténiac et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Tinténiac », sur insee.fr (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Tinténiac ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rennes », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons », Éditions Jean-paul Gisserot (ISBN 2877474828, consulté le ), p. 114-115, sur Google books.
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, 1979.
  17. « Un week-end chargé pour les footballeurs tinténiacois », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  18. Émile-Aubert Pigeon, Vies des saints du diocèse de Coutances et Avranches, Avranches, 1891, p. 53.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Notice communale - Saint-Méloir-des-Bois », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  21. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, pp. 398-399 et 401.
  22. Le Patrimoine des communes de France, Flohic Éditions.
  23. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  24. « Les maires de Tinteniac », sur francegenweb.org (consulté le ).
  25. « Tinténiac : Élection d'un maire », L'Ouest-Éclair, 14 mai 1911 (archives du journal Ouest-France)
  26. « L'hommage à Roger Rebours, ancien maire : Beaucoup de monde était présent, jeudi, à l'Espace Ille-et-Donac, pour un dernier hommage à Roger Rebours, disparu en début de semaine. », Ouest-France, édition Ille-et-Vilaine, vol. Ouest-France,‎ (ISSN 1285-7688, lire en ligne, consulté le ).
  27. « Municipales à Tinténiac. La liste de Louis Rochefort est complète », Ouest-France, édition de Rennes,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Louis Rochefort, « bientôt 70 ans », conseiller municipal de la majorité en 1989, puis dans l’opposition en 1995, Louis Rochefort a été élu maire en 2001, réélu en 2008 et c’est à la tête d’une liste sans étiquette qu’il briguera, en mars prochain, un troisième mandat de maire ».
  28. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535,‎ , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
  29. « Tinténiac (35190) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr (consulté le ).
  30. « Municipales. À Tinténiac, scrutin serré et victoire de Christian Toczé », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  31. « Municipales à Tinténiac. Christian Toczé a été élu maire samedi matin », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  32. « Jumelage et stages en Allemagne »
  33. « Redgrave - Suffolk »
  34. (de) « Städtepartnerschaft Bersenbrück-Tinténiac », sur noz.de, .
  35. Site officiel du comité de jumelage de Tinténiac et du pays de la Donac
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Renfermait dans le réfectoire de l'établissement une peinture a fresco Les Amazones de la chouannerie (1955) de Geoffroy Dauvergne (1922-1977) d'après le roman de Théophile Briant (1891-1956) , d'environ 60 m2, dans le cadre du 1% artistique, œuvre disparue (cf. Alain Valtat (préf. René Quillivic, introduction:Mickaël Compagnion), Catalogue Raisonné du Peintre Geoffroy Dauvergne (1922-1977), Sceaux, Lévaña (auto-édition), , 483 p. (OCLC 463998037, BNF 35857851). pp. 359-371.
  40. Michel Brand’Honneur, Manoirs et château dans le comté de Rennes, Rennes, PUR.
  41. Site officiel du musée de l'Outil et des Métiers.
  42. Fiche d'Inventaire préliminaire.
  43. Quid 2004.