La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
1Carte dynamique
2Carte Openstreetmap
3Carte topographique
4Carte avec les communes environnantes
Vernou-la-Celle-sur-Seine est située à environ 78 km au sud-est du centre de Paris et à environ 38,8 km au sud-est de la préfecture de Seine-et-Marne, Melun, sur la rive droite de la Seine juste avant son confluent avec le Loing[Carte 1].
L'altitude de la commune varie de 42 mètres à 145 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 81 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontainebleau à 11 km à vol d'oiseau[14], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,1 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].
la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[21],[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Vernou-la-Celle-sur-Seine comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 1],[23],[Carte 2] :
Au , Vernou-la-Celle-sur-Seine est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[29].
Elle appartient à l'unité urbaine de Champagne-sur-Seine[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[30],[31]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[31]. Cette aire regroupe 1 929 communes[32],[33].
La commune compte 125lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[34] dont la Basse Roche, la Thurelle, Poste de Chesnoy, le Montoir, Moulin des Serpes, le Panorama, Marangis, Moulin de Nanchon (source : le fichier Fantoir).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (50,9% ), terres arables (25,5% ), zones agricoles hétérogènes (7,9% ), zones urbanisées (7,3% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2% ), eaux continentales[Note 7] (1,3% ), prairies (1,1 %)[35].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[36],[37],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[38].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[39]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 1 114 dont 93,2 % de maisons et 6,7 % d'appartements.
Parmi ces logements, 90,1 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 5,6 % des logements vacants[Note 8].
La part des ménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 87,2 % contre 12,3 % de locataires[40] dont, 3,2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et, 0,5 % logés gratuitement.
Du mot gauloisvernos « aulne »[41] et qui a donné l'occitanvern(a), appellation méridionale de l'aulne vert, utilisée également en français pour désigner cet arbre. Dans ce cas, c'est plutôt le sens primitif du mot gaulois noté *uerno-, *uerna, plutôt que vernos, (cf. breton gwern, irlandais fern) « lieu humide, marais, marécage »[42]. Sans doute apparenté à un thème pré-celtique *wer-, désignant l'eau[43]. Le verne est un arbre dont le nom est, étymologiquement, à l’origine du nom de nombreux lieux, lieux dits, hameaux, villages ou villes, en France comme à l'étranger.
Une celle est un nom commun en moyen français médiéval[44] (du latin cella, « chambre »)[45], qui désignait au Moyen Âge une cellule d'ermite[46], parfois devenue un ermitage puis un petit monastère dépendant le plus souvent d'une abbaye.
Une occupation humaine (Homo heidelbergensis), datée d’environ - 425 000 années est avérée. Des restes osseux d’un hippopotame, d’un cerf, d’un équidé, d’un macaque et d’un petit carnivore ont été découverts en 2006[47].
Mentionnée au XIe siècle. Commune fondée en 1971 par la réunion, des communes de Vernou-sur-Seine et de La Celle-sur-Seine, anciennement La Celle-sous-Moret.
Le domaine de Tournancie ou Tournanfuye appartenait aux Villebéondits le Chambellan (ou la Chambellane pour les dames ; issus de la famille Le Riche de Beaumont et alliés aux Nemours) ; la fille héritière de Gautier IV, Marguerite, dame de Villebéon et Tournanfuye, fl. av. 1300, épousa vers 1275 Thibaud de Bommiers/Beaumetzde Blaison, d'où Marguerite et Mahaut/Mathilde de Bommiers (les sources divergent quant à la succession de Villebéon et Tournanfuye : l'historien Emile-Louis Richemond (1908) dit que ces seigneuries passent aux Crespin du Bec, Mahaut de Bommiers ayant épousé Guillaume VII Crespin du Bec[48] ; alors que d'autres les voient passer aux Roucy-Pierrepont, Marguerite de Bommiers ayant marié Jean V, comte de Roucy de 1304 à 1346[49] : on remarque que leur arrière-petit-fils Jean VI est le gendre de Jean de Montaigu qui suit).
Vente du comté de Graville en , avec Héricy, à Jean-Édouard de Poussemothe de L'Estoile[52], arrière-petit-fils de Pierre, puis son fils Charles de l'Estoile, fl. 1726. En 1768-1770, Thomas-Marie marquis de Fresnoy (-en-Chaussée ?) est baron de Tournanfuye/Graville et de (La) Celle (-sur-Seine)[53],[54],[55].
Vernou-sur-Seine fusionna, en 1971, avec La Celle-sur-Seine, pour former la nouvelle commune de Vernou-la-Celle-sur-Seine.
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [56],[57].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Vernou-la-Celle-sur-Seine est assurée par le SIDASS de Moret Seine et Loing pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [58],[59],[60].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[61]. Le SIDASS de Moret Seine et Loing assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée , dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2025[58],[62].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP de Champagne-sur-Seine, Vernou-la-Celle-sur-Seine qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [58],[63],[64].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[65].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[68].
En 2021, la commune comptait 2 606 habitants[Note 10], en évolution de −3,37 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Salon de la gastronomie et de l'artisanat Marché aux fleurs 2e week-end de mai organisé par Vivons en Fête. Se tient le même week-end un vide-greniers le samedi et une fête foraine
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 457, occupant 1 201 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 66,9 % contre un taux de chômage de 7,9 %.
Les 25,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,5 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 8,6 % de retraités ou préretraités et 7,1 % pour les autres inactifs[72].
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 36 dont 4 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 3 dans la construction, 13 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 7 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 4 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 5 étaient relatifs aux autres activités de services[73].
En 2019, 34 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 30individuelles.
Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[74].
Vernou-la-Celle-sur-Seine est dans la petite région agricole dénommée la « Brie humide » (ou Brie de Melun), une partie de la Brie à l'est de Melun[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 11] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[75].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[76]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 59 ha en 1988 à 106 ha en 2010[75].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Vernou-la-Celle-sur-Seine, observées sur une période de 22 ans :
Évolution de l’agriculture à Vernou-la-Celle-sur-Seine entre 1988 et 2010.
La vallée des moulins se situe entre la Grande-Paroisse et Vernou-la-Celle-sur-Seine, les moulins se répartissant sur les deux communes. Le plus vieux moulin (Moulin de la Basse Roche) date du XIe siècle.
Architecture civile :
Château d'Argeville : parc, communs, clôture, porte d'accès à la ferme, portail d'entrée.
Château de Graville fin 16e/début 17e, remanié 1863 : logis rectangulaire flanqué de tours et de pavillons d'angle, façade Henri IV ; cheminées ornées de statues, de bustes et de portraits 17e.
Château de Beaurepaire : façades et toitures du château, dépendances, portail d'entrée, ses pavillons et son mur ; colombier.
Monument aux morts par Philippe Bayonne et Michel Deverne, 1972.
Architecture sacrée :
Église Saint-Fortuné de Vernou : vaste édifice rectangulaire à 3 nefs, chœur à chevet plat de 3 travées et collatéraux 13e, nef de 4 travées et collatéraux 16e, chapiteaux à crochets, voûtes de plâtre 1869, portail Renaissance 1550 avec un H et un croissant (Henri II) surmonté d'une rose, clocher à 4 pignons coiffé d'une flèche ; vitraux 16e, buste-reliquaire de saint Fortuné 17e, piscine 12e décorée de feuillages, pierre tombale 13e.
Église Saint-Pierre-aux-Liens de La Celle restaurée : nef de 3 travées lambrissée 12e, chœur de 2 travées voûtées d'ogives retombant sur des culots sculptés, bas-côté flamboyant 15e, clocher 17e ; vitraux 13e et 16e, Christ de bois 15e, saint Pierre assis en bois, épitaphe funéraire 18e.
Fontaine Saint-Fortuné, avec statue du saint.
Entrée de la vallée des moulins avec le moulin de la basse roche en fond.
Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN2-84234-100-7), « Vernou-la-Celle-sur-Seine », p. 1021–1022
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Champagne-sur-Seine comprend deux villes-centres (Champagne-sur-Seine et Moret-Loing-et-Orvanne) et trois communes de banlieue.
↑Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
↑L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak, Origine des noms de lieux de Paris et grande couronne, page 335.
↑Jacques Lacroix, Les Noms d'origine gauloise, éditions Errance, 2003.
↑Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, 2003.
↑« Étymologie de celle », sur atilf.atilf.fr (Dictionnaire du Moyen Français - 1330-1500) (consulté le ).
↑Alain Rey, Le Robert, Dictionnaire historique de la langue française, vol. 1, Dictionnaires Le Robert, , 1381 p. (ISBN2-85036-563-7), p. 668 (sous le mot cellule).