Étienne Flandin | |
Portrait d'Étienne Flandin. | |
Fonctions | |
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Résident général de France en Tunisie | |
– (2 ans, 2 mois et 6 jours) |
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Prédécesseur | Gabriel Alapetite |
Successeur | Lucien Saint |
Sénateur français | |
– (11 ans et 8 jours) |
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Circonscription | Établissements français de l'Inde |
Groupe politique | Union républicaine |
Prédécesseur | Jules Godin |
Successeur | Henri Gaebelé |
Député français | |
– (6 ans, 10 mois et 1 jour) |
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Élection | 27 avril 1902 |
Réélection | 20 mai 1906 |
Circonscription | Yonne |
Législature | VIIIe et IXe (Troisième République) |
Groupe politique | Union républicaine |
– (4 ans, 7 mois et 16 jours) |
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Élection | 3 septembre 1893 |
Circonscription | Yonne |
Législature | VIe (Troisième République) |
Groupe politique | Union républicaine |
Conseiller général de l'Yonne | |
– (29 ans) |
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Circonscription | Canton de Vézelay |
Prédécesseur | Henri de Châteauvieux |
Successeur | Pierre-Étienne Flandin |
Biographie | |
Nom de naissance | Jean-Marie Étienne Flandin |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Ancien 10e arrondissement de Paris |
Date de décès | (à 69 ans) |
Lieu de décès | 17e arrondissement de Paris |
Nationalité | française |
Conjoint | Pauline Ribière |
Enfants | Pierre-Étienne Flandin, fils |
Profession | Magistrat |
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Jean Marie Étienne Flandin, né le à Paris et mort le dans la même ville, est un homme politique français.
Membre de la famille Flandin, il est le fils du docteur Charles Flandin (1803-1887) et d'Aline de Sonis (1823-1857), sœur du général de Sonis. Il épouse Pauline Ribière (1854-1923), avec qui il a un fils, Pierre-Étienne.
Étienne Flandin quitte très vite la maison familiale de Domecy-sur-Cure (Yonne) pour compléter ses études au lycée Saint-Louis, puis faire son droit et consacrer son doctorat aux assemblées provinciales dans l'Empire romain. Sa carrière juridique est courte : professeur de droit civil à la faculté de droit d'Alger de 1880 à 1882, il assume diverses charges aux parquets de Pau, Paris et Alger — procureur général d'Alger — jusqu'en 1893.
Il commence sa carrière politique en entrant, en 1887[1], au Conseil général de l'Yonne dont il devient vice-président. En 1893, il est élu dans l'Yonne aux élections législatives. Battu par son adversaire radical en 1898, il retrouve un nouveau mandat en 1902 puis en 1906. Le , encore député, il est élu sénateur des Établissements français de l'Inde, poste qu'il occupe jusqu'à sa mort. Le , Flandin est nommé résident général de France en Tunisie en mission temporaire.
Mort en 1922, il est inhumé au cimetière de Domecy-sur-Cure.
Les papiers personnels d'Étienne Flandin sont conservés aux Archives nationales de France sous la cote 423AP[2].