De haut en bas, de gauche à droite : le château du Lieu-Dieu à Boulazac ; l'église d'Atur ; l'ancienne mairie et le musée de Saint-Laurent-sur-Manoire ; l'église de Sainte-Marie-de-Chignac.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Boulazac Isle Manoire est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3(2), date du Coniacien indifférencié, composée de calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à huîtres au sommet. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 759 - Périgueux (est) » et « no 783 - Thenon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1],[3] et leurs notices associées[4],[5].
Basses terrasses (RD Garonne) - Terrasse d'Izon (type 6) indifférenciée : limons et sables jaunes à graviers et galets siliceux et petits galets calcaires (Saalien - Riss)
Fwb(D) :
Moyennes terrasses - Terrasses de Malleret sup. indifférenciées (types 3 à 5) : argiles à graviers, galets à la base et sables fins à moyens au sommet (Elstérien - '-Mindel'-)
Fvb(D) :
Hautes terrasses (RD Garonne) - Terrasse de Malleret inf. (type 2) indifférenciée : sables à graviers et galets rubéfiés (Ménapien-Bavélien - '-Gunz'-)
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde : sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Campanien 2 : calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux à glauconie (formations de Marsaguet, de Segonzac et sommet de Trémolat)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 83 m et 271 m[6].
L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[18],[19]. Elle borde la commune au nord sur cinq kilomètres, face à Trélissac.
Son affluent de rive gauche le Cerf, d'une longueur totale de 15,37 km, prend sa source sur le territoire de l'ancienne commune d'Atur) et rejoint l'Isle à Razac-sur-l'Isle[20]. Il arrose l'ouest du territoire communal sur deux kilomètres.
Autre affluent de rive gauche de l'Isle, le Manoire, d'une longueur totale de 27,07 km, prend sa source dans la commune de Thenon et se jette dans l'Isle à Lesparat, sur le territoire de l'ancienne commune de Boulazac, face à Trélissac[Carte 3],[21]. Il traverse la commune du sud-est au nord sur dix kilomètres et demi, formant de nombreux bras.
Affluent de rive gauche du Manoire, le Saint-Geyrac, d'une longueur totale de 20,36 km, prend sa source à Fossemagne et rejoint le Manoire sur le territoire de l'ancienne commune de Saint-Laurent-sur-Manoire)[22],[23]. Il baigne le sud-ouest de la commune sur quatre kilomètres.
Le pont de la route départementale 5E6 sur l'Isle entre Trélissac (à gauche) et Boulazac.
Le Manoire au Vieux Bourg de Boulazac.
Le Manoire à Sainte-Marie-de-Chignac.
Le ruisseau de Saint-Geyrac à Sainte-Marie-de-Chignac, au lieu-dit les Potences.
Réseaux hydrographique et routier de Boulazac Isle Manoire.
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[24]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [25].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[26]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[27].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 925 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[26]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coulounieix-Chamiers à 6 km à vol d'oiseau[28], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[29],[30]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[31].
Au , Boulazac Isle Manoire est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[32].
Elle appartient à l'unité urbaine de Périgueux, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[33],[34]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[34]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[35],[36].
Début 2021, la commune dispose de 17,5 % de logements sociaux, taux inférieur à l'obligation minimale de 20 % pour les communes de plus de 3 500 habitants dans l'agglomération périgourdine[37]. Compte tenu de plusieurs réalisations en cours, la barre des 20 % devrait être atteinte en 2022[37].
Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de l'« agglomération de Périgueux » prescrit le et approuvé le , pour les crues de l'Isle. La crue de 1944, plus haute crue historique bien connue sur l’Isle, avec un débit estimé de 630 m3/s à Périgueux, présente une période de retour centennale et sert de crue de référence au PPRI[40]. Il en est de même pour le plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée du Manoire » prescrit le et approuvé le , pour les crues du Manoire concernant les anciennes communes de Boulazac, Saint-Laurent-sur-Manoire et Sainte-Marie-de-Chignac[41],[42].
Boulazac Isle Manoire est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[43]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[44],[45].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 76,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[47]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[48].
L'une des premières résolutions de la nouvelle commune consiste à renommer ou nommer 82 voies qui étaient en doublon par rapport aux anciennes communes, ou n'avaient pas encore été baptisées[50].
Un arrêté en date du précise que, au , la commune de Sainte-Marie-de-Chignac fusionne avec Boulazac-Isle-Manoire[51]. Sainte-Marie-de-Chignac devient alors commune déléguée, tout comme les trois anciennes communes précédemment citées[51],[34].
En 2016, le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des anciennes communes (19 pour Atur, 29 pour Boulazac, et 15 pour Saint-Laurent-sur-Manoire, soit un total de 63)[49]. Le maire de la nouvelle commune est élu début 2016. Les maires des trois anciennes communes deviennent maires délégués.
À partir du , et pendant une période courant jusqu'au prochain renouvellement des conseils municipaux (prévu en 2020), le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des anciennes communes[51] (19 pour Atur, 29 pour Boulazac, 15 pour Saint-Laurent-sur-Manoire et 15 pour Sainte-Marie-de-Chignac, soit un total de 78.
La population de la commune étant comprise entre 10 000 et 19 999 habitants au recensement de 2017, trente-trois conseillers municipaux auraient dû être élus en 2020[54]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers élus est celui de la strate supérieure[55], soit 35[56].
Les taux d'imposition des quatre anciennes communes vont converger progressivement de façon à obtenir une harmonisation qui peut s'étaler sur douze ans[63] :
Selon le classement établi par l'Éducation nationale en 2022, la Chambre de commerce et d'industrie présente un taux de réussite de 92 % au bac général et technologique[67].
En 2018, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans[73], les actifs représentaient 5 080 personnes, soit 47,0 % de la population municipale. Il y avait 574 chômeurs, soit un taux de chômage de cette population active de 11,3 %.
Le secteur tertiaire occupe une place prépondérante au sein de l'emploi de la commune (3 292 emplois, soit la moitié du total). À l'inverse, l'agriculture, avec 47 emplois, y est minime (0,7 %)[74].
Fin 2018, il y avait 441 établissements actifs employeurs[75], dont 294 au niveau des commerces, transports ou services, 74 dans la construction, 25 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 41 dans l'industrie, et 7 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[76].
Tous secteurs confondus, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, onze situées à Boulazac Isle Manoire se classent parmi les cinquante premières quant au chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016[77] :
Sobeval (transformation et conservation de la viande de boucherie) : première avec 173 356 k€. Cette entreprise emploie 430 personnes en 2015[78] ;
Veau allaitement Schils-Vals (fabrication d'aliments pour animaux de ferme) : 5e avec 85 715 k€ ;
Doumen SA transport (transports routiers) : 7e avec 63 116 k€ ;
Delmond foies gras (transformation et conservation de la viande de volaille) : 10e avec 48 288 k€ ;
GIE Dordogne approvisionnement (intermédiaire du commerce) : 16e avec 40 672 k€ ;
Société industrielle de récupération des métaux (démantèlement d'épaves) : 18e avec 38 926 k€ ;
La Périgourdine coopérative agricole (commerce de gros interentreprises de céréales, de tabac non manufacturé, de semences et d'aliments pour le bétail) : 20e avec 36 045 k€ ;
Agema (agencement de lieux de vente) : 27e avec 32 806 k€ ;
Schils France (commerce de gros d'animaux vivants) : 45e avec 24 265 k€ ;
Sanders Périgord (fabrication d'aliments pour animaux de ferme) : 46e avec 24 056 k€ ;
Magot Cavard SAS (commerce de voitures) : 50e avec 21 916 k€.
Avec onze entreprises parmi les cinquante premières de Dordogne, Boulazac Isle Manoire est la commune la mieux représentée dans ce classement.
Parmi les cinquante premières entreprises de chaque secteur économique dans le département, classées selon le chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016, on trouve implantées à Boulazac Isle Manoire :
SA Terres du Périgord (commerce de gros interentreprises de céréales, de tabac non manufacturé, de semences et d'aliments pour le bétail), 31e avec 20 020 k€ ;
Comptoir de produits agricoles (commerce de gros interentreprises de céréales, de tabac non manufacturé, de semences et d'aliments pour le bétail), 38e avec 17 287 k€ ;
Entreprise régionale canalisations travaux publics (travaux de terrassement courants et travaux préparatoires), 5e avec 10 814 k€ ;
Établissements Valiani & Fils (travaux de plâtrerie), 20e avec 4 908 k€ ;
Périgord génie civil (construction de réseaux électriques et de télécommunications), 22e avec 4 474 k€ ;
Société nouvelle périgourdine travaux publics (travaux de terrassement courants et travaux préparatoires), 26e avec 4 119 k€ ;
Société de couverture étanchéité périgourdine (travaux d'étanchéification), 39e avec 2 964 k€ ;
Telelec datacom (construction de réseaux électriques et de télécommunications), 41e avec 2 882 k€ ;
Erelec (travaux d'installation électrique), 43e avec 2 734 k€ ;
Riou (menuiserie métallique et serrurerie), 49e avec 2 421 k€.
Tous secteurs confondus, cinq entreprises de Boulazac Isle Manoire figurent parmi les cinquante premières de la Dordogne, quant au chiffre d'affaires à l'exportation[84],
Société industrielle de récupération des métaux, 3e avec 22 176 k€ ;
Sobeval, 11e avec 10 986 k€ ;
Doumen SA transport, 12e avec 10 727 k€ ;
Avi services S.O. (commerce de gros interentreprises de volailles et gibier), 36e avec 1 246 k€ ;
Production logistique service, 45e avec 954 k€.
D'autres entreprises importantes ayant leur siège social ailleurs qu'à Boulazac Isle Manoire sont également implantées sur le territoire communal, comme Hyper U, Darty ou l'entreprise d'électricité ETDE. La société Cofidur, implantée sur quatre sites français, emploie 200 personnes à Boulazac et fabrique des équipements électroniques de très haute précision pour le secteur aéronautique, dont notamment les avions Rafale et les Airbus A350[85].
Phil@poste Boulazac (anciennement Imprimerie des timbres-poste et des valeurs fiduciaires) est installée à Boulazac depuis 1970 et emploie 420 salariés en 2015[86]. Elle imprime des timbres pour les administrations postales françaises et étrangères.
À Atur, le camping du Grand Dague, repris en 2009 par « Iris Park », une filiale de Vacansoleil, est en travaux en 2016-2017 pour faire passer sa capacité d'accueil de 254 à 550 places[87]. Pour sa réouverture prévue au printemps 2017, il deviendra ainsi le camping ayant la plus forte capacité d'accueil du département[87].
Un abattoir pour le traitement des canards gras a été ouvert en novembre 2008 sur Saint-Laurent-sur-Manoire[88] à proximité immédiate de l'échangeur autoroutier[89]. En 2013, le site emploie 150 personnes en permanence auxquelles s'ajoutent une cinquantaine de saisonniers. Avec environ 1 000 tonnes de foie gras par an[89], c'est le site le plus important pour cette production relative à l'IGP « Canard à foie gras du Périgord »[90].
L'entreprise Rubi France créée en 1970 à Boulazac, devenue Rubi Freydberg Biais dans les années 1990 à Marsac-sur-l'Isle est revenue à Boulazac en 2012 sous le nom de Rubi Cuir ; elle réalise des pièces et accessoires en cuir pour les entreprises du luxe ; en 2020, elle comptait 140 salariés et a réalisé en 2023 un chiffre d'affaires de trente millions d'euros[91].
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et b« Arrêté n° PREF/DDL/2015/0217 portant création de la commune nouvelle de Boulazac Isle Manoire », Recueil des actes administratifs de la Dordogne, , p. 97-100 (lire en ligne [PDF]).
↑Émilie Delpeyrat et Adrien Vergnolle, « Boulazac Isle Manoire change d'adresses », Sud Ouest édition Périgueux, 12 février 2016, p. 16.
↑Émilie Delpeyrat, « Boulazac-Isle-Manoire : Auzou à la tête de la 3e commune de Dordogne », Sud Ouest édition Dordogne, (lire en ligne).
↑Benoît Martin, « On a tous le cœur à gauche », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20.
↑Tiphanie Naud, « Auzou réélu, climat tendu avec l'opposition », Sud Ouest édition Périgueux, 29 mai 2020, p. 14.
↑Clément Bouynet, « Politique en Dordogne. « Je ne veux pas être un maire bis » : pourquoi Jacques Auzou passe la main à Boulazac », Sud Ouest, (lire en ligne).
↑Grégoire Morizet, « Fanny Castaignede élue maire », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 15.