Gorron

Gorron
Gorron
La mairie.
Blason de Gorron
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes du Bocage Mayennais
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Marc Allain
2020-2026
Code postal 53120
Code commune 53107
Démographie
Gentilé Gorronnais
Population
municipale
2 511 hab. (2021 en évolution de −4,27 % par rapport à 2015)
Densité 175 hab./km2
Population
agglomération
2 592 hab. (2016)
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 42″ nord, 0° 48′ 46″ ouest
Altitude Min. 147 m
Max. 208 m
Superficie 14,32 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Gorron
(ville isolée)
Aire d'attraction Gorron
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Gorron
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Gorron
Liens
Site web www.gorron.org

Gorron est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 2 511 habitants[Note 1].

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine dans le pays de Passais.

Géographie

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La commune est au nord-ouest du Bas-Maine, traversée par la Colmont, un affluent droit de la Mayenne. Son bourg est à 17 km au nord-est d'Ernée, à 22 km au nord-ouest de Mayenne, à 27 km au sud-ouest de Domfront, à 30 km au sud de Mortain et à 32 km à l'est de Fougères[2].

La ville est construite sur les dernières assises granitiques du Massif armoricain, au carrefour des marches de la Bretagne et de la Normandie.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Gorron[3]
Saint-Aubin-Fosse-Louvain Lesbois Passais Villages
(Orne),
Couesmes-Vaucé
Hercé Gorron[3]
Colombiers-du-Plessis Brecé

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 893 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Fraimbault à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 850,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Gorron est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gorron[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gorron, dont elle est la commune-centre[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (82,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35 %), terres arables (29,9 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), zones urbanisées (16,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Gorran en 1154 et 1185[16], Gorram en 1198[16] et de Gorren en 1198[17], Le toponyme peut être issu du manceau gor, « barrage sur une rivière »[16], ou d'un anthroponyme germanique tel que Gurandus[17].

Le gentilé est Gorronnais.

Haut Moyen Âge

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Avant l'an 700, ce lieu serait déjà mentionné[18].

Période du duché de Normandie

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L’existence de Gorron est attestée dès le XIe siècle. Vers 1064, la place forte de Gorron est assiégée et prise par Guillaume le Conquérant, duc de Normandie, et représente par la suite un soutient indispensable face au comté de Mortain[19]. Vers 1082, la cure de Gorron est mentionnée sous le nom d’Apud Gorronum, et à cette date, le demi-frère de Guillaume le Conquérant,Robert de Mortain, comte de Mortain, et sa femme Mathilde, donnent « la moitié de l'église, des péages et des cans, du four et du moulin de Gorron» pour la fondation d'une prébende de leur chapitre de Mortain. Gorron retourne ensuite rapidement sous la dépendance des seigneurs de Mayenne[20].

Période de l'Empire Plantagenêt

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Vers la fin du XIe siècle, les seigneurs de Mayenne réussissent à récupérer la forteresse de Gorron. En 1119, le château de Gorron tout juste récupéré par le lignage de Mayenne, est racheté par Henri Ier Beauclerc, en échange de biens en Angleterre[21].

En 1135, les seigneurs de Mayenne accordent leur soutien à l’invasion de la Normandie par Geoffroy Plantagenet, comte d'Anjou, qui restitue en contrepartie Gorron à Juhel II de Mayenne[22]. En 1162, Henri II, roi d'Angleterre, revendique la paroisse, et Juhel III de Mayenne doit alors céder à ses prétentions[23]. En 1171, la ville reçoit la visite de ce souverain qui vient rencontrer les légats du pape et échanger des baisers de paix dans son château de Gorron.

Intégration au domaine royal

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Gorron passe par suite de partages et d'alliances, à la famille de Vendôme (vers 1272) puis à la famille du Merle par suite du mariage vers 1380 de Marguerite de Vendôme avec Jean du Merle, baron de Messei[24].

La suite des seigneurs est donnée par l'abbé Angot (Dictionnaire de Mayenne, t. II, chez Auguste Goupil, à Laval, 1901, en ligne sur le site des Archives de la Mayenne). Qualifiée de châtellenie en 1403, la seigneurie de Gorron fut titrée baronnie en 1528. Mais à cette époque, la forteresse avait déjà subi les ravages des guerres anglaises, l'aveu de 1403 ne mentionnant plus que "la place d'un chastel ou manolr ancien, la place d'un autre hébergement assis en ville ; le grand et le petit estang ; deux moulins à bled, un moulin à drap… En 1490, la guerre de Bretagne occasionna à nouveau des troubles et des pillages dans la petite ville. Faute du paiement d'une imposition de 600 livres, les Huguenots de Domfront vinrent l'incendier en 1574. Puis en 1592, des bandes anglaises signèrent leur passage par de nouvelles dévastations.

Dans les vieux dictionnaires, on peut noter que Gorron était associée à la fabrication des andouilles et des sabots. Vers 1403, on y aurait trouvé des fabriques de sabots, de tissus et de coton et des tanneries d'où ont découlé les industries liées à la chaussure, ces industries qui ont fait la notoriété de cette région. Au cours des siècles, elles se sont transformées en petites industries métallurgiques, en industries du bois, des meubles et des plastiques. Gorron fut également un centre d'exploitation de granite : bon nombre de vieilles maisons ont été construites avec le granite de Gorron.

Époque contemporaine

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Le , Gorron créa une milice bourgeoise chargée du maintien de l'ordre. Cette milice dut réprimer les émeutes qui se reproduisaient journellement aux halles, un lieu où la municipalité défendit d'entrer avec les « bâtons de meslier » restés célèbres aux marchés du mercredi.

Un train dans la vallée vers Gorron au début du XXe siècle.

Cette période tourmentée connaît de nombreuses incursions des Chouans. De juillet 1795 à juillet 1797, on signale de nombreuses escarmouches entre la garnison de Gorron et les Chouans de Louis de Frotté. Le , 3 000 Chouans menacèrent d'attaquer la commune qui ne comptait alors que 50 militaires, 100 hommes de la colonne mobile et 200 gardes nationaux. Elle eut à supporter une attaque beaucoup plus sérieuse et plus violente le . Ce jour-là, 700 hommes la menacèrent de sept à huit heures du matin.

En 1886, on créa un syndicat du hannetonnage qui détruisit, pendant la campagne du 9 mai au 12 juin 1887, 75 000 kilos de hannetons

Le bourg fut desservi, de 1901 à 1947, par la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des Chemins de fer départementaux de la Mayenne reliant Landivy à Mayenne. La ligne de Mayenne à Landivy fut ouverte sur la section comprise entre Landivy et Mayenne-Saint-Baudelle via Gorron le . La section entre Mayenne-Saint-Baudelle et Mayenne-Échange ne fut ouverte que le . La section Landivy - Gorron ferma avant la Seconde Guerre mondiale. Le viaduc de Mayenne situé sur la section de Mayenne-Saint-Baudelle à Mayenne-Échange fut bombardé en 1944. En 1947, la section de Gorron à Mayenne-Saint-Baudelle ferma, marquant la fin des chemins de fer secondaires à voie métrique en Mayenne.

En 1902, la gare de Gorron avait accueilli 22 022 voyageurs[25].

Héraldique

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Armes de Gorron

Les armes de la commune de Gorron se blasonnent ainsi :
D'argent aux trois têtes de loup de sable[26].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires[27]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 ? Gonnet de Bois-Roger   curé
1791 ? Gaspard Berrier    
1798 ? Gaspard Boulard   président de l'administration cantonale
1800 1807 Lefaux    
1807 1811 Jean-Charles Bignon    
1816 1821 Garnier    
1821 1850 César-Pierre Ledauphin-Blinière    
1855 1870 Louis Péan-Launay    
1870 1884 Auguste Lemarchand    
1884 1896 Maurice Le Ray d'Abrantès, duc d'Abrantès Bonapartiste rallié au Monarchisme Secrétaire d'ambassade
Conseiller général du canton de Gorron (1871-1900)
1896 1900 Lemarchand    
1900 1905 Gendron    
1905 1906 Charles Daniel Indépendant nationaliste Docteur, sénateur de la Mayenne
1906 1907 Bouessée    
1907 1908 Charles Daniel Indépendant nationaliste Docteur, sénateur de la Mayenne
1908 ? Fouilleul    
1938 1948
(décès)
Lucien Dollé    
1948 1952
(démission)
Fernand Maret DVD Directeur d’assurances, conseiller général (1955 → 1973)
1952 mars 1989 Maurice Dufour DVD Pharmacien, conseiller général (1973 → 1985)
mars 1989 juin 1995 Jean Corbeau DVD Vétérinaire, conseiller général (1985 → 1998)
juin 1995[28] En cours Jean-Marc Allain[29] DVD
(app. LREM)
Conseil en gestion, conseiller général (1998 → 2011) puis départemental (depuis 2015)

Le conseil municipal est composé de vingt-trois membres dont le maire et quatre adjoints[30].

Population et société

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Gorron, ville mayennaise au carrefour des marches de la Bretagne et de la Normandie.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 2 511 habitants[Note 4], en évolution de −4,27 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0221 8802 1902 1102 2282 4372 3512 3562 430
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6212 6872 6892 6692 7872 8562 7812 7302 557
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5512 3812 3772 0612 2532 3842 2322 3212 207
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 3212 4002 5112 8252 8372 8942 7592 7442 702
2017 2021 - - - - - - -
2 5602 511-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Fabrication de chaussures ;
  • Pépiniéristes ;
  • depuis 1963, usine de fabrication de cuves pour la laiterie SERAP Industries (groupe de 500 p. dont 280 au siège à Gorron).

Lieux et monuments

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Menhir de la Roche, Gorron ; photographie de 1907
  • Église sous le vocable de saint Martin, vit sa reconstruction de 1868 à 1874, sur les plans de monsieur Théberge, architecte à Avranches. Par la suite, les plans subirent une modification ; sur un devis de 165 000 francs, 106 900 F furent souscrits dans la commune.
  • Fontaine (passage des Prés).
  • Hôtel de ville.
  • Chapelle Notre-Dame-du-Bignon.
  • Chapelle Saint-Étienne.
  • Menhir de la Roche, classé au titre des Monuments historiques depuis le [35].

Activité et manifestations

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Un hippodrome — qui n'existe plus de nos jours — y fut fondé en 1875. Gorron a été la première commune de la Mayenne à posséder une piscine en 1914.

Personnalités liées à la commune

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Annie Renoux, Les pouvoirs locaux dans la France du centre et de l’ouest (VIIIe-XIe siècles), Presses universitaires de Rennes, (lire en ligne), « Aux sources du pouvoir châtelain de Geoffroi “Seigneur de Mayenne, le plus fort homme du Maine” (c. 1040-1098)» », p. 61-89
  • Claude Groud-Cordray, In confinio Abrincatensis regionis: l’aristocratie des espaces frontaliers du IXe au milieu du XIIe siècle, HAL open science-Normandie Université, , 476 p. (lire en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 65
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Gorron et Saint-Fraimbault », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Fraimbault », sur la commune de Saint-Fraimbault - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Fraimbault », sur la commune de Saint-Fraimbault - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Gorron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Gorron ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gorron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  17. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 844.
  18. Annie Renoux-Aux sources du pouvoir châtelain de Geoffroi “Seigneur de Mayenne, le plus fort homme du Maine” (c. 1040-1098)» 2005, p. 61-89(fig.5).
  19. Claude Groud-Cordray 2019, p. 158,166,290.
  20. Claude Groud-Cordray 2019, p. 295.
  21. Claude Groud-Cordray 2019, p. 308.
  22. Claude Groud-Cordray 2019, p. 315.
  23. Claude Groud-Cordray 2019, p. 311.
  24. Cf. Abbé Angot, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, 1900-1980.
  25. Un demi-siècle de petits trains en Mayenne, Pierre-Alain Menant, Éditions du Petit Pavé.
  26. « GASO, la banque du blason - Gorron Mayenne » (consulté le ).
  27. Les maires de Gorron
  28. « Le maire Jean-Marc Allain brigue un troisième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. Réélection 2014 : « Jean-Marc Allain a été élu pour un 4e mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. « Gorron (53120) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Menhir de la Roche », notice no PA00109510, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.