Archevêque de Gniezno Archidiocèse de Gniezno | |
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Wawrzyniec Gembicki (en) Jan Wężyk (en) | |
Primat de Pologne | |
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Wawrzyniec Gembicki (en) Jan Wężyk (en) | |
Évêque de Płock Diocèse de Płock | |
- | |
Marcin Szyszkowski (en) Hieronim Cielecki (d) | |
Évêque de Loutsk Diocèse de Loutsk | |
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Paweł Wołucki (d) Andrzej Lipski (d) | |
Vice-chancelier de la Couronne | |
- | |
Feliks Kryski (en) Andrzej Lipski (d) | |
Grand Secretary of the Crown | |
jusqu'au | |
Andrzej Opaliński (en) Jakub Zadzik (en) | |
Referendarz wielki duchowny koronny (d) | |
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Mathieu Pstrokonski (d) Hieronim Cielecki (d) |
Naissance | |
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Décès | |
Sépulture | |
Formation | |
Activités | |
Famille |
Firlej (en) |
Père |
Jan Firlej (en) |
Mère |
Barbara Mniszech (d) |
Henryk Firlej de Dąbrowica, blason de Lewart, né en à Balice et mort le à Skierniewice, est archevêque de Gniezno et primat de Pologne en 1624.
Il est le fils du Grand Maréchal de la Couronne Jan Firlej et de Barbara Mniszech. Il est baptisé calviniste dans sa jeunesse. Après la mort de son père, sa mère et ses frères l'élèvent dans la religion catholique. Il est le demi-frère du trésorier Jan Firlej, de Mikołaj, de Piotr et de Andrzej.
Il étudie d'abord chez les Jésuites à Ingolstad et à Graz, puis à Padoue et à Rome[1]. Dans cette ville, il entre dans la famille du pape Clément VIII, devient son valet, prélat de maison, référendaire pour les deux signatures, protonotaire apostolique et comte de Rome. À Rome en 1595, il est ordonné sous-diacre et en 1598 il est ordonné presbytre[2]. Le , il signe l'accord de Janowiec[3].
Il est vice-chancelier de la couronne de 1613 à 1618, grand référendaire de la Couronne en 1605, prévôt du chapitre de la cathédrale de Płock de 1607 à 1617[4], le prévôt commendataire de Miechów en 1612, scolastique de Cracovie en 1594, secrétaire royal en 1596[2] et chanoine de Sandomierz jusqu'en 1614[5].
Il est archevêque de Gniezno et primat de Pologne en 1624[réf. nécessaire].
En 1625, il entreprend la reconstruction de la collégiale de Łowicz dans le style baroque.
Il doit sa carrière à son milieu et au patronage du roi et du pape, mais il faut aussi noter son éducation, son caractère doux et le faste dont il s'entoure.
Henryk Firlej meurt le à Skierniewice[6].
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Classement par ordre chronologique :