Joseph Parrocel

Joseph Parrocel
Naissance
Décès
(à 57 ans)
Paris
Nationalité
Activité
Maître
Élève
Lieux de travail
Famille
Père
Fratrie
Enfant

Joseph Parrocel, né à Brignoles le et mort à Paris, le , est un peintre, dessinateur et graveur français surnommé le Parrocel des Batailles.

Sa technique libre et vigoureuse fut particulièrement appréciée par le roi Louis XIV. Celui-ci lui confia, notamment, les travaux de décoration de la salle à manger de l'appartement du roi du château de Versailles et de l’hôtel des Invalides.

Généalogie

[modifier | modifier le code]
  • Georges Parrocel, peintre, (Montbrison, vers 1540 - Montbrison, vers 1614), aucune œuvre connue.
    • Son fils Barthélemy Parrocel, peintre, (Montbrison, vers 1595 - Brignoles, 1658 ou 1660), aucune œuvre connue.
      • Ses fils peintres: Jean Barthélemy, (1631-1667), Louis, (1634-1703), Joseph Parrocel (1646-1704).

Joseph est l'oncle de Pierre Parrocel.

Joseph Parrocel, né à Brignoles le , est le fils du peintre Barthélemy Parrocel et de Catherine Simone. il est le frère de Louis Parrocel (1634-1694) également peintre. Après la mort de son père qui lui a appris les rudiments de la peinture, il décide de rejoindre son frère Louis au château de Lussan situé dans le département du Gard pour devenir peintre comme lui. Peu satisfait de cet enseignement, il quitte son frère pour se rendre à Marseille où il participe à la décoration intérieure de navires construits par un entrepreneur[JD 1].

Après un bref retour à Brignoles, il se rend à Paris où il séjourne de 1664 à 1667 et y fréquente le milieu artistique parisien. Il maîtrise désormais l'art de la peinture qui lui permet de vivre. Il part en Italie où il séjourne d'abord à Rome vers 1667. Bien que ce séjour italien soit mal connu, on sait qu'il devint l'élève de Jacques Courtois (1621-1676), célèbre peintre de bataille, pour qui le thème du choc de cavalerie est l’iconographie largement dominante de son œuvre. Il se rend ensuite dans plusieurs villes italiennes dont Venise[JD 2].

En Joseph Parrocel retourne à Paris où la situation y a beaucoup changé depuis son dernier séjour car la France est alors en guerre contre les hollandais[JD 3]. Six mois après son arrivée il épouse Catherine Angélique Jaquelin fille du bourgeois jean Jaquelin et de Marie Titon, sœur de Maximilien Titon marchand d'armes enrichi par les guerres de Louis XIV. Il gagne rapidement l'estime des amateurs d'art de la capitale. Le il se présente à l'académie royale de peinture et de sculpture qui agrée l'artiste et lui demande de réaliser un tableau sur l'histoire du roi. Le il présente plusieurs projets, puis le son tableau de réception qui représente Louis XIV dirigeant le siège de Maestricht actuellement au musée de Versailles[JD 4]. Pour sa première peinture officielle joseph Parrocel a dû abandonner la représentation frontale d’un choc de cavalerie et se conformer aux principes de la bataille topographique chère à Van der Meulen[JD 5].

Malgré cette admission à l'académie de peinture, Joseph Parrocel ne parvient pas à faire une carrière officielle, le clan Colbert/Le Brun ne voulant pas l'employer[JD 6]. La paix revenue avec la fin de la guerre de Hollande et le traité de Nimègue, le roi Louis XIV crée par ordonnance royale du l'hôtel des Invalides destiné aux militaires âgés, blessés ou devenus inaptes à la guerre. Joseph Parrocel est chargé par Louvois de la décoration d'un des quatre réfectoires où il réalise, durant les années 1679 et 1680, vingt et une peintures sur enduit et pierre. Les autres réfectoires sont décorés par Jacques Antoine Friquet de Vauroze et probablement une association des frères Michel Corneille le Jeune et Jean-Baptiste Corneille[JD 7].

Louvois qui à la mort de Colbert lui a succédé dans la charge de surintendant des Bâtiments, demande à Joseph Parrocel de peindre un grand dessus-de-cheminée pour orner la salle des gardes du roi au château de Versailles. Le tableau représentant La charge des gardes du corps du roi sera livré le . Cette œuvre n'ayant pas déplu, le surintendant lui commande onze tableaux pour le décor de la salle du Grand Couvert. Joseph Parrocel, dix ans après son arrivée à Paris est au sommet de sa carrière. De 1686 à 1688 il livre pour honorer cette commande : quatre dessus-de-porte, six entre-fenêtres et un grand tableau[JD 8]. Durant cette période l'artiste reçoit dans son atelier ses neveux Pierre et Jacques-Ignace Parrocel.

Durant la guerre de la ligue d'Augsbourg (1688-1697) Joseph Parrocel accorde une plus grande place à la nature, aux paysages, à la chasse et à la peinture religieuse. Il réalise ainsi Saint Jean prêchant dans le désert, May de Notre-Dame actuellement au musée des Beaux-Arts d'Arras. À la même époque il peint, pour le couvent des Petits-Pères de la place des Victoires, un tableau représentant Saint Augustin guérissant les possédés[JD 9]. Après avoir été mis à l'écart des chantiers royaux depuis plus de dix ans, Louis XIV lui commande pour décorer l'antichambre de l'appartement du roi au château de Marly un tableau représentant Le passage du Rhin à Tolhuis qui se trouve actuellement au Louvre[JD 10].

Joseph Parrocel est victime d'une attaque d'apoplexie fin et meurt le . Il est inhumé en l'église Saint-Sauveur de Paris. Le est dressé un inventaire qui donne une description assez précise de l'appartement du peintre situé rue Renard. Dans la cave il y avait une presse en bois de chêne pour imprimer les estampes : c'est donc chez lui que l'artiste a pu réaliser l'impression de la Vie du Christ[JD 11]. Dans la salle principale était rassemblé un grand nombre de tableaux (cent cinquante et un) dont environ le tiers seulement est attribué à joseph Parrocel. Les sujets représentés montrent la diversité de l'artiste à la fin de sa vie. En effet en plus des sujets militaires on trouve des portraits, des scènes de genre et des sujets de chasse[JD 12]. D'après cet inventaire on sait que sa bibliothèque comportait trente-quatre volumes, mais il faut savoir que seuls les ouvrages de valeur étaient inventoriés[JD 13].

Peintures de Joseph Parrocel

[modifier | modifier le code]
  • Poitiers, musée Sainte-Croix : Combat de cavalerie, 30 × 40 cm[JD 17]
  • Riom, musée Mandet : Gentilhomme à qui l'on tend un panier de cerises, 38,5 × 48,5 cm[JD 29].
  • Tours, musée des beaux-arts : Foire de Bezons, 158 × 204 cm[JD 30].
  • Versailles, château de Versailles :
    • Vers 1685 le surintendant des bâtiments du roi commande à Joseph Parrocel onze peintures de bataille pour décorer la première antichambre ou salon du grand couvert de l'appartement du roi. Ces onze peintures ne constituent pas un cycle, mais sont des tableaux sans ordre et sans propos narratif. Elles représentent ce que l'artiste a fait de plus audacieux et de plus hardi dans toute sa carrière[JD 31] et sont :
      • Grande bataille, 186 × 327 cm[8] , [JD 31]
        Grande bataille, musée du Louvre
      • Cavaliers tenant un conseil de guerre, 110 × 183 cm[9] , [JD 32].
      • Forteresse prise d'assaut, 187 × 77 cm[10] , [JD 33].
      • Bataille avec un pont et une citadelle dans le lointain, 189 × 64 cm[11] , [JD 33]
      • Halte de cavaliers, 189 × 145 cm[12] , [JD 34].
      • Bataille sur un pont-levis, un cavalier fuyant sur le devant, 110 × 183 cm[13] , [JD 34].
      • Bataille avec un officier blessé et un cavalier renversé, 109 × 182 cm[14] , [JD 35].
      • Officiers de cavalerie conduisant leurs troupes[JD 35].
      • Combat avec un cavalier au sol, 189 × 87 cm[15] , [JD 36].
      • Soldats et prisonniers, 188 × 103 cm[16] , [JD 36].
      • Bataille avec un fantassin au centre, 110 × 184 cm[17] , [JD 36].
    • dans d'autres salles du château de Versailles se trouvent deux autres tableaux de l'artiste :
      • Louis XIV dirigeant le siège de Maestricht, 142 × 186 cm[18] , [JD 37].
      • Charges des Gardes du Corps du roi (ou Combat de Leuze), 160 × 219 cm[19] , [JD 38].


Allemagne
États-Unis
Grande-Bretagne
Irlande
Italie
Roumanie
Russie

Peintures rejetées

[modifier | modifier le code]

Dans son livre cité dans la bibliographie, l'historien de l'art Jérôme Delaplanche rejette l'attribution à Joseph Parrocel de certains tableaux qui lui étaient précédemment attribués. Selon lui les qualités distinctives du style de cet artiste sont aisément identifiables et le partage entre œuvres nées de son pinceau et celles peintes par d'autres artistes peut se faire sans trop d'hésitations, d'où le rejet des œuvres suivantes :

Joseph Parrocel semble avoir réalisé peu de dessins préparatoires pour ses peintures. Il entreprend le plus souvent ses tableaux directement sur la toile. Il utilise la pierre noire, la sanguine, la plume et l'encre, les lavis et parfois des rehauts d'aquarelle ou de gouache[JD 46].

Contrairement à la peinture, l'attribution des dessins à Joseph Parrocel est difficile à l'exception d'un petit nombre. En effet beaucoup de dessins donnés à Jacques Courtois ont été progressivement désattribués pour être rendus à son entourage, en particulier à son élève Joseph Parrocel. De même le partage entre ce dernier et son fils Charles n'est pas facile[JD 46].

À l'exception des dessins préparatoires à la réalisation des gravures religieuses (Mtstères et miracles de la vie de Notre Seigneur Jésus-Christ), les dessins attribués avec certitude à Joseph Parrocel et se trouvant dans le domaine public sont les suivants :

Paris, musée du Louvre

[modifier | modifier le code]
    • Passage du Rhin à Tolhuis par les armées du roi, le , pierre noire, sanguine, plume et lavis brun avec rehauts de gouache blanche et grise, 35,8 × 39 cm[31].
    • Louis XIV à cheval entouré de cavaliers, Plume et pinceau, encres brune et noire, lavis gris et brun, avec rehauts d'aquarelle, sur traits de pierre noire, 21,1 × 33 cm[32].
    • Siège de Maastricht, plume et pinceau, avec encre brune, lavis brun et gris, avec rehauts de gouache blanche et rose, 34 × 56,3 cm[33].
    • Rapport durant une bataille, Plume et pinceau, encre brune, lavis brun, avec importants rehauts de gouache blanche, sur papier beige, 18,7 × 28,4[34].
    • Siège d'une ville au pied d'un pont-levis, Plume et encre brune, lavis brun et gris avec rehauts de gouache blanche et d'aquarelle, sur traits de pierre noire et papier beige, 29,9 × 49,2 cm[35].
    • Judith et Holopherne, Plume et pinceau, encres brune et noire, lavis gris, avec rehauts de gouache blanche, sur papier beige, 19,4 × 28,8 cm[36].
    • Halte de chasse, plume et encre brune, lavis gris et brun, sur traits de sanguine, 21,1 × 29 cm, parfois attribué à Charles Parrocel[JD 47].
    • Chasse au faucon, plume et encre brune, lavis gris, sur esquisse à la pierre noire, sur traits de pierre noire, 19,8 × 30,4 cm[37], parfois attribué à Charles Parrocel[JD 48].
  • Grenoble, musée : Chasseurs à cheval, plume et encre noire, lavis de brun sur esquisse à la sanguine, 14,1 × 18,3 cm[JD 49]

Paris, Beaux-Arts[38]

[modifier | modifier le code]
  • Le Christ au désert servi par des anges, pierre noire, plume, encre brune, aquarelle gouachée, sur papier imprimé d'un texte juridique en latin (vraisemblablement une page du Tractus de coniecturis ultimarum de Francesco Mantica), H. 22 ; L. 33.5 cm[39].

Grande-Bretagne

[modifier | modifier le code]
  • Londres, British Museum
    • Un écuyer préparant son cheval pour un officier, plume et encre brune, lavis de bistre et rehauts de blanc sur papier bleu, 18 × 28,2 cm[40].
    • Convoi militaire, plume et encre brune sur esquisse à la pierre noire, lavis de bistre et rehauts de blanc sur papier bleu, 18,3 × 28,7 cm[41]

Joseph Parrocel pratique également l'art de la gravure. Il offre à Maximilien Titon, oncle de sa femme, une série de quatre gravures composée d'un frontispice et de trois sujets de batailles illustrant les épisodes de la guerre de Hollande : bataille de Senef, combat du col de Bagnols et bataille de Cassel[JD 50]. Les gravures non religieuses de l'artiste sont les suivantes :

  • Frontispice
  • Champ de bataille de Senef
  • Champ de bataille de Cassel
  • Combat du col de Bagnols
  • L'Aurore
  • Le Midi
  • Le Soir
  • La Nuit
  • Bivouac : Cette eau-forte est une des très rares œuvres de Parrocel à représenter un site urbain[JD 51].
  • Scène militaier de cavaliers

Avec d'autres artistes il réalise l'illustration d'un missel édité à Paris en 1685 par Mabre-Cramoisy, puis réédité. Il décore ainsi huit têtes de chapitre par des gravures représentant l'Annonciation, l'adoration des Mages, l'Ascension, la Cène, la présentation au temple, la naissance de la Vierge, le martyre de saint Denis et de ses compagnons, et l'adoration du nom de Yaweh[JD 52]. Parrocel prend probablement gout à ce travail de gravure car il entreprend un vaste projet sur la vie du Christ. Il réalise un premier recueil de quarante-huit gravures à l'eau-forte titré Les Mystères de la vie de Notre Seigneur Jésus-Christ qu'il offrit à l'Académie royale de peinture et de sculpture en 1696. Ce recueil offert à l'Académie a probablement disparu[JD 53]. Les épreuves de ce premier état à l'eau-forte sont très rares[JD 54]. Les planches sont ensuite reprises au burin avec de nouvelles pièces portant le nombre de planches à soixante-cinq. Elles sont regroupées en deux séries :

  • Les Mystères de la vie de Notre Seigneur Jésus-Christ (25 gravures)
  • Les Miracles de la vie de Notre Seigneur Jésus-Christ (40 gravures)

Les gravures de Joseph Parrocel sont visibles dans plusieurs musées dont :

en France
États-Unis
Grande-Bretagne

Notes et références

[modifier | modifier le code]
Ouvrage de Jérôme Delaplanche
  1. Jérôme Delaplanche 2006, p. 15
  2. Jérôme Delaplanche 2006, p. 16
  3. Jérôme Delaplanche 2006, p. 18
  4. Jérôme Delaplanche 2006, p. 20
  5. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 174
  6. Jérôme Delaplanche 2006, p. 21
  7. Jérôme Delaplanche 2006, p. 22
  8. Jérôme Delaplanche 2006, p. 25
  9. Jérôme Delaplanche 2006, p. 30
  10. Jérôme Delaplanche 2006, p. 34
  11. Jérôme Delaplanche 2006, p. 36
  12. Jérôme Delaplanche 2006, p. 38
  13. Jérôme Delaplanche 2006, p. 43
  14. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 214
  15. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 212
  16. Jérôme Delaplanche 2006, p. 211
  17. a b et c Jérôme Delaplanche 2006, p. 187
  18. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 203
  19. Jérôme Delaplanche 2006, p. 175
  20. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 186
  21. Jérôme Delaplanche 2006, p. 188
  22. Jérôme Delaplanche 2006, p. 205
  23. Jérôme Delaplanche 2006, p. 207
  24. a b et c Jérôme Delaplanche 2006, p. 178
  25. a b c d et e Jérôme Delaplanche 2006, p. 180
  26. a b c d et e Jérôme Delaplanche 2006, p. 181
  27. a b c d et e Jérôme Delaplanche 2006, p. 182
  28. a b et c Jérôme Delaplanche 2006, p. 183
  29. Jérôme Delaplanche 2006, p. 213
  30. Jérôme Delaplanche 2006, p. 221
  31. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 194
  32. Jérôme Delaplanche 2006, p. 195
  33. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 196
  34. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 197
  35. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 198
  36. a b et c Jérôme Delaplanche 2006, p. 199
  37. Jérôme Delaplanche 2006, p. 173
  38. Jérôme Delaplanche 2006, p. 191
  39. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 206
  40. Jérôme Delaplanche 2006, p. 202
  41. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 210
  42. Jérôme Delaplanche 2006, p. 245
  43. a b et c Jérôme Delaplanche 2006, p. 246
  44. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 247
  45. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 248
  46. a et b Jérôme Delaplanche 2006, p. 250
  47. Jérôme Delaplanche 2006, p. 254
  48. Jérôme Delaplanche 2006, p. 253
  49. Jérôme Delaplanche 2006, p. 252
  50. Jérôme Delaplanche 2006, p. 19
  51. Jérôme Delaplanche 2006, p. 265
  52. Jérôme Delaplanche 2006, p. 28
  53. Jérôme Delaplanche 2006, p. 278
  54. Jérôme Delaplanche 2006, p. 269
Base Joconde du ministère de la Culture
  1. « Trompette annonçant la fin du combat et moine assistant un mourant », notice no 08030019115, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  2. « Engagement de cavalerie », notice no 08030019114, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  3. « Combat de Chrétiens et de Turcs », notice no 04400000541, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  4. « Josué arrêtant le soleil », notice no 000PE023335, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  5. « Choc de cavalerie », notice no 000PE032542, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  6. « Cavaliers et prisonniers », notice no 000PE032541, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
Autres références
  1. La chasse au sanglier
  2. « Combat de chrétiens et de turcs », notice no 04400000503, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
  3. Saint Augustin
  4. Passage du Rhin, Louvre (atlas)
  5. Le tableau, commandé par Louis XIV, a été peint pour décorer l'antichambre de l'appartement du roi au château de Marly ( source : Xavier Salmon, Parrocel au service de Louis XIV - Un nouveau dessin au Louvre, in Grande Galerie - Le Journal du Louvre, dèc. 2013/jan./février 2014, no 26).
  6. Cambrai, Invalides (rmn)
  7. Le secours de Maastricht
  8. Grande bataille
  9. Cavaliers tenant un conseil de guerre
  10. Forteresse prise d'assaut
  11. Bataille avec un pont et une citadelle dans le lointain
  12. Halte de cavaliers
  13. Bataille sur un pont-levis
  14. Bataille avec un officier blessé
  15. Combat avec un cavalier au sol
  16. Soldats et prisonniers
  17. Bataille avec un fantassin au centre
  18. Louis XIV dirigeant le siège de Maestricht
  19. Charges des gardes du Corps du roi
  20. Musée de Leipzig
  21. (en) Un roi sur un char
  22. (en) Groupe de vieillards
  23. Le retour de la chasse
  24. (en) National Gallery
  25. (en) Chasse au lion
  26. (en) Offrande à la sultane
  27. Cavalerie, Offices (unibo)
  28. (en) Musée de l'Ermitage
  29. (en) Musée de l'Ermitage
  30. Les passions de l'âme p. 144
  31. Passage du Rhin à Tolhuis
  32. Louis XIV entouré de cavaliers
  33. Siège de Maastricht
  34. Rapport fait durant une bataille
  35. siège d'une ville au pied d'un pont-levis
  36. Judith et Holopherne
  37. Chasse au faucon
  38. Emmanuelle Brugerolles (dir.), Une Dynastie de peintres. Les Parrocel, Paris, Beaux-Arts de Pars les éditions, , 96 p. (ISBN 978-2-84056-237-5), p. 22-28
  39. « Le Christ au désert servi par des anges », sur Cat'zArts
  40. (en) Un écuyer préparant un cheval pour un officier
  41. (en) Convoi militaire
  42. Département des arts graphiques
  43. Gallica
  44. (en) Fogg Art Museum
  45. (en) Art Institute Chicago
  46. (en) Philadelphia Museum of Art
  47. (en) Musée d'art de San Francisco
  48. (en) L'Aurore
  49. (en) Le Midi
  50. (en) Le Soir
  51. (en) La Nuit

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : source utilisée pour la rédaction de cet article

  • Frédéric Lacaille et al. (préf. Michel Lucas), L'œuvre révélé de Joseph Parrocel : peintures murales aux Invalides, Dijon, Éd. Faton, , 339 p. (ISBN 2-87844-078-1, OCLC 718494349).
  • Jérôme Delaplanche (préf. Joël Cornette), Joseph Parrocel, 1646-1704. La nostalgie de l’héroïsme, Paris, Athena, , 376 p. (ISBN 978-2-903239-35-0 et 2-903239-35-5, OCLC 846133144, BNF 40966235). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Emmanuelle Brugerolles (sous la direction de), Une dynastie de peintres, les Parrocel, « Carnets d’études 9 », Paris, Beaux-arts de Paris les éditions, 2007 (ISBN 978-2-84056-237-5) (BNF 41266444)

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :