Julie Duvidal de Montferrier, aussi connue sous son nom d'épouse Julie Hugo, née en 1797 à Paris et morte dans la même ville le est une peintrefrançaise.
Victor Hugo se défia de l'influence de sa belle-sœur sur son frère et mit celui-ci en garde contre « cette artiste[4] ». Mais il lui écrivit plus tard des lettres qui prouvent l'estime en laquelle il la tint[5].
Bourg-en-Bresse ; musée de Brou : L’Enfant malade, ou Clotilde demandant la guérison de son fils, réplique du tableau présenté au Salon de 1819 déposé à l'Assemblée nationale.
Assemblée nationale : Sainte Clotilde, Reine de France, demande à Dieu la guérison de son fils, Salon de 1819, huile sur toile, dépôt du musée du Louvre[9].
↑Exposé sous le titre Portraits de Mlles ***, en pendant du portrait de sa sœur Zoé Jacqueline Duvidal de Montferrier, au National Museum of Women in the Arts à Washington.
Caroline Fabre-Rousseau, La belle-sœur de Victor H: Julie Duvidal de Montferrier, Éditions Chèvre-feuille étoilée, (ISBN978-2-36795-109-6, OCLC948826811).
Monique Moulin, « Une élève de Gérard : Julie Duvidal de Montferrier », Bulletin de la Société historique de Compiègne, vol. 27, , p. 169-181 (lire en ligne [PDF]).
Olivia Voisin, « Femmes peintres sous la Restauration : Julie Duvidal de Montferrier », Dossier de l'art, Éditions Faton, no 286 « Peintres femmes, 1780-1830 : Naissance d'un combat », , p. 66-67
Martine Lacas, « Et in Italia ego : le voyage des peintres femmes à Rome et en Italie », dans Martine Lacas (dir. scientifique), Peintres femmes : naissance d'un combat, 1780-1830 (catalogue d'exposition (Musée du Luxembourg, 2021)), Paris, Réunion des musées nationaux, (ISBN9782711874958 et 2711874958), p. 62-81 (sur le voyage de Julie et Zoé Duvidal en Italie).