La Salvetat-Saint-Gilles

La Salvetat-Saint-Gilles
La Salvetat-Saint-Gilles
Le château en 2022.
Blason de La Salvetat-Saint-Gilles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes Le Grand Ouest Toulousain
Maire
Mandat
François Arderiu
2020-2026
Code postal 31880
Code commune 31526
Démographie
Gentilé Salvetains
Population
municipale
8 524 hab. (2021 en évolution de +6,46 % par rapport à 2015)
Densité 1 482 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 34′ 37″ nord, 1° 16′ 20″ est
Altitude Min. 166 m
Max. 197 m
Superficie 5,75 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Léguevin
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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La Salvetat-Saint-Gilles
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La Salvetat-Saint-Gilles
Liens
Site web lasalvetat31.com

La Salvetat-Saint-Gilles est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’Ariège et du Volvestre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Aussonnelle et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

La Salvetat-Saint-Gilles est une commune urbaine qui compte 8 524 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Salvetains ou Salvetaines.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, classé en 2007.

Géographie

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Localisation

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La commune de Salvetat-Saint-Gilles se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 14 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 4 km de Léguevin[2], bureau centralisateur du canton de Léguevin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Plaisance-du-Touch (2,3 km), Léguevin (4,0 km), Pibrac (4,7 km), Brax (4,9 km), Fonsorbes (5,5 km), Tournefeuille (5,9 km), Colomiers (6,6 km), Fontenilles (7,0 km).

Sur le plan historique et culturel, La Salvetat-Saint-Gilles fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].

La Salvetat-Saint-Gilles est limitrophe de trois autres communes. Les communes limitrophes sont Léguevin, Fontenilles et Plaisance-du-Touch.

Communes limitrophes de La Salvetat-Saint-Gilles[5]
Léguevin
Fontenilles La Salvetat-Saint-Gilles[5]
Plaisance-du-Touch

Sans toucher ces communes, elle est également au sud-ouest de Colomiers et à l'ouest de Tournefeuille.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 575 hectares ; son altitude varie de 166 à 197 mètres[6].

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Salvetat-Saint-Gilles.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Aussonnelle, le ruisseau de la Goutille et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].

L'Aussonnelle, d'une longueur totale de 42,4 km, prend sa source dans la commune de Saint-Thomas et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Seilh, après avoir traversé 12 communes[9].

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 674 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 5,3 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cugnaux à 7 km à vol d'oiseau[12], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,7 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité

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Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[16] : le « cours de l'Aussonnelle et rives » (76 ha), couvrant 12 communes du département[17] et les « prairies et cultures du sud de Léguevin » (229 ha), couvrant 2 communes du département[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] : les « terrasses de Bouconne et du Courbet » (2 088 ha), couvrant 5 communes du département[19].

Au , La Salvetat-Saint-Gilles est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse[Note 4], une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (68,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (68,9 %), terres arables (12 %), forêts (10,2 %), prairies (8,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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La commune est accessible par la route nationale 124 ou la route D 82.

La ligne 55 du réseau Tisséo dessert la commune du nord au sud en la reliant à la gare de Colomiers (en correspondance avec la ligne C) et à Plaisance Monestié (en correspondance avec le Linéo L3), et la ligne 343 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Sabonnères.

La gare la plus proche est la gare de Colomiers, desservie par la ligne C des trains urbains de Toulouse et par des TER Occitanie, et l'aéroport le plus proche est l'aéroport de Toulouse-Blagnac.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de La Salvetat-Saint-Gilles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Aussonnelle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2008, 2009 et 2014[23],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Salvetat-Saint-Gilles.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 703 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 703 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1994, 1998, 2000, 2003, 2011, 2016 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Le , La Salvetat reprend le nom de La Salvetat-Saint-Gilles[26].

Avant la Révolution

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Le comte de Rouergue Raymond II et le comte de Toulouse Guillaume III dit Taillefer étaient cousins germains. Ils possédaient par moitié les comtés d’Albi, de Carcassonne, de Nîmes, de Béziers et de Foix. Ils firent leur partage vers l’an 946.

Le comté ou diocèse de Nîmes fut divisé en deux parties :

  • la partie supérieure échut à Raymond II, sous le nom de comté de Nîmes,
  • la partie inférieure fut la part de Guillaume III.

Dans cette partie étaient comprises l’abbaye et la ville de Saint-Gilles, situées sur la rive occidentale du Rhône, où depuis le canal de Beaucaire à Aigues-Mortes.

Raymond II Comte de Rouergue entreprit le voyage de Terre sainte vers l’an 1000 ou 1010. Son fils, Hugues lui succéda et prit le titre de comte de Nîmes. Cette branche des comtes de Rouergue s’éteignit en l’année 1066, comme on le verra plus bas.

Pons, fils aîné de Guillaume III dit Taillefer, posséda l’abbaye de Saint-Gilles, soit avant, soit après la mort de son père, décédé en 1038 âgé de 90 ans !

Ce même Pons avait épousé au mois de septembre 1037, Majore, que l’on croit de la maison de Carcassonne ou de Foix. Il laissa en mourant trois fils, Guillaume, Hubert, Raymond et une fille nommé Almodis, qui a épousé Pierre comte de Melgueil, en Septimanie. Son fils aîné mourut jeune, et Guillaume lui succéda sous le nom de Guillaume IV.

Raymond puîné du même Pons, fut le premier qui se soit qualifié de comte de Saint-Gilles, parce qu’il eut d’abord cette portion du diocèse de Nîmes dans son partage, soit par la dévotion qu’il avait envers ce saint, soit par affection pour son premier patrimoine. Il ne prit souvent que ce simple titre dans les actes, après même qu’il eût succédé au comte de Toulouse. Ce qui lui fit donner le titre de Raymond de Saint-Gilles.

Guillaume IV devenu comte en 1060, eut à soutenir plusieurs guerres. Berthe, fille d’Hugues comte de Rouergue épousa Robert II comte d'Auvergne. Elle mourut en 1066 sans enfants et sans avoir fait de testament. Son mari disputa cette succession aux comtes de Toulouse, parents de Berthe au 4e degré, seuls héritiers naturels, par une guerre qui dura jusqu’en 1079. Ces derniers en sortirent triomphants et Raymond de Saint-Gilles devint alors comte de Rouergue.

Vers l’an 1080, Gui-Geffroy dit Guillaume VIII comte de Poitiers de duc d'Aquitaine, fit la guerre à Guillaume IV. Il vint jusqu'à Toulouse à la tête de tous les vassaux, ravagea les environs et pris la ville, qu’il rendit quinze jours après, ayant reçu une forte rançon. Guillaume IV ayant perdu ses deux fils céda ou vendit à son frère Raymond de Saint-Gilles le comté de Toulouse en l’année 1088.

Raymond de Saint-Gilles, devenu comte de Toulouse sous le nom de Raymond IV, évoqua d’abord les moyens de prévenir les invasions qui pourraient se renouveler. Dans ce but, il fit construire un château, sous le nom de notable de Saint-Gilles. Véritable poste d’observation et de défense, situé sur une arête presque à pic d’un plateau dominant de 90 mètres d’altitude et longeant la rive orientale du petit cours d’eau appelé l’Aussonnelle, entre Plaisance-du-Touch et Léguevin, à 16 km à l’ouest de Toulouse.

Cette construction eut lieu entre 1088 et 1096, c’est-à-dire depuis l’avènement de Raymond IV jusqu’à son départ pour la Première Croisade.

En l’année 1167, la peste sévit dans le Pays toulousain avec une terrible intensité. Quarante cinq religieux périrent dans l’espace de deux mois au monastère de Grandselve.

Toulouse paya un rude tribut à l’épidémie, au point que les capitouls, effrayés quittèrent Toulouse, pour établir le siège de leurs délibérations à Bourg-Saint-Bernard, mais l’épidémie gagnant dans cette direction, ils transportèrent leur siège au château de La Salvetat Saint-Gilles. La localité sur laquelle est bâti ce château fut préservée et elle porta par la suite le nom de La Salvetat-Saint-Gilles.

De nos jours, le château de La Salvetat est une austère et farouche demeure qui en dépit d’élégantes adjonctions de la Renaissance se ressent toujours du rôle de forteresse pour lequel elle a été créée. Les salvetats ou sauvetés sont plus anciennes que les bastides, elles étaient des lieux de liberté et de franchises.

Les Tournier ou Tourneurs, seigneurs de Lauraguet en sont les plus anciens seigneurs connus. Bertrand Tournier, vers 1400 avait deux fils : Gaillard Tournier, puissant seigneur qui a donné son nom à un quartier de Grépiac et Philippe Tournier. Son petit-fils Antoine pressé par le Sénéchal de Toulouse, Galaubiac de Panassac à qui il devait une somme d’argent, fut obligé de vendre La Salvetat-Saint-Gilles à un marchand de Toulouse, Nicolas Fresquet, vers 1483.

Le greffier parlementaire des Lombrail s’y installa au XVIIe siècle et Joseph Gabriel de Lombrail la vendit le à Nicolas de Reversat de Célès pour le prix de 65 000 livres. Les droits seigneuriaux seuls rapportaient 109 setiers de blé, 18 setiers d’avoine, 200 têtes de volailles et 8 livres d’argent.

Les Reversat de Célès de Marsac la gardèrent jusqu’à la Révolution où Pierre Emmanuel Marie de Reversat de Célès de Marsac, conseiller au Parlement, marié avec Marie Gabrielle "Françoise" de Vignes de Puylaroque, fut guillotiné à Paris le 24 prairial de l’an II.

La Salvetat-Saint-Gilles fut alors vendue comme bien national appartenant à un condamné.

Restaurée avec prudence car il est dans un état de délabrement avancé, cette demeure pourrait devenir un des châteaux les plus évocateurs du Pays toulousain.

Il a été acquis par la Mairie en et un projet de consolidation de la structure est actuellement en cours pour sauvegarder l’édifice. Les fonds collectés viendront en complément du financement des travaux, principalement supporté par l’État, la région Occitanie, le département de la Haute-Garonne et la commune de La Salvetat-Saint-Gilles.Dès la fin de ces travaux, l’aménagement en parc des terrains entourant le château sera ouvert au public.

Politique et administration

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Administration municipale

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Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[27],[28].

Rattachements administratifs et électoraux

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Commune faisant partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Le Grand Ouest Toulousain et du canton de Léguevin.

Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne, représentée depuis 2007 par Monique Iborra (LREM, ex-PS).

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
1900 1908
(décès)
François Cazampourre    
1908 1909 Pierre Soues   Adjoint au maire
1909 1912
(décès)
Pierre Pourquié    
1912 1914 Pierre Soues   Adjoint au maire
1914 1916 Joseph Pitorre    
1916 1924 Hippolyte Privat    
1924 1940 Antonin Angrémy    
1941 1944 François Douat   Président de la délégation spéciale
1945 1958 Pierre Laigneau[30]    
1959 1975 Marius Franc[31]    
1975 1980 Jean Gayraud    
1980 1989 Francis Patient    
2001 François Garel PS Réélu en 1995 et 1998[32]
2014 Philippe Dauvel PS Employé
Réélu en 2008
[33] En cours François Arderiu DVG Ingénieur
Vice-président de la CC du Grand Ouest Toulousain (2014 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35]. En 2021, la commune comptait 8 524 habitants[Note 7], en évolution de +6,46 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
197230229221253242247248248
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
248261265267270292324313301
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
285268263184216190220206250
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2785751 6152 3684 2825 7796 1946 3116 820
2014 2019 2021 - - - - - -
7 5128 4748 524------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[38] 1975[38] 1982[38] 1990[38] 1999[38] 2006[39] 2009[40] 2013[41]
Rang de la commune dans le département 122 59 46 28 25 29 29 29
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement

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La Salvetat-Saint-Gilles fait partie de l'académie de Toulouse.

La Salvetat-Saint-Gilles possède deux groupes scolaires école primaire (le "Condorcet" et les "Trois Chênes") école maternelle (les Petits Lutins et Marie Curie), et un collège "Galilée" pour l'enseignement secondaire[42].

Activités culturelles

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  • Le Centre d'Animation Jeunesse (CAJ), dépendant de LEC (Loisirs, Education et Citoyenneté Grand Sud) est le service public à vocations culturelles et éducatives de la jeunesse de la commune de La Salvetat Saint-Gilles, y compris des jeunes adultes. Sa vocation est de permettre à tous d'accéder aux loisirs, à l'éducation et a la culture. Le CAJ a pour ambition de favoriser l'autonomie et l'épanouissement des personnes.De 7 à 77 ans ! Au sein du CAJ se trouve dorénavant l'École de musique.
  • Théâtre pour adultes et enfants, représentations théâtrales, festivals de théâtre adultes et enfants (mai)
  • Bibliothèque Lecture pour tous
  • arts graphiques et de nombreuses autres associations[43].

Activités sportives

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Handball, rugby à XV, pétanque, tennis, squash, roller, judo, viet vo dao, cyclotourisme, Aïkido, etc[44].

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 3 415 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 8 770 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 25 560 [I 6] (23 140  dans le département[I 7]). 65 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (55,3 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 5,1 % 6,3 % 7,3 %
Département[I 9] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 5 488 personnes, parmi lesquelles on compte 80,9 % d'actifs (73,6 % ayant un emploi et 7,3 % de chômeurs) et 19,1 % d'inactifs[Note 10],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 1 026 emplois en 2018, contre 1 006 en 2013 et 861 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 4 066, soit un indicateur de concentration d'emploi de 25,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,9 %[I 12].

Sur ces 4 066 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 417 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 90 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 5,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Secteurs d'activités

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484 établissements[Note 11] sont implantés à la Salvetat-Saint-Gilles au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 484 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
16 3,3 % (5,7 %)
Construction 87 18 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
104 21,5 % (25,9 %)
Information et communication 12 2,5 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 12 2,5 % (3,8 %)
Activités immobilières 23 4,8 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
87 18 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
87 18 % (16,6 %)
Autres activités de services 56 11,6 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,5 % du nombre total d'établissements de la commune (104 sur les 484 entreprises implantées à La Salvetat-Saint-Gilles), contre 25,9 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[45] :

  • Lumiere, supermarchés (17 966 k€)
  • Abiocom, commerce de gros (commerce interentreprises) alimentaire spécialisé divers (7 277 k€)
  • Les Vergers De Corbarieu, promotion immobilière d'autres bâtiments (3 920 k€)
  • Jolly Cycles, commerce de détail d'articles de sport en magasin spécialisé (912 k€)
  • Groupe Morvan, ambulances (618 k€)

Aucune exploitation agricole ayant son siège dans la commune n'est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (sept en 1988)[48],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Le château de La Salvetat, classé au titre des monuments historiques[49] par arrêté du , notamment en raison de décors au pochoir du XVIIe siècle. Une première bâtisse a été construite entre 1088 et 1096 par Raymond IV. Le bâtiment actuel résulte d'une construction des XIIIe, XIVe, XVIIe et XVIIIe siècles. Propriété de la Ville en cours de restauration, il ne se visite pas, sauf à l'occasion des Journées du Patrimoine. Il a été racheté par la municipalité en . L'aile ouest a été réparée de 2019 à 2022. D'autres travaux sont prévus pour la décennie qui suit.
  • L'église Saint-Gilles. Ses origines remonte à la construction du château par Raymond IV, son clocher actuel date du XVIIe siècle.
  • Château d'eau : La Salvetat est une marque d'eau minérale, mais elle n'est pas fabriquée dans cette commune. Néanmoins, le château d'eau présente une particularité : il est orné d'une fresque représentant Roméo et Juliette donnant à l'ensemble un caractère insolite. Cette fresque possède elle-même une particularité amusante à découvrir sur l'ombre de l'échelle sur laquelle grimpe Roméo !


Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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La Salvetat-Saint-Gilles

Son blasonnement est : De sinople à l'arbre d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois étoiles d'or.

Bibliographie

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Laura cosmonaute

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Toulouse, il y a une ville-centre et 80 communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47]
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de la Salvetat-Saint-Gilles » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune de La Salvetat-Saint-Gilles ».
  2. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à la Salvetat-Saint-Gilles » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à la Salvetat-Saint-Gilles » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à la Salvetat-Saint-Gilles » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à la Salvetat-Saint-Gilles » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources

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  2. Stephan Georg, « Distance entre La Salvetat-Saint-Gilles et Léguevin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de La Salvetat-Saint-Gilles », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de la Salvetat-Saint-Gilles », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. Sandre, « l'Aussonnelle »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre La Salvetat-Saint-Gilles et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Toulouse-Francazal » (commune de Cugnaux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  27. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  28. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  29. Liste des maires de La Salvetat-Saint-Gilles, lasalvetatautrefois.fr
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  31. « Tournefeuille. L'usine d'eau du Marquisat fête ses 40 ans », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne).
  32. « François Garel : "Un ensemble de La Bourdasse aux Hospitaliers" », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne)
    « Il y a un an presque jour pour jour, le 18 octobre 1998, François Garel était réélu à la mairie de La Salvetat-Saint-Gilles. ».
  33. « La Salvetat-Saint-Gilles. François Arderiu devient premier édile », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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  40. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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  43. « Associations culturelles - Site Officiel de La Salvetat Saint-Gilles »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Site Officiel de La Salvetat Saint-Gilles (consulté le ).
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  45. « Entreprises à la Salvetat-Saint-Gilles », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
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  47. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
  48. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de La Salvetat-Saint-Gilles - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  49. Notice no PA31000078, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.