L'agglomération bénéficie d'un positionnement géographique avantageux sur les plans économique et social , non loin d'un aéroport international et de nombreux axes routiers majeurs et se positionne à 77 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, 29 km de Lyon, chef-lieu de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, 332 km de Marseille et 499 km de Paris, par la route.
Le centre de la commune est également situé à 12,4 km de Bourgoin-Jallieu, principale ville de son secteur[2].
Ville de taille moyenne, La Verpillière est le chef-lieu d'un canton qui porte le même nom.
La superficie de la ville est de 6,64 km2 et de plus de 7 000 habitants.
Surplombée par une forêt, et composée en partie de terres agricoles et de marais (fortement impactés par une urbanisation croissante) , La Verpillière a su demeurer un lieu ou la nature reste maître des lieux (même si elle ne reste pas à l'abri de la poussée immobilière), elle est en outre traversée par une rivière « La Bourbre », et possède un étang.
La Verpillière a intégré la nouvelle communauté d'agglomération (CAPI), dans laquelle elle est représentée par deux vice-Présidents et huit délégués. Les principales villes voisines sont Villefontaine, Saint-Quentin-Fallavier (accueillant l'une des plus grandes ZI de France), L'Isle-d'Abeau et Bourgoin-Jallieu connue par le rugby.
La Verpillière se situe entre la plaine de Lyon et la bordure occidentale du plateau du Bas-Dauphiné qui recouvre toute la partie iséroise où il n'y a pas de massifs montagneux. Le plateau se confond donc avec l'ensemble géographique du nord du département de l'Isère, secteur qui est essentiellement composé de collines de basse ou moyenne altitude et des longues vallées entre Terres froides et Balmes viennoises. L'ouest de ce secteur correspond à la plaine lyonnaise.
Il s'agit en fait d'une pénéplaine accidentée avec des collines datant du Miocène, éminences qui séparent les vallées de rivières toutes tributaires du Rhône. Au nord de la plaine berjalienne se présente un modeste massif calcaire jurassique dénommé localement l'Isle-Crémieu du fait de son élévation. Celui-ci se prolonge jusqu'au territoire de La Verpillière. Les glaciations qui se sont succédé au cours du Quaternaire sont à l'origine du modelé actuel de la plaine, les produits antéglaciaires restant profondément enfoui sous les dépôts d'alluvions liés à l'écoulement des eaux lors de la fonte des glaces[3].
Le territoire communal est longé dans sa partie septentrionale par le canal de dessèchement de la Bourbre. La Bourbre est une rivière d'une longueur de 72,2 km[4] qui traverse une grande partie de la plaine berjalienne et qui conflue avec le Rhône au nord du département de l'Isère.
Le syndicat Mixte d'aménagement du bassin de la Bourbre, regroupant 75 communes, est la structure de gestion du bassin[5]
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 922 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lyon-Saint-Exupery », sur la commune de Colombier-Saugnieu à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Statistiques 1991-2020 et records LYON-ST EXUPERY (69) - alt : 235m, lat : 45°43'35"N, lon : 5°04'40"E Records établis sur la période du 01-04-1975 au 04-01-2024
La Verpillière est desservie par plusieurs lignes de transport routier dont une ligne Transisère Lyon (Part-Dieu) / Saint-Quentin-Fallavier / Villefontaine, ainsi que deux lignes régulières du Réseau urbain Bourgoin-Jallieu - Agglomération nouvelle (dit Ruban) :
Ligne B : Villefontaine Mas de la Raz ↔ La Verpillière Mairie
Ligne H : La Verpillière - Giraud - Gare SNCF ↔ La Verpillière - Giraud - Gare SNCF (Ligne circulaire)
Au , La Verpillière est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].
Elle appartient à l'unité urbaine de Villefontaine[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[14]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (38,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (34,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (32,4 %), zones urbanisées (30,7 %), terres arables (20,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de La Verpillière, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[18].
Le quartier de Riante Plaine est composé uniquement de logements sociaux avec une vingtaine d'immeubles (R+2 à R+8). Une zone commerciale y est implantée. le centre-ville est essentiellement composé de maisons et petits immeubles (R+2) comporte les commerces de proximité de la ville. Le secteur de la gare est en pleine mutation notamment avec le contournement du passage à niveau, création de parkings dû à la fréquentation en hausse de la gare (plus de 2000 voyageurs par jour). Le secteur du stade-Mairie est composé majoritairement d'immeubles (R+3 a R+7).
Depuis ces dernières années l'aménagement de la commune s'est accéléré, et avec lui le nombre d'immeubles et de maisons. Sur le site de l'ancienne école Les Marronniers, plus de 300 logements prévus sur le site de Tecumseh, un immeuble construit dans la rue de la République et enfin plusieurs immeubles et logements proches du centre-ancien (de l'église) et sur la zone des marais (anciennement inondable).
L'ensemble du territoire de la commune de La Verpillière est situé en zone de sismicité n°3, comme l'ensemble des communes de son secteur géographique[19].
Le nom de La Verpillière proviendrait du nom latin vulpēs signifiant renard. Un grand nombre de ces animaux (certainement le Renard roux (Vulpes vulpes) furent certainement observés dans le secteur lors de la création de la paroisse[22]. Afin d'accréditer ce fait, deux renards figurent sur les armoiries de la ville[23].
Les armoiries de la ville sont ici en accord avec l’origine de son nom, ce qui n’est pas toujours le cas. Il pourrait s’agir d’un terme vulpicula associé à un suffixe -aria[24]. Il existe bien le mot latin vulpecula mais c’est un diminutif de vulpes et signifie « petit renard ». Plus simplement nous avons affaire à un mot régional, verpillière, volpillière, vulpilière[21], équivalent de l’arpitan vualpelira[25], « lieu fréquenté par les renards ».
Durant l'époque médiévale, la paroisse de La Verpillière dépend de la terre des seigneurs de Fallavier. Les comptes de la châtellenie de Fallavier, mis en place par Pierre II de Savoie, sont parmi les plus anciens conservés de la gestion par les comtes de Savoie et remonte au milieu du XIIIe siècle[26]. Guillaume de Beauvoir est en 1233[27] le seigneur de Fallavier et des terres environnante et prête hommage au chapitre de Saint-Maurice. En 1242[27] il vend sa possession en fief oblat à l'évêque de Clermont, puis à l'archevêque de Vienne en 1247[27].
Par lettres, le comte Amédée VI de Savoie porte concession en fief à Guillaume de Franciscy le domaine de La Verpillière. Au cours de l'année 1349, le royaume de France annexa le Dauphiné. Sept ans plus tard, en janvier 1356, l'enclave savoyarde de Fallavier fut concédée au Dauphiné et par conséquent au royaume de France.
Un procès-verbal en date du confirme l'appartenance des terres de Falavier comprenant Les paroisses de Saint-Quentin, la Verpillière, de Ponas et de Menufamille au domaine royal, le vassal propriétaire de ces terres étant Imbert de Comboursier[28]. Au XVIIe siècle et au siècle suivant, l'église Saint-Denis de la Verpillière faisait partie des membres de la commanderie hospitalière de Bellecombe[29].
Le des combats opposent l'armée allemande d'occupation aux troupes de l'armée de libération et celle de la Résistance locale qui progressent vers Lyon après avoir contourné le secteur du canton de La Verpillière[30].
Entre 2003 et 2006, la bande organisée d'abord dénommée sous le nom de « gang des mécanos » puis sous le nom de « gang des souris vertes » procèdent à de nombreuses attaques de banques et de fourgons de transport de fonds sur le territoire français. Le une attaque à La Verpillière va entraîner la fin de l'aventure pour les membres du gang : un convoyeur de fonds s'échappe et réussit à donner l'alarme, les gendarmes réussissant à intercepter la voiture des gangsters, ce qui entraînera l'arrestation de trois hommes sur la commune voisine de Bonnefamille et le suicide de leur chef[31].
En 2012, un tableau du peintrefrançaisCharles Camoin dénommé « La jeune fille au foulard », dérobé cinq ans plus tôt, a été retrouvé sur les bords de la Bourbre par un pécheur. Le tableau fut très rapidement identifié par la gendarmerie locale car il était fiché dans la base de données d’Interpol[32].
Ces élections opposent le maire sortant Patrick Margier (UDI) à Nicolas Sielanszyk (DVG) et Antoine Rodríguez (Divers droite).
Résultats du premier tour
Patrick Margier obtient 44.14% des voix (1088 votes), {Nicolas Sielanszyk} obtient 31.76 % des voix (783 voix) et Antoine Rodríguez obtient 24.1 % des voix (594 votes).
On compte moins de 3 % de votes blancs ou nuls. La participation s'élève à 62.68%.
Résultats du second tour
Patrick Margier remporte le scrutin avec 48.40 % (soit 1268 votes), Nicolas Sielanszyk arrive second avec 35.99% (soit 943 votes) et enfin Antoine Rodríguez avec 15.61% (soit 409 voix).
Les votes blancs ou nuls ne s'élèvent qu'à 1.43 % et la participation est de 65.91 %.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].
En 2022, la commune comptait 7 643 habitants[Note 4], en évolution de +7,59 % par rapport à 2016 (Isère : +3,07 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
La commune, située dans l'académie de Grenoble, accueille de nombreux établissement scolaires sur son territoire[42], dont, pour l'enseignement primaire :
deux groupes scolaires publiques (Jean-Jaurès et Jean-Moulin)
et pour l'enseignement secondaire :
un collège public (Anne-Frank)
l'externat Sainte-Marie également dénommée Sainte-Marie Lyon, établissement privé catholique, accueille sur un seul site des élèves de maternelle, élémentaire, collège, lycée avec un internat pour les lycéens[43].
La commune gèrait, jusqu'en 2009 (depuis, c'est la CAPI), la médiathèque André-Malraux, ainsi qu'une école de musique et un espace culturel comprenant une salle de spectacles[44].
Les événements locaux sont généralement organisés sur différents sites gérés par la commune tels que la salle polyvalente, la salle des fêtes et le Gymnase Le Cossec,
ou en extérieur, si le temps le permet, notamment pour la fête de l'Été, la fête de la Musique.
La ville gère et héberge sur son territoire deux stades de football dont un terrain synthétique, ainsi qu'un city stade et une piscine couverte.
Il existe également une piste d'athlétisme, deux terrains de rugby, deux gymnases, deux courts de tennis couverts et quatre courts de tennis plein air, un terrain de basket extérieur et un terrain de handball extérieur. En 2019, la mairie a enregistré plus de vingt-cinq associations sportives sur le territoire de la commune[45].
La communauté catholique, l'église de La Verpillère (propriété de la commune) ainsi que la congrégation des Petites Sœurs de l'Évangile, installée dans la commune depuis plus de cinquante ans, dépendent de la paroisse Saint-Paul-des-Quatre-vents qui recouvrent dix communes. Cette paroisse est elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[46].
Le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
La municipalité édite et distribue, à l'intention des résidents de la commune, un magazine d'information saisonnier dénommé le Vulpi-Lien[47].
La Verpillière a longtemps été un bassin économique de la micro région du Nord Isère, car de grandes industries y ont été longtemps implantées telles que Ferraz, ou Plastic Omnium Auto interieur et medical, et certaines y sont toujours présentes telles que Tecumseh Europe et Nemera (anciennement Rexam Pharma).
L'église paroissiale Saint-Denis de la Verpillière a été construite en 1842 dans un style néo-classique. l'édifice religieux de rite catholique présente une façade tripartite. À l'intérieur du bâtiment la nef flanquée de deux collatéraux[49]..
L'Externat Sainte-Marie de La Verpillière, bâtiment conçu par l'architecte Georges Adilon, est labellisé « Patrimoine du XXe siècle » de l'Isère depuis 2007.
La maison forte de la Verpillière, du XIVe siècle[51].
La Maison Girier est une grande demeure datant du XIXe siècle et ayant appartenu à une famille de notable, les « Girier ». L'édifice a entièrement été restauré par la municipalité en 1998 afin d'être utilisé en espace communal, abritant notamment la salle des mariages et un espace d'expositions[53].
Quelques photos divers bâtiments de La Verpillière
En , la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[54].
Le territoire de La Verpillière abrite partiellement sur son territoire trois espaces naturels inventoriés en raison de leurs caractères remarquables[55].
La ZNIEFF des zones humides reliques de la vallée de la Bourbre (partagée avec les communes de Saint-Quentin-Fallavier, de Frontonas, de Satolas-et-Bonce, de Villefontaine et de Chamagnieu).
La ZNIEFF de l'ensemble fonctionnel des vallées de la Bourbre et du Catelan (partagée avec vingt autres commune de la région).
La ZNIEFF de l'ancienne gravière d'Ecorcheboeuf (partagée avec la commune de Villefontaine).
Sur le plan linguistique, le territoire de La Verpillère, ainsi que l'ensemble du Nord-Isère, se situe au nord-ouest de l'agglomération grenobloise et au sud-ouest de l'agglomération lyonnaise. Son secteur se situe donc dans la partie septentrionale du domaine linguistique des patoisdauphinois, laquelle appartient au domaine de la langues dite francoprovençal ou arpitan au même titre que les parlers savoyards, vaudois, Valdôtains, bressans et foréziens.
L'idée du terme, « francoprovençal », attribué à cette langue régionale parlée dans la partie centre-est de la France, différente du français, dit langue d'oil et de l'occitan, dit langue d'oc est l'œuvre du linguiste et patriote italien Graziadio Isaia Ascoli en 1873 qui en a identifié les caractéristiques, notamment dans le Grésivaudan, les pays alpins et la vallée de l'Isère, depuis sa source jusqu'à sa confluence avec le Rhône. .
Henri Giraud, militaire et homme politique français, général de brigade.
Après son évasion de la citadelle de Koenigstein le . Giraud s'est caché trois mois dans la maison de M. et Mme Coron, habitants de la commune.
Léon Goubet
Plus connu sous le nom Ben-Ghou-Bey, ce fakir français célèbre né à La Verpillière en 1931, devenu par la suite champion du monde de fakirisme. Il est mort au Paraguay.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Villefontaine, il y a une ville-centre et cinq communes de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t. I, (lire en ligne), p. 113 (H.137) et 137 (H. 166)
Les Hospitaliers possédaient la paroisse mais la juridiction est restée aux ayants droit de la seigneurie de Falavier ; 1614/15: « juridiction au seigneur Maréchal d'Esdiguière, pour cause du chasteau de Falavié ». Ne pas confondre avec l'Hôpital Saint-Jean de la Verpillière (La Trossaz), commune de Cercier en Haute-Savoie qui est un membre de Compesières en Genevois.
↑ a et bEric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN2-911148-66-5), p. 711.