Son frère Jacques Douy (né en 1924), également décorateur, a été son assistant, et travaille avec Claude Autant-Lara en 1958 et Jean-Pierre Mocky en 1959[4].
↑Limore Yagil, Au nom de l'art, 1933-1945 : "Jusqu'à 1943 Emma Le Chanois aide son mari à récolter de l'argent pour les activités clandestines de son groupe de résistants, affilié à la CGT, et auquel s'est associé un petit groupe de techniciens, dont le décorateur Max Douy, un ami syndicaliste, Nicolas Hayer, l'assistant réalisateur Marc Maurette, le réalisateur Jean Painlevé.Ce réseau se spécialise, dans un premier temps, dans la propagande et le renseignement à usage interne puis, à l'automne 1941, devient le Comité de salut public du cinéma français...".
↑Stéphane Pozderec, « Hommage à Max Douy », La lettre syndicale du SNTPCT, no n°32, , Page 10 (lire en ligne [PDF])
↑Léa Chevalier, « Au regard des maquettes, la collaboration entre Max Douy et Claude Autant-Lara », Double jeu. Théâtre / Cinéma, no 21, , p. 19–32 (ISSN1762-0597, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bL'Encyclopédie du Cinéma, Roger Boussinot, Ed. Bordas, p. 409
Max Douy et Jacques Douy, Décors de cinéma. Un siècle de studios français, Paris, éditions du Collectionneur, (1re éd. 1993), 336 p. (ISBN9782909450186).