Pays d'origine | États-Unis |
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Genre musical | Punk hardcore, hardcore positif, pop punk, rock alternatif, emo, easycore (débuts) |
Années actives | Depuis 2005 |
Labels | No Sleep Records, Hopeless, Loneliest Place on Earth |
Membres |
Dan « Soupy » Campbell Casey Cavaliere Matt Brasch Josh Martin Nick Steinborn Mike Kennedy |
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The Wonder Years est un groupe américain de rock, originaire de Lansdale, en Pennsylvanie. Le groupe est actuellement composé de Dan « Soupy » Campbell (chant principal), Casey Cavaliere (guitare principale, chœurs), Matt Brasch (guitare, chœurs), Josh Martin (basse, chœurs), Nick Steinborn (claviers, guitare, chœurs) et Mike Kennedy (batterie, percussions). Ils sortent sept albums complets, deux EPs, et plusieurs splits/compilations. Le groupe est actuellement signé chez Hopeless Records[1]. Leur nom provient d'un article que Campbell a lu et qui avait été écrit par l'un de ses éducateurs après l'école, intitulé The Wonder Years[2].
The Wonder Years signe avec No Sleep Records en 2007[3]. Après avoir terminé leur première tournée au Royaume-Uni avec Never So True, The Wonder Years enregistre son premier album studio, Get Stoked on It ![3] Get Stoked on It! sort le , et permet à la base de fans du groupe, alors peu nombreuse, de s'agrandir de manière significative. Au printemps 2008, The Wonder Years a sorti un EP intitulé Won't Be Pathetic Forever. En , The Wonder Years sort un split EP intitulé Distances avec le groupe de pop punk britannique All or Nothing[4]. Le split ne comprend que deux chansons de The Wonder Years, et c'est après cette sortie que le claviériste/chanteur Mikey Kelly quitte le groupe pour poursuivre d'autres objectifs.
Le groupe a sorti un split 6 pouces avec Stay Ahead of the Weather intitulé Punk Is Dead. Get a Job le , et réédite son premier album, Get Stoked on It!, le . L'album ne sera disponible qu'en version numérique sur le site du label. Campbell, qui n'a pas caché sa déception à l'égard du premier album du groupe, a déclaré : « Pour nous, cet album est une épave. Chris a payé pour le faire remasteriser il y a une éternité et on a pas cessé d'essayer de repousser son inévitable réédition. Lui et moi, on s'est mis d'accord sur le fait que, puisqu'il est déjà disponible en version numérique, il n'y a pas de mal à remplacer les anciens mixages par de meilleurs, tant que l'album n'est plus jamais pressé sous une forme physique. C'est tout ce qu'il y a à dire. [...] Si vous détestez l'album, je suis de votre côté. On ne jouera aucune de ces chansons en concert pour soutenir ce projet. On ne considère pas ça comme une réédition. C'est juste un échange pour un meilleur mixage[5]. »
Avant la sortie de The Greatest Generation, le groupe donne quatre concerts en l'espace de 24 heures pour promouvoir l'album. Wonder Years sortent leur quatrième album, The Greatest Generation, le 14 mai, via Hopeless Records. En , The Wonder Years joue les 6 dates du festival Slam Dunk au Royaume-Uni et en Irlande. Avant de s'embarquer pour le Vans Warped Tour 2013, le groupe joue quelques concerts avec Silverstein au Canada. Les ventes de The Greatest Generation en première semaine ont plus que doublé celles de Suburbia I've Given You All and Now I'm Nothing, avec un total de 19 673 exemplaires vendus. Ces ventes placent l'album à la 20e place du classement du Billboard 200. En , sur une période de trois jours, le groupe joue des concerts anniversaires où chaque soir ils ont joué un de leurs trois albums précédents dans leur intégralité[6].
Le , le single Brakeless sort à l'occasion du 10e anniversaire de leur album The Upsides, revisitant des sonorités pop-punk plus anciennes. La chanson sort après le succès du défi get out the vote lancé par le groupe pour inscrire 1 000 électeurs avant le 20 octobre[7].
Le , le groupe sort Oldest Daughter, leur premier nouvel album depuis la sortie de Sister Cities. Après la sortie de leur deuxième single, Summer Clothes, ils confirment leur septième album studio, The Hum Goes on Forever, qui sort le [8]. Cet album se compose de douze chansons, donnant à l'auditeur un aperçu et racontant l'histoire de ce que le chanteur principal, Dan Campbell, a vécu et traversé pendant la pandémie de Covid-19[9].
The Wonder Years a été décrit comme du pop punk[10],[3],[11], du rock alternatif[11] et de l'emo pop[10]. Get Stoked on It! a été décrit comme du pop punk[12],[13]. The Upsides a été décrit comme de l'emo pop et du pop punk[10]. Suburbia I've Given You All and Now I'm Nothing a été décrit comme du hardcore mélodique[14] et du pop punk[15],[16]. The Greatest Generation a été décrit comme du pop punk[17]. No Closer to Heaven a été décrit comme du rock alternatif[18] et du pop punk[19]. Sister Cities a été décrit comme du rock indépendant, du post-hardcore et du rock[20].
Campbell, dans un Let's Play avec Achievement Hunter, a déclaré que Motion City Soundtrack était « une énorme influence » pour le groupe[21]. Dans une interview avec Alternative Press, il a également cité Blink-182, Inkling, et The Get Up Kids comme influences[22].