Coulaines est une ville au label « 4 fleurs » du concours des villes et villages fleuris, distinguée en 2021 de la « fleur d'or » et élue en 2019 « Ville la plus sportive des Pays de la Loire » (catégorie « Communes entre 4 000 et 8 000 habitants »).
La ville de Coulaines est classée parmi les 100 communes les plus pauvres de France.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 720 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune du Mans à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 693,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Statistiques 1991-2020 et records LE MANS (72) - alt : 51m, lat : 47°56'44"N, lon : 0°11'39"E Records établis sur la période du 01-12-1944 au 03-12-2023
Au , Coulaines est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].
Elle appartient à l'unité urbaine du Mans[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant 19 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Mans, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4],[11]. Cette aire, qui regroupe 144 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (51,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (35,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (41 %), prairies (18,7 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), terres arables (11,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,7 %), forêts (2,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le plus haut bâtiment de l'agglomération est une tour d'habitation HLM de dix-huit étages nommée Programme no 154 ou Tour de Coulaines ou Tour des Sables, culminant à 61 mètres[15]. Il s'agit de la plus haute tour d'habitation urbaine de la région après le Sillon de Bretagne dans la banlieue de Nantes, culminant à 95 mètres de hauteur sur trente étages[16].
À l'entrée de la ville, sur le boulevard Saint-Michel, à proximité de la caserne de pompier, se trouve le bâtiment ayant accueilli l'école normale de la Sarthe jusqu'en . À l'origine, cet établissement formait des institutrices, puis instituteurs et institutrices et enfin, des professeurs des écoles. Sur le site a été édifiée la Maison départementale des Sports accueillant de nombreuses instances sportives.
En 2016 est créé un conseil citoyen pour permettre aux habitants de participer au développement du « vivre ensemble » et répondre aux orientations de la politique de la ville. Il a la particularité d'être à cheval sur la limite avec le quartier Bellevue de la ville du Mans. Le , lors de la première journée citoyenne organisée par la ville, le conseil plante un arbre de la citoyenneté au 22 rue de Londres, marquant la limite séparative du quartier de Bellevue et de Coulaines.
La fibre optique arrive dans les premiers foyers à Coulaines à partir de [19].
Le nom de la localité est attesté sous la forme Coloniae au IXe siècle[20]. Le latincolonia désignait une terre où un colon était installé. Aux temps féodaux, le terme fut repris pour désigner la terre d'un fermier libre[20].
Le gentilé est Coulainais (anciennement Coulainois).
En novembre 843, Charles le Chauve convoque l’assemblée politique sur les terres de Coulaines. Il promet de préserver les biens ecclésiastiques et admet la loi des puissants, mais demande que l’épiscopat et les laïcs s’engagent à maintenir l’ordre, la justice et la paix, modifiant ainsi le droit royal, notamment entre le roi et l’aristocratie. Certains historiens[Lesquels ?] voient dans cet accord la fin de la fonction publique telle qu’elle a été héritée du Bas-Empire romain. C’est, de plus, la partition définitive des trois royaumes francs hérités des Mérovingiens : la Neustrie, l’Austrasie et la Burgondie. Charles II hérite de la Francia Occidentalis, ce qui deviendra plus tard la France telle que nous la connaissons. Il signe alors le capitulaire de Coulaines[21],[22].
À la fin du XIe siècle (vers 1099), une trentaine d'années après son père Guillaume le Conquérant, Guillaume le Roux s'installe à Coulaines et sur la motte et le mont Barbet pour se réapproprier Le Mans maintes fois repris au prix de nombreux incendies tant en la cité mancelle que dans les campagnes avoisinantes dont Coulaines dut subir le sort[23].
En 1845, Louis-Philippe Ier prononce le rattachement d'une partie de la paroisse de Saint-Ouen du Mans à la commune de Coulaines.
Coulaines connait son développement à partir de 1961, faisant passer la commune de 1 400 habitants à plus de 7 000 dans la décennie. Un vaste programme de construction de logements doit répondre aux besoins démographiques. Le quartier Bellevue est classé en zone urbaine sensible (ZUS) depuis 1996[24], devenu un quartier prioritaire en 2015 et une zone de sécurité prioritaire (ZSP) en 2012[25].
En 2010 est lancé un projet de rénovation urbaine ANRU envisageant de "redessiner" la ville[26]. Il sera étendu en 2015 avec pour objectif la réalisation de nombreux logements entre l'église et la place de l'Europe.
Pôle d'excellence éducative Albert-Camus ouvert en . Il accueillait 362 élèves en 2020, répartis sur 15 classes, dont 151 élèves en classe de maternelle, et 211 élèves en classe de primaire[43];
école Georges-Braques, accueillant 176 élèves en 2020[44] ;
école Molière (SIVOS avec la ville du Mans) ancienne école annexe de l'IUFM de la Sarthe. En 2020, l'école accueillait 177 élèves répartis sur 8 classes, dont 58 élèves en classe de maternelle, et 110 élèves en classe de primaire[45].
Collège :
Collège Jean-Cocteau accueillant 400 élèves répartis en 16 classes de quatre niveaux[46]. Les élèves sont également originaires des communes de Saint-Pavace et Neuville-sur-Sarthe.
La ville est classée parmi les 100 communes (41e) les plus pauvres de France et comptabilise 50 % de logements sociaux, lesquels sont situés au cœur du quartier prioritaire « Bellevue-Carnac ». Pas moins de 47 nationalités y sont recensées.
Cependant, la ville de Coulaines a remporté le premier prix RMC « ville/commune sociale » pour son parcours d’accompagnement des jeunes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].
En 2021, la commune comptait 8 003 habitants[Note 5], en évolution de +7,22 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La ville de Coulaines dispose d'une salle polyvalente (Espace culturel Henri Salvador), d'une bibliothèque associative et d'un centre d'animation (L'Herberie). La saison culturelle de la ville de Coulaines compte chaque année plus de cinquante rendez-vous à destination de tout public (concerts, théâtre, lectures, danses, humour…) et une dizaine de spectacles à destination du jeune public labellisés par le Réseau jeune public de la Sarthe[52].
Le , la ville a fêté les trente ans de l'espace culturel Henri-Salvador en présence de Catherine Salvador et Philippe Lavil[53]. À son ouverture en 1986, l'espace culturel est nommée salle polyvalente Les Sources. C'est seulement en 2002, sous l'impulsion du nouveau maire de la ville Christophe Rouillon, que la salle prend le nom d'espace culturel Henri-Salvador. Lors de l'inauguration en 2002, plus de 1 000 personnes ont fait le déplacement pour rencontrer Henri Salvador[54]. En trente ans, la salle a reçu plus de 300 spectacles jeunes publics et quelque 200 spectacles tout public.
En 2012, une nouvelle manifestation Livres et compagnie[66] vient s'ajouter à l'offre culturelle de la ville. D'abord constituée de quelques rendez-vous destinés à promouvoir le livre et lecture auprès des quartiers prioritaires, l'action, soutenue dans le cadre de la politique de la ville s'étend désormais sur plus de six mois et regroupe de nombreux partenaires (Maison de la lecture, centre social les Maisons pour tous, Centre d'animation l'Herberie, les trois écoles primaires, le collège Jean-Cocteau…).
La saison culturelle de la ville de Coulaines repose en grande partie sur des partenariats reconduits chaque année (festival Bebop, Le Mans cité chansons, 25e heure du livre, Ciné ambul'72 et établissement d'enseignement artistique Djando-Reinhard, comité de jumelage…).
Depuis le XVIe siècle (1540), a lieu le lundi de Pâques à Coulaines, la fête dite « aux œufs durs » lors de laquelle sont distribués des œufs préalablement cuits à toute la population. Dans les années 70-80, c'est crus et lancés depuis le char qui fermait le défilé qu'étaient jeté les œufs aux habitants sur leurs balcons ou dans la foule avec la panique que cela pouvait engendrer.
Depuis 1999, au début du printemps, Coulaines propose le Festival du cerf-volant. On y retrouve (si les conditions météorologiques le permettent) toutes sortes de créatures en toiles voguant au gré des vents, ainsi que toutes sortes de gadgets se servant de l'énergie éolienne.
Créé en 1936, par la section football, le club omnisports de la Jeunesse sportive de Coulaines s'est, au fil des années, agrandi avec nombre de sections qui se sont ajoutées. En 2022, le club compte 27 sections pour 24 disciplines. En football, le club qui évolue alors en DH se qualifie pour la première fois de son histoire pour les 32e de finale de la Coupe de France lors de la saison 1997-1998 (défaite contre le Stade rennais 4-0). En 2017, le club fait évoluer deux équipes de football en ligue du Maine et une troisième équipe en division de district[67].
La section basket des JS Coulaines a vu, durant la saison 2006-2007, ses deux équipes fanions (senior 1 féminin évoluant alors en Nationale 3 et sénior 1 masculin évoluant en régional 2), être éliminées en 64e de finale du trophée coupe de France. Les seniors masculins avaient réussi l'exploit d'éliminer deux équipes de Nationale 3 (dont la première, en 256e de finale, avec un écart assez important). Les JS Coulaines basket accueillent depuis plusieurs années, l'équipe cadette Sarthe féminine évoluant en championnat de France, et, depuis 2009, l'équipe féminine minime Sarthe évoluant aussi en championnat de France.
En , le CSR Team EKOI, équipe de roller du club de Coulaines obtient la troisième place de la dixième édition des 24 Heures Rollers. Le weekend du 24 et , cette équipe a battu quatre records du monde de roller : celui du 100 km (en 3 h 2 min 6 s), celui du parcours en 6 heures (192,547 km), celui du parcours en 12 heures (372,643 km) et celui du parcours en 24 heures (721,081 km)[réf. nécessaire]
Coulaines a été élue ville la plus sportive des Pays de la Loire en 2002 (en 3ème catégorie, c'est-à-dire entre 6000 et 10 000 habitants), et deuxième ville la plus sportive des Pays de la Loire en 2009 par le Comité régional olympique et sportif des Pays de la Loire[réf. nécessaire]. Avec 7 500 habitants environ, les JS Coulaines comptent plus de 4 000 licenciés. En 2013, la ville est nommée « ville la plus sportive des Pays de la Loire » (catégorie « Communes entre 4 000 et 8 000 habitants ») par le Comité régional olympique et sportif pour quatre ans[71]. Elle est de nouveau « ville la plus sportive des Pays de la Loire » en 2019 (catégorie « Communes entre 8 000 et 15 000 habitants ») et obtient également le label quatre flammes[72]. Le 20 novembre 2019, Coulaines est labellisée Terre de Jeux 2024 par le Comité d’organisation des Jeux olympiques de Paris 2024, afin d'être centre de préparation aux jeux des délégations étrangères[73].
Entre 2007 et 2018, à la suite de la mise en œuvre d'un plan d'actions en faveur des énergies durables[76] (PAED comportant dix-neuf actions concrètes votées par le conseil municipal du [77]). En 2014, des chèvres et des moutons sont introduits en milieux semi-naturels pour entretenir une parcelle située en contrebas de l'arboretum, favoriser la biodiversité et réduire les émissions de gaz à effet de serre[78].
La ville de Coulaines pratique la politique du 0 pesticide depuis le début des années 2000, bien avant que cette interdiction ne soit dans la législation française (loi Labbé 2019).
La commune de Coulaines, bien que péri-urbaine, possède un arboretum de 6.5 ha abritant de nombreuses essences d'arbres, à fleurs ou conifères, exotiques (tulipier de Virginie, févier d'Amérique, Sequioa géant etc) ou locales (chênes, hêtres, douglas...). On y retrouve plusieurs types de sols dont certains favorisent le développement de certaines espèces d'orchidées sauvages :
Orchis mascula
Orchis bouc
Orchis pyramidal (très rare sur le secteur, seulement 1 à 3 pied aperçu par an)
Ophrys abeille
Dactylorhiza sp. (un seul pied aperçu en 2018, voir photo)
L'arboretum appartient à une zone appelée "chemins creux de Coulaines" où la nature cottoie l'urbain. On peut y apercevoir des espèces de mammifères (écureils roux, lapins, taupes, musaraignes, hérissons, renards roux, chevreuil, chauves souris, rongeurs myomorphes), de nombreuses espèces de sauropsidés/oiseaux (Corbeaux, pie, geaies des chênes, pigeons, mésanges, pics, falconiformes et diverses espèces de passereaux comme la huppe fasciée), des sauropsidés/reptiles (couleuvres, lézards) et des arthropodes (nombreuses espèces de lépidoptères dont des Flambées et paon de jour, des coléoptères (Chrysmèles, Cétoine dorées), hyménoptères (différentes espèces de guêpes tels frelons européens, abeilles (Dont Xylocopes), des Syrphes (Volucelle dorée) etc).
L'église Saint-Nicolas, d'époque médiévale (XIIe siècle, édifiée par l'évêque du Mans Hoël vers 1085, en même temps que sa « maison de campagne », presque en face) possède une tour hourdée de bois (rare). Sa cloche, prénommée « Gertrude » est la dernière de la célèbre sonnerie de douze cloches de l'abbaye Saint-Vincent du Mans, sauvée à la Révolution quand tout le bronze était réquisitionné. L'église est inscrite au titre des Monuments historiques par arrêté du [79]. Elle abrite deux bas-reliefs et quatre statues classés à titre d'objets[80].
L'aqueduc des Fontenelles jadis visible au lieu-dit la Chaise aux Fées, long de 4 km atteste l'occupation romaine. Son eau, provenant de Sargé, alimentait quelques édifices romains du Mans, essentiellement des fontaines et autres lieux de salubrité (vespasiennes). Le public peut voir une pièce d'environ 2 mètres de long et d'1,50 mètre de haut de cet aqueduc, sous verre, dans la zone entourant la Maison des Chemins creux de Coulaines. Cette pièce a été sauvée par Roger Crétois (autorisé par le maire de l'époque Georges Bollengier-Stragier) qui, avec l'aide d'une association de réinsertion, l'AFIC, sous la responsabilité de Marcel Boinet et Lydie Gaudin, a pu faire transférer ce tronçon (le ), dans le parc du Sidéal tenu par Patrick Salètes, directeur de l'association Sidéal. Patrick Salètes a été maître-d'œuvre du bâtiment Sidéal devenu la Maison des Chemins creux en 2005.
Four à chanvre : pendant le parcours de randonnée no 1 des Chemins creux, en passant à proximité d'un petite place occupée par un immense paulownia (arbre dont les fruits sont collants), on peut admirer un four à chanvre en parfait état de conservation, avec une description de son utilisation.
Chemin creux du boulevard nature.
Le four à chanvre de la Closerie.
Tronçon de l'aqueduc des Fontenelles visible à la Maison des chemins creux.
Jo-Wilfried Tsonga (1985-) : joueur de tennis, formé aux Jeunesses sportives de Coulaines de ses 8 ans à ses 13 ans. Il reprend sa licence au club en 2017[81].
Jérémy Leloup (1987-), joueur de basket-ball, licencié des Jeunesses sportives de Coulaines de 1992 à 2002.
Lydia Belkacemi (1994-) : joueuse de football qui a débuté à Coulaines avec les garçons à l'âge de 12 ans.
Paul Rigot (1995-) : joueur de basket-ball qui a débuté à Coulaines en 2006 à l'âge de 8 ans.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine du Mans comprend une ville-centre et 18 communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Alexandre Dasilva, « Pays de la Loire : votre commune fait-elle partie de la liste des territoires labellisés Terre de Jeux 2024 ? », actu.fr, (lire en ligne)