Saint-Jean-d'Illac

Saint-Jean-d'Illac
Saint-Jean-d'Illac
Centre-ville et église.
Blason de Saint-Jean-d'Illac
Blason
Saint-Jean-d'Illac
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes Jalle Eau Bourde
Maire
Mandat
Edouard Quintano
2020-2026
Code postal 33127
Code commune 33422
Démographie
Gentilé Illacais
Population
municipale
9 304 hab. (2021 en évolution de +22,26 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 38″ nord, 0° 46′ 57″ ouest
Altitude Min. 34 m
Max. 61 m
Superficie 120,57 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mérignac-2
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Jean-d'Illac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Jean-d'Illac
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Saint-Jean-d'Illac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Jean-d'Illac
Liens
Site web www.mairie-stjeandillac.fr

Saint-Jean-d'Illac (prononcé [sɛ̃ ʒɑ̃ dijak]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans la banlieue ouest de Bordeaux, dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans son unité urbaine sur la Jalle de Blanquefort entre Mérignac et Lanton, dans les Landes de Bordeaux.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes en sont Martignas-sur-Jalle au nord-nord-est, Mérignac au nord-est, Pessac à l'est, Cestas au sud-est, Marcheprime au sud, en quadripoint, Audenge au sud-est, Lanton à l'ouest, Le Temple à l'extrême nord-ouest et Saint-Médard-en-Jalles au nord-nord-ouest sur environ 900 mètres.

Le quadripoint (point de la surface de la Terre qui touche quatre régions distinctes) est constitué entre les communes de Saint-Jean-d'Illac au nord, Cestas à l'est, Marcheprime au sud et Audenge à l'ouest.

Communes limitrophes de Saint-Jean-d'Illac[1]
Le Temple Saint-Médard-en-Jalles     Martignas-sur-Jalle Mérignac
Lanton Saint-Jean-d'Illac[1] Pessac
Audenge
 
                (quadripoint)
Marcheprime
Cestas
 

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Littoral charentais et aquitain, caractérisée par une pluviométrie élevée en automne et en hiver, un bon ensoleillement, des hiver doux (6,5 °C), soumis à la brise de mer[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 002 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mérignac à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 924,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Jean-d'Illac est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (27,5 %), terres arables (12,7 %), zones urbanisées (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %), mines, décharges et chantiers (0,4 %), prairies (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Réseau routier

[modifier | modifier le code]

La commune est accessible par la sortie no 12 de la rocade bordelaise. La ville est traversée par la route départementale 106 (Axe Bordeaux-Lège-Cap-Ferret) et la départementale 211 (Axe Martignas-sur-Jalle-Saucats). Ces deux routes principales se croisant au niveau du rond-point de l'église.

Lignes de bus

[modifier | modifier le code]
601 Gare de Bordeaux-Saint-Jean ou Bordeaux-Quinconces ⇔ Saint-Jean-d'Illac-Le Las ou Lège-Cap-Ferret-Salle des Sports ou Lège-Cap-Ferret-La Pointe[16].

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Jean-d'Illac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Jalle, la craste Courbin. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003, 2008, 2009 et 2020[19],[17].

Saint-Jean-d'Illac est exposée au risque de feu de forêt. Un incendie important s'est notamment produit en 2015. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[20]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[21]. Sur le plan de l'aménagement du territoire la commune dispose d'un plan de prévention des risques incendies feux de forêts (PPRIF)[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Jean-d'Illac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 20,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 765 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 116 sont en aléa moyen ou fort, soit 40 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

« Sanctus Johannes d’Oilhac » ou « Sancti Johannis d’Illac »[24] est l’origine de ce qui devait donner le nom de Saint-Jean-d’Illac, de façon officielle le après avoir, selon le bulletin des Lois de 1801, porté le simple nom d'Illac[25].

En occitan gascon, le nom de la commune est Sent Joan d'Ilhac[26], mais est souvent appelé familièrement Ilhac[27].

Les premiers Illacais habitaient le quartier de Boulac, et, en 1295, la juridiction de Bordeaux cite comme limite le Pas Bougès, lieu-dit situé au niveau de la Jalle du Cerne.

La maison d’Illac est apparue au XIIe siècle, et s’est éteinte au début du XIVe siècle. Les seigneurs connus sont Arnaud d’Illac, chanoine de Saint-Seurin, et la marquise d’Illac probablement mariée à Raymond de Got, et mère de Bertrand qui devint le pape Clément V.

À la Révolution, les terres ayant appartenu aux nobles émigrés furent confisquées et données à la commune. Lorsque Napoléon III obligea à les ensemencer par une loi de 1857, la commune ne fit pas ce choix. Saint-Jean-d’Illac possédait 5 373 ha de communaux qui étaient des espaces infinis que partageaient autrefois avec les animaux sauvages les pâtres et les bergers de la Lande, dont le maire, le curé et quelques notables seulement connaissaient les limites. Peut-être par faute de moyens, la commune les vendit aux particuliers pour la somme de 1 880 500 F.

Après avoir été, jusqu’à la fin du XIXe siècle, un village où vivaient chichement des bergers et des paysans, Saint-Jean-d’Illac devient alors une commune forestière.

À partir de 1925 la forêt devint productrice de revenus, notamment avec la récolte de la résine[28].

À partir du , pendant plus de trois jours, un important feu de forêt a lieu sur la commune ; plus de 500 hectares sont brûlés[29].

Caserne des pompiers construite dans les années 1950[30].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

À la suite du décès du maire Pierre Favre, le , au cours de son quatrième mandat, Hervé Seyve a été élu par le conseil municipal en qualité de maire intérimaire, le .

L'élection municipale de mars 2008 a été gagnée par Hervé Seyve par 1 633 voix contre 1 622 voix pour Jacques Fergeau, soit 11 voix d'avance[31].

Un recours devant le tribunal administratif de Bordeaux a amené celui-ci à annuler l'élection de et une élection municipale partielle a eu lieu les 7 et donnant la liste menée par Jacques Fergeau gagnante avec 1 419 voix contre 1 400 voix pour la liste d'Hervé Seyve, soit 19 voix d'avance.

L'élection municipale de mars 2014 a donné Hervé Seyve gagnant avec 1 788 voix contre 1 736 voix pour Jacques Fergeau, soit 52 voix d'avance[32].

L'élection municipale de 2020 a vu la liste d'Édouard Quintano s'imposer avec 1 613 voix contre 976 voix pour la liste de Patrick Babayou.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1947 mars 1977 Réné Querandeau    
mars 1977 mars 1983 Pierre Guillem    
mars 1983 mai 2007 Pierre Favre UDF-PR puis UMP Député (1993-1997) - Conseiller général
mai 2007 novembre 2008 Hervé Seyve UMP  
décembre 2008 mars 2014 Jacques Fergeau PS Conseiller général
mars 2014 juillet 2020 Hervé Seyve[33] UMP-LR Cadre supérieur
juillet 2020 En cours Édouard Quintano[34],[35] DVG Professeur en économie gestion

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Illacais[37].

Avant la guerre de 1914-18, le village comptait environ 800 habitants ; en 1954, on n’en comptait plus que 687 et c’est à partir de 1968 avec environ 1 000 habitants, que Saint-Jean-d’Illac commença son essor démographique pour compter plus de 6 000 habitants.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 9 304 habitants[Note 4], en évolution de +22,26 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
420397421443527462539527559
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
6446316452 799669703712776785
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
786824837739720639640602687
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
9121 0161 4982 5383 8795 2136 1046 3336 826
2014 2019 2021 - - - - - -
7 4478 9809 304------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
Rang de la commune dans le département 156 108 66 50 39 36 38 36
Nombre de communes du département 548 543 543 542 542 542 542 542

Enseignement

[modifier | modifier le code]
L'école maternelle Paul-Cézanne en septembre 2015.

La ville dispose de plusieurs équipements scolaires publiques dont trois écoles accueillant des classes maternelles (Maurice-Ravel, Paul-Cézanne et Jacques-Prévert) et trois écoles accueillant des classes élémentaires (Maurice-Ravel, Jean-Monnet et Jacques-Prévert)[45].

Le secondaire est présent par le collège de l'Estey[46] qui a ouvert en .

Depuis septembre 2019, l'école d'ingénieur ELISA Aérospace s'y est implantée.

Salle René-Quérandeau avant sa destruction en 2017.

Les différents complexes sportifs :

  • le complexe Pierre-Favre qui accueille les équipes de volley-ball de la commune qui jouent au niveau national mais aussi d'importants tournois nationaux et internationaux de ce sport comme le tournoi de qualification européen au championnat du monde juniors de volley-ball[47] ;
  • le complexe Les Badines, situé sur la route de Bordeaux : deux courts de tennis couverts, deux courts extérieurs et deux courts de mini-tennis ;
  • la salle René-Quérandeau, située en centre-ville (détruite en 2017[48]) ;
  • la plaine des sports André-Maleyran dispose de trois stades de football ;
  • un « city stade », situé à proximité de l’église ;
  • un skatepark, situé à proximité de l’église ;
  • un terrain de pétanque, situé à proximité de l’église.

En 2010, la commune de Saint-Jean-d'Illac a été récompensée par le label « Ville Internet @ »[49].

La mairie édite, tous les ans, un guide pratique sous forme de brochure disponible en mairie ainsi que sur son site internet, sous Calaméo[50].

Revenus de la population et fiscalité

[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 45 365 €, ce qui plaçait Saint-Jean-d'Illac au 798e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[51].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Armes

Les armes de Saint-Jean-d'Illac se blasonnent ainsi :

D'azur à la croix estrée d'or cantonnée au premier d'un agneau auréolé tenant une houlette en barre sur une terrasse herbée isolée, le tout d'argent, au second d'une pomme de pin renversée avec ses aiguilles aussi d'or, au troisième d'une tunique surmontée d'un casque de sapeur-pompier forestier du même et au quatrième de trois maisons couvertes aussi d'argent ouvertes de sable, au chef de gueules chargé d'un léopard d'or armé et lampassé du champ.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bordeaux, il y a une ville-centre et 72 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Saint-Jean-d'Illac sur Géoportail, consulté le 24 juillet 2015.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Jean-d'Illac et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bordeaux-Mérignac » (commune de Mérignac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bordeaux-Mérignac » (commune de Mérignac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Jean-d'Illac ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Le transport de proximité », sur mairie-stjeandillac.fr (consulté le ).
  16. « 601 - Bordeaux-Lège-Cap-Ferret », sur transgironde.gironde.fr (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Jean-d'Illac », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. Saint-Jean-d'Illac, deux siècles d'histoire locale, 1990
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des communes. Gironde, ed. CAIRN et l'Institut Occitan, Pau, 2008, p. 299-300
  27. Jean Seguy, Atlas Linguistique et Ethnographique de la Gascogne, vol. 1, Noms dialectaux des Communes
  28. Site officiel de la ville
  29. « Incendie en Gironde : bientôt 600 pompiers déployés », Le Monde, (consulté le ).
  30. « Centre des sapeurs-pompiers forestiers de Saint-Jean-d’Illac », sur visites.aquitaine.fr (consulté le ).
  31. Résultats des élections municipales 2008 pour Saint-Jean-d'Illac, consulté le 7 juillet 2014.
  32. Résultats des élections municipales et communautaires 2014 pour Saint-Jean-d'Illac, consulté le 7 juillet 2014.
  33. [PDF] « Élection du maire et des adjoints, feuille de proclamation » (consulté le ).
  34. « Saint-Jean-d’Illac : Edouard Quintano fait basculer la ville à gauche », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  35. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 à Saint-Jean-d'Illac », sur interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  36. Jumelage
  37. Nom des habitants de Saint-Jean-d'Illac sur habitants.fr, consulté le 21 décembre 2011.
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  42. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  43. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  44. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  45. Les établissements scolaires sur saintjeandillac.fr
  46. Collège de l'Estey
  47. Les français qualifiés pour le Championnat du Monde Junior de Volley Ball, sur Sud Ouest.fr
  48. « Fin de partie pour la salle René Quérandeau », Sud Ouest, (consulté le ).
  49. [PDF] Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association, consulté le 19 décembre 2009.
  50. Édition 2014 du guide pratique de la commune.
  51. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  52. Conseil régional d'Aquitaine, « Église Saint-Jean-Baptiste », sur visites.aquitaine.fr (consulté le ).
  53. « Eglise paroissiale Saint-Jean », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  54. Conseil régional d'Aquitaine, « Courtiou de Saint-Jean-d’Illac », sur visites.aquitaine.fr (consulté le ).