Saint-Vincent-de-Tyrosse

Saint-Vincent-de-Tyrosse
Saint-Vincent-de-Tyrosse
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes de Maremne-Adour-Côte-Sud
(siège)
Maire
Mandat
Régis Gelez
2020-2026
Code postal 40230
Code commune 40284
Démographie
Gentilé Tyrossais
Population
municipale
7 956 hab. (2021 en évolution de +3,85 % par rapport à 2015)
Densité 379 hab./km2
Population
agglomération
16 995 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 38″ nord, 1° 18′ 26″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 61 m
Superficie 20,98 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Saint-Vincent-de-Tyrosse
(ville-centre)
Aire d'attraction Saint-Vincent-de-Tyrosse
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton du Pays tyrossais
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.ville-tyrosse.fr

Saint-Vincent-de-Tyrosse est une commune française située dans le département des Landes, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle est le chef-lieu du canton de Saint-Vincent-de-Tyrosse, composé de 11 communes.

Le gentilé est Tyrossais[1].

Géographie

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Localisation

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La commune est située sur l'ancienne route nationale 10, à égale distance de Bayonne et de Dax. Elle bénéficie de la proximité de l'océan Atlantique, lieu de passage pour se rendre sur la côte.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Angresse, Bénesse-Maremne, Josse, Saint-Geours-de-Maremne, Saint-Jean-de-Marsacq, Saubion, Saubrigues et Tosse.

Communes limitrophes de Saint-Vincent-de-Tyrosse[2]
Saubion Tosse Saint-Geours-de-Maremne
Angresse Saint-Vincent-de-Tyrosse Josse
Bénesse-Maremne Saubrigues Saint-Jean-de-Marsacq

Lieudits et hameaux

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Quatre quartiers composent la commune de Saint-Vincent-de-Tyrosse[3] :

  • Castets ;
  • Maubecq ;
  • l’Église ;
  • Brana.

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et basque[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Littoral charentais et aquitain » et « Aquitaine, Gascogne »0[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 358 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Hinx à 9 km à vol d'oiseau[7], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 410,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Saint-Vincent-de-Tyrosse est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Vincent-de-Tyrosse[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Vincent-de-Tyrosse, dont elle est la commune-centre[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,9 %), zones urbanisées (18,3 %), terres arables (15,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,3 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), prairies (1,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Vincent-de-Tyrosse est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

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Saint-Vincent-de-Tyrosse est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[19],[20].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Vincent-de-Tyrosse.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 16 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 789 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 159 sont en aléa moyen ou fort, soit 42 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1988, 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999.

Risques technologiques

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La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[23].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Son nom occitan gascon est Sent Vincenç de Tiròssa[25] [sem.bin.sens.de.ti.rɔ.sə][26]. Familièrement, elle est souvent appelée simplement Semicenç ou Tiròssa[26].

Saint-Vincent-de-Tyrosse, comme Saint-Trosse, Saint-Gor ou Saint-Geours, serait un des « faux saints » si communs dans les Landes. La première mention de la ville est faite dans un document de 843 sous l'appellation Tirosse.[réf. nécessaire]

Préhistoire

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Tumulus du VIIe siècle av. J.-C.

Deux tertres funéraires se trouvaient sur une lande située entre la voie ferrée et l'ancien parc des sports[27]. Ils ont été fouillés au début du XXe siècle par leur propriétaire, qui y a trouvé des poteries[28]. Le terrain a été nivelé en 1967[29]. Dans les années 1970, un sondage a été effectué. Il a révélé une sépulture à incinération de la fin du VIIe siècle av. J.-C.[30] avec une urne fermée d'un couvercle, contenant du sable et des cendres grises, un petit vase accessoire, une fibule en bronze et un bracelet en fer. Toute autre structure avait déjà disparu.

L'urne est un grand vase à panse biconique et à col évasé, avec une bord arrondi légèrement effilé. Il mesure 325 mm de haut pour une ouverture de 300 mm, avec une panse large de 340 mm et un fond de 110 mm de largeur. La paroi, d'environ 8 mm d'épaisseur, est faite d'une pâte plutôt homogène, grise à l'intérieur et beige-brun à l'extérieur ; le dégraissant est imperceptible et les surfaces sont bien lissées. Cette pâte est similaire à celle des urnes de la phase ancienne du « groupe d'Arcachon »[Note 4] (Gironde) et de certaines urnes des Ribérotes (Barbaste, dans l'Agenais)[28].

La forme de la fibule fait la transition entre les fibules à ressort unilatéral (unique sens de torsion, avec l'ardillon qui part de l'extrémité de l'enroulement) et les fibules à ressort bilatéral. C'est la première fibule entière de ce type connue[31].
Le bracelet en fer est une barre de fer à section arrondie, cintrée, à extrémités effilées terminées par des boules enfilées. Cette forme est similaire aux bracelets en bronze launaciens (dépôt de Launac, Hérault), de Briatexte (Tarn), ou de certaines nécropoles comme Bordes-de-Rivière (Haute-Garonne) ou de Mios (Gironde). Les exemplaires en fer sont assez nombreux dans les tumulus du Lot[31]. Son métal confirme la rapidité à laquelle l'usage du fer s'est répandu au détriment du bronze dans le Sud-Ouest de la France[30].

Cette sépulture est vraisemblablement celle d'une femme (le sépultures d'hommes de la même époque contiennent généralement aussi des armes)[31].

Dans les environs

Trois autres tumulus se trouvent à environ 3 km au nord-est du bourg ; il semble qu'ils aient encore été intacts en 1977. Un autre, à 1,5 km vers le sud, a été fouillé vers 1930 par son propriétaire qui y avait découvert une poterie, elle aussi disparue en 1977. D'autres tumulus se trouvent (ou se trouvaient encore en 1977) communes voisines, dont trois à environ 3 km au sud-est du bourg de Saint-Geours-de-Maremne et un à moins de 1 km de Saint-Jean-de-Marsacq[32].

XXe siècle

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En 1939, un camp d’internement est ouvert pour interner les réfugiés espagnols fuyant la dictature franquiste[33].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1904 1929 Alfred de Gorostarzu   Conseiller général du canton de Saint-Vincent-de-Tyrosse de 1910 à 1919
1929 1935 Pierre de Gorostarzu    
1935 1938 Georges Bellocq    
1938 1953 Gabriel Delpuech Rad.  
1953 1971 Albert Dizabo    
1971 1988 René-Jean Labat PS  
juin 1988 juillet 2004 Jean-Claude Sescousse PS Conseiller général du canton de Saint-Vincent-de-Tyrosse de 1998 à 2004
juillet 2004 mars 2014 Michèle Labeyrie PS Conseillère générale du canton de Saint-Vincent-de-Tyrosse de 2011 à 2015
2014 mars 2018
(démission[34] et décès le dimanche 11[35])
Marie Aphatie UMP-LR Vice-présidente de la Communauté de communes de Maremne-Adour-Côte-Sud de 2014 à 2018
mars 2018[36] juillet 2020 Pascal Briffaud LR[37]  
juillet 2020 en cours Régis Gelez PS[38] Chef d'entreprise, suppléant de la sénatrice Monique Lubin

Drapeau de l'Espagne Rincón de Soto (Espagne) depuis 1997[39].

Politique environnementale

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Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[40].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42]. En 2021, la commune comptait 7 956 habitants[Note 5], en évolution de +3,85 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5195565581 211652673754871900
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0831 0711 1921 2151 2651 3161 4551 5621 554
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5701 7611 8231 7471 9022 0162 1302 2422 431
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 9453 2494 0634 4745 0755 3605 9556 7857 585
2015 2020 2021 - - - - - -
7 6617 7987 956------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Après la crise, le retour au développement économique. Saint-Vincent-de-Tyrosse dispose d'un tissu économique diversifié. Forte d'une longue tradition industrielle avec ses usines de chaussure et de traitement du bois, la ville a subi de plein fouet la crise qui a affecté le secteur industriel au début des années 1990. Victimes de la concurrence des pays aux coûts de main-d'œuvre dérisoires, les deux entreprises de fabrication de chaussure, principaux employeurs de la ville, sont contraintes de supprimer près de 400 emplois. C'est toute l'économie du pays tyrossais qui est sinistrée. Cet avenir morose s'est éclairé dès le début des années 2000. La transformation de la ville (réaménagement de l'avenue Nationale et du centre-ville) et l'extension de la zone artisanale et industrielle de Casablanca lui ont donné un nouvel essor, concrétisé par une croissance démographique importante. Le secteur tertiaire s'y est fortement développé ces dix dernières années et l'offre commerciale et de services y est conséquente et variée. Vingt-quatre nouveaux commerçants ont été recensés en 2010 et la Communauté de communes de Maremne-Adour-Côte-Sud a prévendu une douzaine de lots dans la zone d'activité économique Terreblanque dont elle est propriétaire.

Usines à St-Vincent :

  • Séripanneaux (marque Pantyr), stratifiés de bois (depuis 1962 ; 90 p. en 2020).

Lieux et monuments

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  • Église Saint-Vincent-Diacre de Saint-Vincent-de-Tyrosse.
  • Stade La Fougère.
  • Arènes Marcel-Dangou.
  • Le bois de Fontaine[45].
  • Les Jardins de l'humanité[46]. Les Jardins de l'humanité est un jardin-ferme de 8 000 m2 à vocation botanique, thérapeutique, pédagogique et sociale créé en 2015 par l'association « terres océanes, cultures d'humanité ». Labellisé Tourisme et Handicap, il propose depuis 2023 un jardin réservé aux personnes malvoyantes et non voyantes, le jardin Valentin Haüy. Lieu de formation en hortithérapie et permaculture, il accueille également tout au long de l'année des enfants et adultes fragilisés par le handicap ou la maladie pour des séances d'hortithérapie[47].

Personnalités liées à la commune

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Joueurs de rugby à XV

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Naissances à Saint-Vincent-de-Tyrosse

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Saint-Vincent-de-Tyrosse est connue pour ses fêtes landaises, son arène, ses corridas et ses courses landaises.

La vie locale est à son apogée lors des fêtes qui se déroulent du troisième vendredi au quatrième mardi de juillet et celles-ci ne sont pas moins que les troisièmes des Landes en fréquentation après celles de Mont-de-Marsan (préfecture) et de Dax (sous-préfecture). La ville est membre de l'Union des villes taurines françaises.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Saint-Vincent-de-Tyrosse, il y a deux villes-centres (Saint-Vincent-de-Tyrosse et Seignosse) et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Pour une cartographie du « groupe d'Arcachon », voir [Adroit 2014] Stéphanie Adroit, « Dynamiques funéraires et faciès culturels. L'exemple du sud-ouest de la France et du Nord de l'Espagne dans la première moitié du Ier millénaire avant notre ère », Archimède,‎ , p. 203-216 (présentation en ligne, lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr), p. 204.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Le nom des habitants du 40 », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. Archives départementales des Landes, « Archives numérisées - Cadastre / Saint-Vincent-de-Tyrosse », début xixe siècle (consulté le ).
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Saint-Vincent-de-Tyrosse et Saint-Martin-de-Hinx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « St M Hinx Stna-inra » (commune de Saint-Martin-de-Hinx) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « St M Hinx Stna-inra » (commune de Saint-Martin-de-Hinx) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Saint-Vincent-de-Tyrosse », sur insee.fr (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Vincent-de-Tyrosse ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Vincent-de-Tyrosse », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Vincent-de-Tyrosse », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  24. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. « Toponymes occitans », sur locongres.org (consulté le ).
  26. a et b http://www.gasconha.com/spip.php?page=loc&id_loc=8014
  27. « Zone de l'ancien parc des sports à Saint-Vincent-de-Tyrosse, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle sur l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  28. a et b [Arambourou & Mohen 1977] Robert Arambourou et Jean-Pierre Mohen, « Une sépulture sous tumulus du VIIe siècle avant notre ère à Saint-Vincent-de-Tyrosse (Landes) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 74, no 3,‎ , p. 91-96 (lire en ligne [sur persee]), p. 91.
  29. [Arambourou & Thibault 1968] Robert Arambourou et Claude Thibault, « Préhistoire et protohistoire : bilan des recherches dans les Landes en 1967 », Bulletin de la Société de Borda,‎ 2e trim. 1968. Cité dans Arambourou & Mohen 1977, p. 91.
  30. a et b Arambourou & Mohen 1977, p. 93.
  31. a b et c Arambourou & Mohen 1977, p. 92.
  32. Arambourou & Mohen 1977, p. 94.
  33. René Grando, Jacques Queralt, Xavier Febrés, Camps du mépris : des chemins de l’exil à ceux de la Résistance (1939-1945). 500 000 républicains d’Espagne indésirables en France, Llibres del Trabucaire, Perpignan, 1991, 2e édition. (ISBN 2-905828-32-3), p. 62
  34. « Saint-Vincent-de-Tyrosse (40) : Marie Aphatie démissionne de ses fonctions de maire », sur SudOuest.fr (consulté le ).
  35. « La maire de Saint-Vincent-de-Tyrosse Marie Aphatie est décédée », sur SudOuest.fr (consulté le ).
  36. « Saint-Vincent-de-Tyrosse (40) : Pascal Briffaud devient maire », sur SudOuest.fr (consulté le ).
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  38. https://www.sudouest.fr/politique/senatoriales-2023-dans-les-landes-monique-lubin-et-eric-kerrouche-se-representent-15591242.php.
  39. Annuaire des villes jumelées
  40. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  46. « Presse écrite : Rustica Magazine », sur Site de jardins-humanite-terresoceanes ! (consulté le ).
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Article connexe

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Liens externes

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