La commune se compose de 283,77 hectares de territoires artificialisés (8,36 %), 631,13 hectares de territoires agricoles (18,60 %) et 2 478,41 hectares de forêts et milieux semi-naturels (73,04 %)[9].
La superficie de la commune est de 3 381 hectares ; son altitude varie entre 370 et 819 mètres[10].
La forêt occupe donc plus de 70 % du terrain communal[11], couvrant deux massifs opposés dont l'un, le Fossard[12], situé au nord, culmine à 819 m.
Modelés glaciaires et blocs erratiques de Cleurie la Charme[24].
Le site du Massif vosgien, inscrit au titre de la loi du 2 mai 1930, regroupe 14 Schémas de cohérence territoriale (SCOT) qui ont tout ou partie de leur territoire sur le périmètre du Massif des Vosges[25].
Au cours du XXe siècle, deux crues importantes sont à signaler à Remiremont et Saint-Étienne-lès-Remiremont. L'une s'est produite en . 77 ménages, représentant 267 personnes avaient subi des dégâts à la suite de ces inondations. La seconde, d'une ampleur plus faible que la crue de 1947, a eu lieu en . Elle a eu notamment pour conséquence d'inonder le site industriel des filatures de la Madelaine, provoquant ainsi d'importants dégâts[26].
C'est la conséquence du lac depuis la moraine frontale d'un glacier qui butait sur les roches de Noirgueux, la Moselle prenant alors pour déversoir un passage à Raon-aux-Bois qui devint la Niche.
À la Suche, sur la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont, le ruisseau de Purifaing vient lui aussi buter sur le pied de la moraine, ouvrant des brèches, creusant le sable au pied des rochers de Noirgueux et entraînant les remblais qui forment bouchon.
Mais, assez curieusement, il faudra les importantes crues dans le Vaucluse qui, le , avaient causé d’importants dégâts dans la région de Bollène et de Valréas pour que soit engagée une réflexion plus générale sur les politiques de prévention des inondations incluant nos vallées[27].
Un plan de prévention du risque inondation a finalement été arrêté par le préfet des Vosges le [28],[29]. Le PPRI reçu en mairie le implique que la limite des zones affectées de l’indice « i » devant coïncider exactement avec les limites du PPRI. Ces modifications sont alors actées par une modification du PLU[30].
Un syndicat intercommunal de la Moselle[31], qui regroupe neuf communes dont une seulement n'est pas riveraine de la Voie Ferrée, a été créé le [32], pour la remise en état du cours et seuils de rivière de la Moselle et de la Moselotte.
La plupart des communes se sont équipées de stations d’épuration, et la loi sur l'eau et le droit de l'environnement sont fort heureusement devenus plus contraignants pour sauvegarder l'environnement et la protection de l’eau[33].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 630 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 11,1 jours en juillet[44]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vagney », sur la commune de Vagney à 8 km à vol d'oiseau[46], est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 472,7 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 34,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,4 °C, atteinte le [Note 2],[47],[48].
Que s'est-il passé depuis janvier 1971 ? (date d'achèvement des études de faisabilité pour la réalisation du parc nautique sur le site du plan d’eau de Noirgueux)[51] :
les voies rapides d'accès ont été réalisées de Nancy / Épinal à Remiremont (le tracé a respecté les perspectives de projet de lac en « canalisant » la face nord de celui-ci, et d'autres voies sont en cours (vers La Bresse, Bâle-Mulhouse et la Franche-Comté). La réalisation intelligente de la voie express a également canalisé la Moselle en réduisant les zones inondables, ce qui a permis par la même occasion de restituer des terrains à vocation industrielle ;
le tunnel de Sainte-Marie-aux-Mines a été mis aux normes européennes, ce qui ouvre de réelles perspectives de développement interrégionaux et transfrontaliers ;
le canal de l'Est qui, avec ses 394 km en deux parties, était le plus long de France, est - semble-t-il - bien entretenu. Dans un but de promotion touristique, les tronçons ont été renommés respectivement canal des Vosges et canal de la Meuse[52],[53] ;
Après le TGV qui desservait la gare de Remiremont, la LGV Est européenne (Ligne à Grande Vitesse) est devenue une réalité. Ce qui réduit les durées des trajets Remiremont - Paris à 2 h 45, en assurant ainsi un réel désenclavement des vallées ;
Au , Saint-Étienne-lès-Remiremont est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[56].
Elle appartient à l'unité urbaine de Remiremont[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[57],[58]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Remiremont, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[58]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[59],[60].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (73,2 %), prairies (12,6 %), zones urbanisées (7,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %)[61]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Dès 1947, la commune demande l’établissement d’un plan d’aménagement et d’urbanisme en cherchant à y associer les communes de Remiremont et Saint-Nabord, afin de réaliser les équipements nécessaires à l’agglomération dans son ensemble[62].
En 1852, le préfet des Vosges, à la demande de la ville de Remiremont qui a décidé de construire un nouvel abattoir en amont du Pont-le-Prieur[63],[64],[65],[66], rive droite de la Moselle, sur un terrain que lui a cédé à M. Henry Géliot, décide d’annexer cette parcelle de terrain située une partie du territoire de la commune de Saint-Étienne dont la limite naturelle est la Moselle[67].
1971 est la date à laquelle les études de faisabilité pour la réalisation du parc nautique sur le site du plan d’eau dit lac de Noirgueux ont été achevées. Mais le projet, pourtant prévu au plan d'occupation des sols[68], n'a pas, à ce jour, abouti. Le plan d’occupation des sols, qui a précédé l’institution d’un Plan local d’urbanisme indiquait, pour la zone Noirgueux, au chapitre III du Règlement applicable à la zone III NA (Caractère de la zone III NA) « Zone naturelle non équipée, destinée à une urbanisation ultérieure dans le cadre de l’aménagement d’un plan d’eau et des équipements sportifs, touristiques et en général de loisirs qui y sont liés. L’aménagement de la zone III NA sera possible dans le cadre d’une ZAC ou, à défaut, dès la réalisation après modification du POS d’opérations s’inscrivant dans un plan d’aménagement d’ensemble ». Mais l'institution du PLU le n'a pas maintenu ce zonage[51].
En 2023, le Maire de Remiremont lance l'idée de fusionner sa commune avec Saint-Étienne-lès-Remiremont et Saint-Nabord.
Le plan d'urbanisme du Plateau de la May approuvé en 1961, qui avait permis la construction de 100 logements HLM et la mise en preuve d'une politique d'urbanisation fixant des perspectives d'installations collectives, a été le point de départ de l'évolution de l'urbanisme de la commune et la réalisation d'équipements publics :
En 1966, deux projets importants aboutissent : la construction de deux réservoirs et d’une station de pompage et l’agrandissement du réseau d’eau de la commune. Parallèlement l’électrification des derniers écarts de Saint-Étienne-lès-Remiremont est réalisée.
Un périmètre de protection des ouvrages de captage d'eau potable a été arrêté par le préfet des Vosges le [70]. Le besoin de protéger la station de pompage et l'eau de la Moselle de tout risque de pollution a été réaffirmé par l'Association de protection de l'environnement de Saint-Étienne-lès-Remiremont[71] à l’occasion de l’installation d’une usine de bitume[72]. Le périmètre de protection des captages d’eau potable, arrêté par monsieur le préfet des Vosges le disposant que les « limites des périmètres de protection et les servitudes inhérentes soient inscrites dans le PLU sous 18 mois », c'est la raison pour laquelle le zonage a justifié là aussi d'une modification du PLU. Celle-ci n'est intervenue en 2011[30].
Selon les rapports d'étude, les capacités de « production d’eau » répondant à l’essentiel des besoins (si on exclut celle fournies par la ville de Remiremont) la municipalité de Saint-Étienne a estimé que la priorité d’investissement serait le stockage de l’eau par la création d’un nouveau réservoir[73].
En 1993, un assainissement collectif est réalisé par la commune jusqu'au lieudit Saint-Romary, en prévision de l'extension de l'urbanisation de ce secteur et pour permettre, dans l'immédiat, le raccordement des maisons du hameau et du restaurant.
Un plan local d'urbanisme (PLU) approuvé le , dont la dernière procédure a été approuvée le , succède au plan d'occupation des sols[74].
Le PLU a été révisé le [75]. L’enquête publique a été réalisée du au et un rapport établi par M. Jacky Lajoux, commissaire enquêteur[76],[77],[78]. La zone Na, spécialement créée pour l’auberge de Saint Romary étant ainsi définie « seules sont autorisées les constructions et installations liées à la restauration » et le nouveau propriétaire envisageant la construction d’un hôtel, la municipalité estime donc qu'il y a lieu d’adapter le règlement pour répondre à cette éventualité. Cette procédure, conforme à l’article L.123-13 du code de l’urbanisme, vise donc à une modification préalable à une révision prévue pour 2012[79].
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 1 747, alors qu'il était de 1 613 en 1999[a 1].
Parmi ces logements, 93,0 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 61,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 38,2 % des appartements[a 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 58,6 %, en légère hausse par rapport à 1999 (56,9 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 19,2 % contre 20,4 % en 1999[a 3].
2013 L'ancienne caserne Victor est actuellement utilisée pour des bâtiments administratifs (hôtel de ville, poste) et pour le logement collectif. La place d'Armes, terrain stabilisé où le foot a été pratiqué durant de nombreuses années, a été réaménagée pour devenir un lieu de rencontre[80].
Maison de retraite Le Home Fleuri[81]. Cette maison de retraite a été ensuite transformée en une résidence séniors autonomes comportant 33 appartements[82].
Ouverture des cellules commerciales de la zone de la coliche, concourant au développement de l'activité économique.
Le lieu est connu dès le VIIe siècle sous le nom de Sancti Stépha. Remiremont vient du nom de « Romaric » qui fonda, sur le Saint Mont ou mont Habend, deux monastères, un d'hommes et un de femmes[83].
Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée simplement Saint-Étienne, porte le nom de Valmoselle[84].
C'est en 1937 que la précision lès-Remiremont a été ajouté au nom de la commune[84].
Le monastère de femmes, transféré en 870 dans la vallée, est à l'origine de la ville. Exempté en 1070 de la juridiction épiscopale et relevant directement de l'empereur, le chapitre devient un « chapitre noble » très fermé : l'abbesse avait rang de princesse du Saint-Empire. Au XVe siècle, les ducs de Lorraine établirent leur suzeraineté sur le chapitre en prenant le titre de comtes de Remiremont[85], et dont l'érection de la Grande Borne marqua la fin en 1492.
Les Kyriolés. Jusqu’à la Révolution, tous les lundis de Pentecôte, huit paroisses dépendant du chapitre (Dommartin-lès-Remiremont, Ramonchamp, Rupt-sur-Moselle, Saint-Amé, Saint-Nabord, Saint-Étienne, Saulxures-sur-Moselotte et Vagney) envoyaient des jeunes filles qui se présentaient à l’église de Remiremont et y entonnaient des cantiques en français[86],[87].
À la sortie de la ville de Remiremont, à droite de la route qui conduit vers Bussang et Mulhouse se trouve la chapelle de la Madeleine[88]. Il s’agit du centre d’une ancienne léproserie médiévale, créée lors de la seconde épidémie de lèpre en Lorraine. C’est le seul édifice qui reste de ces bâtiments. Le sol de la nef comporte plusieurs pierres tombales. La lèpre, et les guerres successives, réduisirent sa population à 60 habitants en 1710, avant qu'en 1766, Saint-Étienne — comme toute la Lorraine — devienne française.
Autorisation, sous certaines conditions, est donnée les et , par les membres de l’hôtel de ville de Remiremont, aux religieux du Saint-Mont de prendre de l’eau sur les vannes des grands moulins[89] pour fertiliser un de leurs champs sis à la Grande-Borne[90].
Nommée Val Moselle sous la Révolution, elle comptait 1 322 habitants en 1804.
Le , la commune a pris son nom actuel.
La commune a connu une expansion très importante au XXe siècle avec l'industrie textile et, jusque dans les années 1960, une agriculture florissante.
L’industrie textile a eu une forte influence sociale et culturelle sur la vie des vallées vosgiennes aux XIXe et XXe siècles, à Saint-Étienne comme ailleurs[91].
Le , 7 maquisards appartenant au maquis du Haut-du-Bois tombaient dans une embuscade tendue par les troupes allemandes. Aménagé en 1983, le monument de Ménafaing est un lieu de recueillement et de respect en l'honneur des 7 FFI[95] qui y ont glorieusement trouvé la mort[96],[97].
La libération de Remiremont, d'Éloyes et de Saint-Nabord est intervenue le même jour, le par l’armée américaine (36e division d’infanterie). Le , la libération de Saint-Étienne-lès-Remiremont n'a été effective qu'après la Fusillade de Ménafaing[98].
En mars 1945, une délégation américaine est accueillie à Saint-Étienne-lès-Remiremont[99].
Avec 61,21% des voix au 2d tour de l'élection présidentielle à Saint-Étienne-lès-Remiremont, Emmanuel Macron (En Marche!) arrive à la première place. Il devance Marine Le Pen (FN) qui obtient 38,79% des suffrages exprimés.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[116]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[117].
En 2022, la commune comptait 3 814 habitants[Note 7], en évolution de −0,63 % par rapport à 2016 (Vosges : −2,96 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Extrait de la Collection de documents inédits dans l'histoire économique de la Révolution française : Saint-Étienne : page 83 : le document fait état de 2 080 habitants en 1790 et 3 793 en 1944[119].
La commune dispose d'installations sportives très complètes : 3 courts de tennis, 1 parcours sportif/sante
1 plateau-EPS, Salles polyvalentes / des fêtes / non spécialisées, skate park, terrain de football, Terrain de rugby, aire d'atterrissage, Aire de décollage, boucle de randonnée[126]...
La ville a accueilli le Trophée de France des Jeunes Cyclistes 2015
Culte catholique : Le territoire de la commune dépend de la paroissecatholique du Saint-Mont au sein du diocèse de Saint-Dié. Cette paroisse regroupe les clochers de Remiremont, Saint-Nabord et Saint-Étienne-les-Remiremont[127]. Les Stéphanois disposent de six lieux de culte :
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 26 802 €, ce qui plaçait Saint-Étienne-lès-Remiremont au 19 880e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[133].
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : Médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 940 €[134].
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 2 518 personnes, parmi lesquelles on comptait 71,9 % d'actifs dont 63,8 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs[a 4].
On comptait 1 479 emplois dans la zone d'emploi, contre 1 354 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 1 612, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 8] est de 91,7 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu moins d'un emploi par habitant actif[a 5].
Au , Saint-Étienne-lès-Remiremont comptait 263 établissements : 19 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 26 dans l'industrie, 40 dans la construction, 161 dans le commerce-transports-services divers et 17 étaient relatifs au secteur administratif[a 6].
En 2011, 16 entreprises ont été créées à Saint-Étienne-lès-Remiremont[a 7], dont 7 par des autoentrepreneurs[a 8].
La Brasserie artisanale des Vosges (bière de Lorraine), aussi appelée Brasserie La Madelon[141], a été créée en 2000. Elle était précédemment installée dans les murs de l'ancienne Brasserie des Vosges à Dommartin-lès-Remiremont[142].
Le Groupe Livio, Lauréat des Ailes de cristal qui met à l'honneur les acteurs de l'économie locale et régionale en Lorraine[143].
Ce site est situé à cheval sur les territoires des communes de Saint-Étienne-lès-Remiremont et Saint-Amé. Il est inscrit sur l’inventaire des sites par arrêté du , puis sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du [149]. La chapelle du Saint-Mont contient un sarcophage en pierre d'époque mérovingienne qui aurait été réutilisé en 1077 pour l'inhumation de l'abbesse Gunégonde de Remiremont[130].
La Pierre Kerlinkin[150] (En breton, Kerlinkin signifie « la pierre de Merlin »[151]), entre le Morthomme et la chapelle Sainte-Sabine.
Des bornes en grès délimitent les territoires respectifs des chanoinesses et des ducs. Celle dite la « Haute Borne », qui date de 1492, est classée au titre des monuments historiques depuis le [160],[161]. On distingue sur celle-ci les clefs du chapitre des dames, la croix du duché de Lorraine et la date de 1492.
Ferme
Cette ferme, situé au lieu-dit Pré-Peltier date de 1777[162].
Groupe de 17 maisons et fermes
Ces maisons et fermes sont datées des années 1796, 1827, 1843, 1851, 1862 et 1865[163].
Grotte érigée en ex-voto, dans le site derrière l'église, par M. l'abbé Michel et ses paroissiens. Consacrée en 1759, la grotte a été bénie par Monseigneur Émile Blanchet le 6 juin 1943.
La chapelle a été bâtie vers 1730 par les chanoines qui habitaient le Saint-Mont. Cette chapelle, comme en témoigne l’inscription au-dessus de la porte, a été dédiée à sainte Claire[172] (la troisième abbesse du Saint-Mont) et à saint Romaric[173] (l’un des fondateurs du monastère). C’est vers la fin du XIe siècle que le monastère d’hommes disparut.
Étang, creusé en 1731, à proximité de la chapelle Sainte-Claire,
Auberge Saint Romary[174] et ses 4 colonnes du XIe s, et peut-être même antérieures, réemployées dans l'ancienne ferme Saint-Romary.
Pavillon du XVIIIe siècle avec son escalier extérieur clos recouvert de tavaillons, situé entre la chapelle et la ferme restaurant.
À 500 mètres environ de l'auberge de Saint-Romaric, à proximité de l'ancienne ferme de la Piotte, ancienne métairie des chanoines, une petite chapelle construite en 1690[175] et son arbre remarquable[176],
La chapelle des arts de la Suche (chapelle Notre-Dame d’Espérance), construite en 1954[132],[177].
Cette chapelle a été construite au XVIIIe siècle sur l'oratoire primitif, au lieu-dit Sainte-Sabine[180],[181] sur la montagne du Fossard[182],[183], du XVIIIe siècle, avec éléments du XI ou XIIe siècle. Un pèlerinage s'y tient le dernier samedi du mois d'août. À proximité de la chapelle se trouve la fontaine miraculeuse[184].
Autres lieux patrimoniaux :
Pierre « Kerlinkin »[185], située entre le Morthomme et la chapelle Sainte-Sabine[186],[187], datée de l'ère préhistorique, menhir ou pierre dressée, portant des inscriptions druidiques, dans le massif du Fossard[188], vient de cairn (tas de pierres). Deux menhirs dits Pierres-Fittes sont classés monuments historiques par liste de 1889[189].
1884-1892 Construction des casernes Marion et Victor
Saint-Étienne devient Saint-Étienne-lès-Remiremont
Libération de Saint-Étienne – Fusillade de Ménafaing
Septembre 1977 Arrivée de la gendarmerie mobile -5e et 15e BCP[193].
1987 – 1999 : départ et fin du textile – Reconversion économique.
(jour de la Saint-Étienne) : inauguration, en présence du conseil municipal et par MM. Christian Poncelet, Prėsident du Sénat et du conseil général des Vosges, et Jean Valroff, maire, du monument érigé à l'intersection de la Grand'rue et de la rue des 5e et 15e BCP et, par un rappel des grandes dates ayant marqué la localité depuis le VIIe siècle, célèbre son entrée dans le XXIe siècle.
Les légendes, traditions populaires, réalités historiques étayées par des recherches documentaires et archéologiques et de nombreux circuits de randonnées balisés par le « Club vosgien »[194] ont assuré aux différents sites de la commune une notoriété certaine[195],[196].
Tiercé ondé en pairle renversé au premier d'or à une clef et une croix de Lorraine de sable mise en pal ; au deuxième d'or à un clocher de gueules ajouré de sable et couvert d'argent ; au troisième d'argent à la quenouille de gueules mise en fasce[203].
Commentaires : L'emblème stéphanois a été adopté en 1986. L'onde en pairle évoque la confluence des deux rivières, la clé et la croix rappellent l'histoire de la cité, le clocher très particulier est celui de l'église paroissiale construite au XVIIIe siècle et la quenouille représente l'industrie textile qui a présidé au développement de la ville.
J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont,
dépôt légal no 28 Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : Chapitre 1 : Les Temps premiers, Chapitre 2 : Le Monastère sur la montagne, Chapitre 3 : Les Translations dans la Vallée, Chapitre 20 : La Fin
Paul Chevreux et Léon Louis, « Saint-Étienne », dans Le Département des Vosges, description, histoire, statistique, t. VII : Dictionnaire historique et statistique des communes, hameaux, écarts, fermes, Épinal, .
Damien Parmentier, Vosges Massif d’histoire, terre de liberté, Strasbourg, La Nuée bleue / DNA, , 179 p. (ISBN978-2-7165-0667-0)
Plan de la forêt de Fossard au XVe siècle, établissant les limites de propriété des différents terrains : forêts appartenant au roi et au chapitre de Remiremont
Charles Kraemer et Michel Rouillon, Guide historique et archéologique du Saint-Mont et ses environs, Epinal, Groupe de recherches archéologiques des Hautes Vosges (GRAHV),
(en) Nicole Lemaître, Montagnes sacrées d’Europe. Actes du colloque « Religions et montagnes », Tarbes, Publications de la Sorbonne, , 427 p. (ISBN2-85944-516-1)
Actes du colloque "Religion et montagnes", Tarbes, 30 mai-2 juin 2002 / textes réunis et publiés par Serge Brunet, Dominique Julia et Nicole Lemaître. Pages 109 à 119, par Marie-Hélène Colin – Université de Nancy 2 : Des saints vosgiens de la montagne ? Amé, Romaric et Claire p 109; Le Saint-Mont : un haut lieu p 110; Des saints vosgiens de la montagne ? p 111; Le « discours » sur les saints p 112; Des saints vosgiens de la montagne ? p 113; Le culte des saints du Saint-Mont p 113; Les Kyrolés p 116; Carte : les saints du Saint-Mont p 119
Bernard Puton, Promenades aux mégalithes des environs de Remiremont
Charles Kraemer, Le Peuplement des Vallées de Haute-Moselle et de Moselotte au Haut Moyen Âge, , 15 p.
Pierre-Henry Mathieu, La vie rurale et son patrimoine, l’eau, la forêt et l’agriculture de montagne dans la région d’Éloyes, Épinal, Association de recherches archéologiques, histoire et patrimoine d'Éloyes et de ses environs, , 654 p. (ISBN2-9513453-2-1)
3A. Les entités paysagères Autour du Saint-Mont : Au sud du Massif du Fossard; Principaux éléments pittoresques du site et ses abords
3B. découvrir Le Saint-Mont : Accéder et découvrir le Saint-Mont; Composition de la partie sommitale; Les fouilles archéologiques; Les chapelles du Saint-Mont; La Haute-Borne et le Pont des Fées; Le Vieux Saint-Amé,
3C. Le Massif du Fossard : Aux Abords du Saint-Mont; Le domaine de l’abbaye; Les vallons du Xennois et de Miraumont; Le Morthomme et l’ancien ermitage de Saint-Arnould; Le col de la Pierre Kerlinquin; La colline et le vallon Sainte-Sabine; Le Fardeau Saint-Christophe et la Roche des Loups; Le Thin; La Charme et quelques autres sites d’intérêt scientifique majeur
3D. Les Ambiances paysagères
3E. Les Aires visuelles depuis Le Saint-Mont
3F. Les Aires visuelles donnant à voir Le Saint-Mont : Depuis l’espace urbain; Depuis la vallée de la Moselle.
Bibliographie concernant plus particulièrement le mobilier de Saint-Étienne-lès-Remiremont et Remiremont
Helga D. Hofmann, Lothringische Skulptur der Spätgotik, Sarrebrück, librairie Karl Funk,
Bernard Puton, Promenades aux mégalithes des environs de Remiremont
Francis Puton, Fiches documentaires et notices de repérage établies en 1969 sur l’ensemble du patrimoine architectural et mobilier de Saint Étienne lès Remiremont, Service régional de l'inventaire de Nancy
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Remiremont comprend deux villes-centres (Remiremont et Saint-Nabord) et quatre communes de banlieue.
↑À la fin de la guerre 1939-1945, Antoine Dinkel fut, sur avis du comité départemental de libération en raison de son activité au sein du maquis du Haut-du-Bois (Dossier Titres, homologations et services pour faits de résistance à Vincennes pour son service en tant que FFI : Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 186012), désigné par le Préfet pour administrer Saint-Étienne-lès-Remiremont. Élu au scrutin du et maire le , il devient à 31 ans le plus jeune maire de France
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
↑Les Politiques publiques de prévention des inondations : rapport au Premier ministre, La Documentation française, novembre 1999, 56 pages. Descriptif : Rappel des caractéristiques spécifiques ou non des crues (gestion du risque, nécessité d'information et de formation au risque, besoins de structures de débat). Le rapport rappelle la nécessité d'intégrer la notion de risque aux réflexions et aux attitudes des décideurs et des planificateurs, recense les structures de concertation au niveau local et national et propose d'en créer d'autres avec des objectifs, des missions et une organisation administrative précisés. Enfin il propose des ajustements législatifs sur l'indemnisation des catastrophes naturelles.
Page 11. Yves Dauge a été placé auprès de la ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement pour l’exercice de sa mission. Il s’est appuyé sur un groupe de travail validé par la ministre, composé d’élus et d’experts compétents dans le domaine des inondations et composé notamment de MM Philippe Duron, député du Calvados, rapporteur de la loi d’orientation et aménagement durable du territoire ; Thierry Mariani, député maire de Valréas, rapporteur de la commission d’enquête sur les inondations ; Jean Valroff, maire de Saint-Étienne-lès-Remiremont, vice-président de l’association nationale des élus de montagne; Michel Durand, France nature environnement ; Daniel Duband, société hydrotechnique de France ; GIP hydrosystèmes…
↑ a et bEnquête publique réalisée du 30 mai au 28 juin 2011 inclus par le commissaire enquêteur Jacky Lajoux, 1re modification du plan local d »’urbanisme. Rapport du 8 juillet 2011. Page 3 : à la suite de la deuxième révision du PLU approuvée le 5 décembre 2008, il est apparu nécessaire de corriger certaines incohérences et de mettre le PLU en concordance avec différents documents réglementaires
↑La création d’un syndicat intercommunal pour la remise en état du cours de la Moselle a été approuvé par le conseil municipal de Saint-Étienne-lès-Remiremont le 09 juin 1989. Cette proposition avait déjà été formulée en mars 1989 par l’association « Pour une gestion réaliste de la commune » (PGRC) de Saint-Étienne-lès-Remiremont, association enregistrée au répertoire départemental sous le no 11230 (cf. "Lettre d'information des stéphanois", no 2 du 16 juillet 1989)
↑Depuis les années 1980, les trois Communes du Bassin Romarimontain (Remiremont, Saint-Étienne-les-Remiremont et Saint-Nabord) se sont constituées en Syndicat pour épurer leurs eaux usées avant rejet en milieu naturel
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bArgumentaire produit au commissaire enquêteur, dans le cadre de l'enquête publique pour la révision d'un plan local d'urbanisme d'une des communes concernées (Saint-Étienne-lès-Remiremont) : Commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont, Enquête publique sur la révision du Plan local d’urbanisme (2e révision) : Contestation, le 05 février 2008, de certaines orientations du projet de PLU et de l’absence de consultation des instances intercommunales pour les projets liés à la zone de la Moselle. Extrait du rapport du commissaire enquêteur Claude Pierret, 21 mars 2008, p. 15 « Suite au développement de l’argumentaire sur le bien-fondé de projet de lac de « Noirgueux », ses atouts ; le bénéfice à en espérer (…) M. le maire de Saint-Étienne-lès-Remiremont que j’ai interrogé sur ce projet, m’a averti que par délibération du conseil municipal de Saint-Nabord, celui-ci a entériné l’abandon de ce dossier intercommunal. Ceci est également rappelé page 65 du rapport de présentation, point 4,4. »
↑Plan d’occupation des sols : Chapitre III, Règlement applicable à la zone III NA, Caractère de la zone III NA. Zone naturelle non équipée, destinée à une urbanisation ultérieure dans le cadre de l’aménagement d’un plan d’eau et des équipements sportifs, touristiques et en général de loisirs qui y sont liés. L’aménagement de la zone IINA sera possible dans le cadre d’une ZAC ou, à défaut, dès la réalisation après modification du POS d’opérations s’inscrivant dans un plan d’aménagement d’ensemble
↑Première modification du plan local d’urbanisme de la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont : Les délibérations entérinant les avis du Commissaire enquêteur sont les suivantes : no 106 : Périmètres de protection des captages- Protection rapprochée – Constitution de servitudes ; 107 : Protection des captages – Protection immédiate – Acquisition celle – no 108 : Modification du plan local d’urbanisme ; no 109 : Révision simplifiée du P.L.U. En diffusant le rapport et les conclusions du commissaire enquêteur sur la première modification du PLU, les services de la mairie précisent toutefois que « cette modification du PLU ne concerne pas le coteau de Saint-Romary qui fera l’objet de la révision simplifiée »
↑Un permis de construire est accordé le 30 janvier 2013 pour une construction située Chemin de la Promenade des Dames : (dossier no PC 088 415 12 P0032) : « Considérant qu’en l’état actuel, le projet ne respecte pas le plan local d’urbanisme mais qu’il peut y être remédié : « Prescriptions fixées par l’article 2 : L’alimentation se fera par le réseau privé situé sur le chemin de la Promenade des Dames. La parcelle n’étant pas desservie par un moyen d’incendie et la commune n’ayant pas l’intention d’effectuer les travaux, la sécurité incendie sera assurée par l’étang du Moulin situé à environ 35 m à « vol d’oiseau » (…) »
↑J.J. Bammert, * Les Nobles Dames de [Remiremont] 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont (prix Erckmann-Chatrian, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont, (Vosges), 4e trimestre 1971.
↑J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont, .
dépôt légal no 28 Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : Chapitre 15 (10 pages) : Les kyriolés : En 1049, Ode I de Luxembourg étant abbesse, furent institués les Kyrioletzs ou Criaulés, dans les domaines de l’abbaye de Remiremont.
↑(en) Nicole Lemaître, Montagnes sacrées d’Europe. Actes du colloque « Religions et montagnes », Tarbes, Publications de la Sorbonne, , 427 p. (ISBN2-85944-516-1).
Actes du colloque "Religion et montagnes", Tarbes, 30 mai-2 juin 2002 / textes réunis et publiés par Serge Brunet, Dominique Julia et Nicole Lemaitre. Les rites des fêtes de saint Amé et de saint Romaric. pp. 114 à 119 : Les Kyriolés. Dans chaque cantique, saint Romaric est présent. Ainsi, les huit paroisses demandaient au patron de la ville d’entrer dans Remiremont. Vagney invoquait et demandait au saint de lui ouvrir ses portes en ces termes : *Criaulé, ô bienheureux saint Romary. *Criaulé, nous vous demandons vos portes ouvrir. *C’est saint Lambert qui veut entrer par sa bonté. *Et tous ceux qui sont après et prient Dieu (Kyriolés ou Cantiques qui sont chantés à l’église de Mesdames de Remiremont, op. cit). Les représentants de la commune de Saint-Nabord se présentaient et entonnaient : *Criaulé saint Pierre et saint Romary. *Priez pour ceux qui sont ici. *À saint-Nabord donnez l’entrée, ô criaulé, ô criaulé. *En Jésus-Christ, oyez nos vœux. *Et tous les saints, et toutes les saintes, oyez nos vœux.
Pied-terrier de la métairie et des héritages de Miraumont (1662).
Plan topographique de Miraumont, Saint-Étienne, Xennois et du bois Baudoin (XVIIIe s.).
Baux anciens de la métairie de Miraumont (1617-1761). — Reconnaissance des droits que le fermier de Miraumont et les autres habitants de Saint-Étienne, ont de prendre du bois dans la forêt de Miraumont (1634, 4 juillet).
Autorisation, sous certaines conditions, donnée par les membres de l’hôtel de ville de Remiremont aux religieux du Saint-Mont de prendre de l’eau sur les vannes des grands moulins pour fertiliser un de leurs champs sis à la Grande-Borne (1775, 12 et 13 juillet)
↑Pierre Durupt, Hommes et femmes du textile dans les Hautes-Vosges, Remiremont, Société d’histoire de Remiremont et de sa région, , 193 p.
Influences sociales et culturelles de l’industrie textile sur la vie des vallées vosgiennes aux XIXe et XXe siècles, no 130 * Le triomphe du paternalisme patronal moralisateur : b) à Saint-Étienne-lès-Remiremont et à Rupt-sur-Moselle : Un paternalisme imprégné de catholicisme social. « Il ne faut donc pas s’étonner qu’en 1921, ce soient les établissements H. Géliot qui financent l’agrandissement de la tribune de l’église paroissiale. Autres aspects du paternalisme (p. 118) La coopérative Géliot et p. 120 : Le foyer social de la société cotonnière H. Géliot à Saint-Étienne-lès-Remiremont, vers 1950. * Saint-Étienne-lès-Remiremont (pp. 134 à 142) : Les Cités Géliot à Saint-Étienne. La condition ouvrière au XXe siècle. Les 20 cités à 4 logements, édifiées en 1908 par les Ets Géliot, démontrent un souci de rigueur et de régularité avec leur plan en damier. S’impose ici un habitat planifié en fonction de l’espace industriel sans tenir beaucoup compte du caractère préexistant du milieu.
↑Pierre-Henri Mathieu, La Seconde Guerre mondiale dans la région d'Éloyes, Épinal, Association de recherches archéologiques et d'histoire d'Éloyes et dans ses environs, , 513 p. (ISBN2-9513453-1-3)
Chapitre XI-Saint-Étienne-lès-Remiremont, pp. 335 à 351
↑Maurice Nurdin, Marcel Bichotte, Raymond Varoy, André Brosselmeyer, Louis Trinquard, Robert Cipolini, Ernest Pierre
↑De la IIIe République à nos jours, d'après les plaques sur lesquelles ont été inscrits les noms des maires de la commune depuis sa création. Ces plaques en granit sont visibles dans les locaux de l'Hôtel de Ville. L'inauguration de ces plaques a eu lie le .
↑Nommé aux termes d’un arrêté publié au recueil des actes administratifs du département des Vosges no 13 du . C’est la première fois dans le département des Vosges que l’honorariat institué par la loi no 72 1201 du a été conféré.
↑Inscrite sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques le , et en qualité de site inscrit le . Elle est, avec ses abords, située à cheval sur les communes de Remiremont et Saint-Étienne-lès-Remiremont
↑Actes de vol et de vandalisme : chapelle des Arts : trois statues volées et une quatrième cassée du sculpteur contemporain et propriétaire de l'édifice, Daniel Petigenêt (Vosges-Matin, 21 juin 2020)
↑J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont, .
dépôt légal no 28 ; Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : Chapitre 3 : Sainte sabine et la fontaine miraculeuse.
↑Gilbert Altenbach et B. Legrais, Lieux magiques et sacrés d’Alsace et des Vosges : « Les hauts lieux vibratoires de la santé », Steinbrunn-le-Haut, éditions de Rhin, , 327 p. (ISBN2-86339-012-0) :
p. 33 : Les Vosges spirituelles ; pp. 119-124 : Le « Menhir » Kerlinkin, Ondes de vie harmonieuse de la forêt de Frossard et de la chapelle Sainte-Sabine.
↑Monument inauguré le jour de la Saint-Étienne en l’an 2000 : Saint-Étienne rend hommage aux siècles passés. Le granit de ce monument a été offert par la Société granite Leaders.
↑Gabriel Gravier, Lorraine 1, Légendes des Vosges,, Belfort, Collection du Mouton bleu, , 239 p. (ISBN2-905126-01-9).
* pp. 216 à 218 : La chapelle et la fontaine de Sainte Claire, abbesse de Remiremont (canton de Saint-Dié), pèlerinage du 12 août, jour de la fête de Sainte-Claire d’Assise * pp. 24 et 25 : Le Pont des fées de Saint-Étienne et Saint Amé, construction élevée par d’antiques populations pour réunir deux montagnes sacrées ? barrage édifié par les Gaulois ou les Romains ? ou par des moines pour défendre le Saint-Mont ? La tradition populaire, elle, tranche la question et dit que ce pont est, comme son nom l’indique, l’œuvre des fées ! * pp. 108 à 112 : Le Pont des fées de Remiremont. Un château couronna le Saint-Mont, qu’habitaient un jeune seigneur Aimery et la princesse Aliénor, laquelle fut enlevée par le sorcier Marlus qui lui affecta à sa garde un dragon * p. 118, Les fées de l’étang de Xennois * pp. 122 à 128 : La vie légendaire des saint Amé, Romaric, Adelphe et des Saintes Claire et sabine : Les miracles et autres prodigues qui ornent la légende de saint Romaric,…
↑M. Ch. Charton, Les Vosges pittoresques et historiques, Nîmes, C. Lacour, éditeur, 421 p. (ISBN978-2-84692-074-2 et 2-84692-074-5), chap. XIII (« Remiremont, le Saint-Mont et ses monastères »), p. 185-197.
↑Archives départementales des Vosges : Liens utiles Direction régionale des Affaires culturelles de Lorraine, Service régional de l’archéologie de Lorraine ; Service régional de l’Inventaire de Lorraine ; Centre de Documentation du Patrimoine ; Base « Généalogie des Vosges en ligne » ; Conservation régionale des Monuments historiques de Lorraine ; Service territorial de l’Architecture et du Patrimoine des Vosges ; Conservation départementale des antiquités et objets d’art, Base « Mérimée » (ministère de la Culture) : édifices, Base « Palissy » (ministère de la Culture) : objets mobiliers classés…