Bruille-lez-Marchiennes

Bruille-lez-Marchiennes
Bruille-lez-Marchiennes
La mairie et l'église Saint-Samson.
Blason de Bruille-lez-Marchiennes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Jean-Jacques Candelier
2020-2026
Code postal 59490
Code commune 59113
Démographie
Population
municipale
1 350 hab. (2021 en évolution de +3,45 % par rapport à 2015)
Densité 312 hab./km2
Population
agglomération
333 383 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 34″ nord, 3° 14′ 41″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 34 m
Superficie 4,33 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sin-le-Noble
Législatives Seizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bruille-lez-Marchiennes
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bruille-lez-Marchiennes
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Bruille-lez-Marchiennes
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Bruille-lez-Marchiennes

Bruille-lez-Marchiennes est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Bruille-lez-Marchiennes
Pecquencourt Rieulay
Écaillon Bruille-lez-Marchiennes Somain
Auberchicourt Aniche

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Ecaillon ou Scarpe, le Courant de Larrentis, le Courant du Rivage et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Bruille-lez-Marchiennes[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[2].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Bruille-lez-Marchiennes est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française)[Note 2], une agglomération internationale regroupant 56 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[11]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), zones urbanisées (14,2 %), prairies (8,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,4 %), forêts (4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 12, 19, 20 et 112 du réseau de transport Évéole.

La brasserie Leduc est fondée en 1912 par Georges Leduc, les installations sont détruites en 1991 et en 2021[15].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Bruille-lez-Marchiennes

Les armes de Bruille-lez-Marchiennes se blasonnent ainsi :« D'or à la croix engrêlée de gueules »[réf. nécessaire]

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales le , quinze sièges sont à pourvoir ; on dénombre 878 inscrits, dont 817 votants (70,27 %), 11 votes blancs (1,78 %) et 591 suffrages exprimés (95,79 %). La liste d'union de la gauche et de progrès soutenue par le Parti communiste français menée par le maire sortant Jean-Jacques Candelier[16] recueille 430 voix (72,76 %), représentant ainsi treize sièges au conseil municipal contre deux pour la liste L'alternative bruilloise menée par Christophe Dejaigher et ses 161 voix (27,24 %)[17],[18].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Jean-Jacques Candelier au Centre historique minier de Lewarde lors des Quatre jours de Dunkerque 2013.

Le premier maire élu est M. Lesage, en 1790[19].

Jean-Jacques Candelier a notamment été président de la communauté de communes Cœur d'Ostrevent de 1983 à avril 2014, conseiller général du canton de Marchiennes de 1985 à 2008, et député de la seizième circonscription du Nord de 2007 à 2017.

Titulaires de la fonction de maire de Bruille-lez-MarchiennesVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Charles François Régis Dumont (d)années 1800
Louis Joseph Gosselin (d)8 ans
Augustin Joseph Puvion (d)
(années 1750 - )

(mort en cours de mandat)
7 ans
Charles Lesage (d)
(années 1770 - )

(mort en cours de mandat)
33 ans
Emmanuel Défontaine (d)
( - )

(mort en cours de mandat)
10 ans et 2 mois
Par intérim :
Jean-Baptiste Herbage (d)
8 mois
Jules Lemaire (d)
( - )
6 ans et 6 mois
Casimir Lemaire (d)
( - )
6 mois
Jules Lemaire (d)
( - )

(mort en cours de mandat)
2 ans et 3 mois
André Pol (d)2 ans et 3 mois
Casimir Lemaire (d)
( - )
9 mois
Nicolas Brabant (d)10 ans et 6 mois
Charles Hayez (d)8 ans et 4 mois
Alphonse Buisset (d)8 ans et 10 mois
Constant Bourez (d)3 ans et 11 mois
Ernest Guislain (d)2 ans et 4 mois
François Durut (d)
(mort en )
1 an et 7 mois
Emmanuel Correaux (d)années 1910
Raymond Delporte (d)
( - )
32 ans Parti communiste français
Jean-Jacques Candelier[20],[21],[22],[23]
(né le )
En cours47 ans et 8 mois Parti communiste français

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 1 350 habitants[Note 5], en évolution de +3,45 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
510503531606665679683720762
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8158519059731 0581 0511 0701 1201 144
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1941 3561 2561 1521 1971 2171 2431 1931 129
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0671 0921 0341 0411 1291 2131 3021 3301 322
2018 2021 - - - - - - -
1 3651 350-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 673 hommes pour 692 femmes, soit un taux de 50,7 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,4 
2,7 
75-89 ans
5,6 
16,9 
60-74 ans
16,5 
18,3 
45-59 ans
17,6 
21,7 
30-44 ans
21,0 
17,1 
15-29 ans
18,5 
22,9 
0-14 ans
20,4 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

En 2017, la commune est très peu endettée et les impôts locaux n'y ont pas été augmentés depuis vingt ans[30].

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'église Saint-Samson.
  • La motte féodale du XIIe siècle, situé chemin des Masures. À l'époque le monticule était entouré d'enceintes en bois, dans le bas une première enceinte renforcé de fossés constituait la basse cour ; puis une autre enceinte formait la haute cour ; au centre, une tour de guet, également en bois[31].
  • L'oratoire Saint-Roch, chemin Léo-Ferré, restauré en 2022[32].
  • La ferme du Muid à l'époque mérovingienne ; elle était la propriété de l'Abbaye Saint-Calixte de Cysoing et relevait du Prieuré Beaurepaire de Somain.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
Gauthier de Bruille, reconstruit, lors de sa présentation le 2 juin 2024.

La commune a pour géant Gautier de Châtillon[33], également nommé Gauthier de Bruille. Le chevalier Gauthier de Châtillon est attesté en 1116, 1136 et 1162, et meurt en 1163. Le géant est créé en 2001 par les élèves de SEGPA du collège Jean-Zay de Lomme sous la direction de leur professeur Jacques Boulanger. Il s'agit d'un géant tracté en bois, haut de quatre mètres et lourd de cent-cinquante kilos. Il sort notamment à l'occasion de la fête des Boudaines ed'coin. Il devient le parrain de Pelotin le Marchiennois en mai 2010[19]. Détruit dans un incendie survenu le 2 juin 2023 à l'ancien foyer des jeunes Guy-Môquet[34], il est reconstruit en 2024 et présenté à la foire des Boudaines ed'coin un an exactement après sa destruction[35].

La ville possède un club de tennis de table professionnel, le CTT Bruille qui évolue en championnat de France de Pro B pour la saison 2022-2023[36].

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Valenciennes (partie française) comprend une ville-centre et 55 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Bruille-lez-Marchiennes » sur Géoportail (consulté le 20 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Fiche communale de Bruille-lez-Marchiennes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  2. « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Bruille-lez-Marchiennes et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bruille-lez-Marchiennes ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. J.-C. L., « Découvrez l'histoire de la Brasserie Leduc, en cours de démolition », La Voix du Nord, no 24464,‎ , B.
  16. Jean-Louis Bécart, « Jean-Jacques Candelier veut jouer les prolongations », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162,‎ , B.
  17. « Élections municipales, Bruille-lez-Marchiennes », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165,‎ , p. 30.
  18. « Élections municipales 2020 - 1er tour, Bruille-lez-Marchiennes », L'Observateur du Douaisis, no 897,‎ , p. 8.
  19. a et b « Gauthier de Bruille, géant, chevalier et grand seigneur de l'Ostrevent », La Voix du Nord, .
  20. J.-F. Guybert, « Législatives - seizième circonscription du Nord : le député sortant dit adieu à l’Assemblée nationale », La Voix du Nord,  : « Maire de Bruille depuis 1977, il a aussi été conseiller général, de 1985 à 2008, avant de devenir député en 2007, en remplacement de Georges Hage, lui aussi communiste, et d’être réélu en 2012. »
  21. Annuaire des mairies du Nord (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, , 282 p. (ISBN 2-35258-159-1), p. 59 :

    « Appartenance politique : COM »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  22. « Les municipales dans le Douais: premier mandat pour Raphaël Aix, huitième pour Jean-Jacques Candelier », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Près de 30 ans les séparent. À 75 ans, Jean-Jacques Candelier est maire depuis 1977 et le restera. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  23. Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270,‎ , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Bruille-lez-Marchiennes : Parti communiste »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bruille-lez-Marchiennes (59113) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  30. « BRUILLE-LEZ-MARCHIENNES - Jean-Jacques Candelier ne sera pas candidat aux législatives », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  31. Cœur mag' d'Ostrevant numéro 34, avril 2011, page 22
  32. « Bruille-lez-Marchiennes : la chapelle Saint-Roch et le monument aux morts seront rénovés cette année », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne)
  33. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15
  34. « Bruille-lez-Marchiennes : l'ancien foyer des jeunes incendié », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
  35. « Bruille-lez-Marchiennes : Gauthier de Châtillon, le géant emblématique de la commune, va bientôt renaître », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
  36. « Pro »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur fftt.com (consulté le ).