Notre-Dame-de-Bondeville

Notre-Dame-de-Bondeville
Notre-Dame-de-Bondeville
L'ancienne filature de coton, actuel musée industriel de la corderie Vallois.
Blason de Notre-Dame-de-Bondeville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Myriam Mulot
2021-2026
Code postal 76960
Code commune 76474
Démographie
Gentilé Bondevillais
Population
municipale
6 957 hab. (2021 en évolution de −2,44 % par rapport à 2015)
Densité 1 108 hab./km2
Population
agglomération
532 559 hab.
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 21″ nord, 1° 02′ 57″ est
Altitude Min. 19 m
Max. 157 m
Superficie 6,28 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Notre-Dame-de-Bondeville
(bureau centralisateur)
Législatives 5e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Notre-Dame-de-Bondeville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Notre-Dame-de-Bondeville
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Seine-Maritime
Notre-Dame-de-Bondeville
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Notre-Dame-de-Bondeville
Liens
Site web https://www.ville-nd-bondeville.fr/

Notre-Dame-de-Bondeville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la Métropole Rouen Normandie.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de Notre-Dame-de-Bondeville
Le Houlme Houppeville
Saint-Jean-du-Cardonnay Notre-Dame-de-Bondeville
Maromme Déville-lès-Rouen Mont-Saint-Aignan

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par le Cailly.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Notre-Dame-de-Bondeville est desservie par la ligne T2 de l'infrastructure TEOR. Cette ligne permet de rejoindre le centre-ville de Rouen en une vingtaine de minutes.

Les lignes de bus régulières 8, 16 (F4 Ligne Fast depuis le ), 29, 43 et T56 desservent les communes voisines, à une faible fréquence.

La gare de Maromme sur la ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre est située sur les communes de Notre-Dame-de-Bondeville et de Déville-lès-Rouen.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 839 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouen à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Notre-Dame-de-Bondeville est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,8 %), zones urbanisées (29 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8 %), terres arables (5,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,7 %), prairies (2,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 3 425, alors qu'il était de 3 244 en 2014 et de 3 043 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 91,5 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 7,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 59,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 40 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Notre-Dame-de-Bondeville en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) inférieure à celle du département (4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 54,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (54,3 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Notre-Dame-de-Bondeville en 2019.
Typologie Notre-Dame-de-Bondeville[I 2] Seine-Maritime[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 91,5 87,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 4 9,7
Logements vacants (en %) 7,6 8,2 8,2

Le nom de la localité est attesté sous la forme Bundivilla (sans date)[13].

Au fil du temps, elle porta plusieurs appellations : Notre-Dame-de-Bondeville, Bondeville (à la période révolutionnaire), Bondeville-Notre-Dame pour revenir à Notre-Dame-de-Bondeville[réf. nécessaire].

Notre-Dame (le vocable désigne la Vierge Marie) apparaît dans une toponymie importante.

L’histoire de Bondeville est marquée par celle du prieuré des religieuses de l’ordre de Citeaux qui s’y établit vers 1150. Le petit monastère, placé sous le vocable de saint Denis, a parmi ses bienfaiteurs les seigneurs les plus illustres, archevêques, rois de France et d’Angleterre. Le pape Clément XI accorda des indulgences à son église. En 1258, le prieuré comptait une trentaine de religieuses.

En 1472, c’est au tour de Antoine de Chabannes, comte de Dammartin, grand maître de France, d’y loger avec ses troupes. Il part deux jours après en apprenant que toutes les forces de Charles le Téméraire marchent sur Bondeville où elles projettent de s’établir pour attaquer Rouen. En 1657, le monastère est élevé au rang d'abbaye royale, incendié en grande partie en 1778, et rebâti aussitôt en pierre de taille, il est supprimé en 1790.

Temps modernes

[modifier | modifier le code]

Du XVIIIe siècle au XXe siècle, l’industrie cotonnière fait vivre le pays. En 1762, Abraham Pouchet fonde la première fabrique d’indiennes « légales » de la région rouennaise, suivie par de nombreuses usines, blanchisseries ou teintureries qui emploient une main-d’œuvre importante.

Révolution française et Empire

[modifier | modifier le code]

La commune est instituée par la Révolution française par la réunion des paroisses de Saint-Denys et de Notre-Dame est fondée[14].

La commune de Saint-Denis-de-Bondeville est rattachée en 1815

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]
L'ancien tramway de Rouen à la Casse-Gueule.

La ville est desservie dès 1899 par les rames de l'ancien tramway de Rouen.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Rouen du département de la Seine-Maritime.

Elle faisait partie de 1801 à 1982 du canton de Maromme, année où la commune devient le chef-lieu du canton de Notre-Dame-de-Bondeville[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Notre-Dame-de-Bondeville

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Notre-Dame-de-Bondeville était membre de l'Agglomération de Rouen, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé sous le statut de communauté d'agglomération en 1999 et à laquelle la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la Communauté d'agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA), qui s'est transformée en métropole le sous le nom de Métropole Rouen Normandie, dont Notre-Dame-de-Bondeville est désormais membre.

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Lors du second tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime, la liste DVG menée par le maire sortant Jean-Yves Merle a obtenu la majorité des suffrages exprimés, avec 1 139 voix (39,89 %, 21 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant les listes menées respectivement par[16] :
- Joël Benard (SE, 1 102 voix, 38,59 %, 5 conseillers municipaux élus) ;
- Serge Martin-desgranges (PS, 614 voix, 21,50 %, 3 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 45,44 % des électeurs se sont abstenus.

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste LFI menée par la maire sortante Myriam Hulot — devenue maire en septembre 2019 après la démission poir raisons de santé de Jean-Yves Merle — a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 940 voix (50,42 %, 22 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), battant de 16 voix celle sans étiquette menée par Christophe Aubert (924 voix, 49,57 %, 7 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 60,92 % des électeurs se sont abstenus[17].

Lors des élections municipales de 2020, la liste menée par la maire sortante a diffusé un tract titré « Pour nos partenaires associatifs » et sur lequel figuraient les logos de 36 associations locales qui n'avaient pas donné leur accord. Le tribunal administratif de Rouen a jugé que « ce document de propagande électorale a pu laisser penser aux électeurs que la liste « Tous ensemble pour Notre-Dame-de-Bondeville » se prévalait du soutien de l’ensemble de ces associations » et a annulé les élections le [18]. La maire élue est resté en place jusqu'à l'intervention de l'arrêt du Conseil d'État, saisi en appel par la maire invalidée[19], qui a confirmé le le jugement du tribunal administratif[20],[21]. De nouvelles élections sont donc organisées le et, le cas échéant, le [22].
Lors du premier tour des électrons municipales partielles qui se sont donc tenues le , la liste menée par la maire invalidée Myriam Mulot obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, devançant de 199 voix la liste menée par Alain Quibel, une majorité significativement plus importante que lors du scrutin de 2020, mais avec une faible participation de l’ordre de 41 %[23].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1865   Edmond Vaussard   Manufacturier
1872   Charles Mare    
Les données manquantes sont à compléter.
1905 1935 Ferdinand Cartier    
  1939 Louis Duteurtre    
Les données manquantes sont à compléter.
1967 septembre 1982 Marcel Sauvage   Entrepreneur du bâtiment
Décédé en fonctions
septembre 1982 mars 1989 Roger Pougnie[24] UDF  
mars 1989 septembre 2019 Jean-Yves Merle PS puis DVG Cadre d'entreprise retraité
Conseiller général de Notre-Dame-de-Bondeville (1988 → 2015)
Démissionnaire
septembre 2019[25] En cours
(au 17 octobre 2022)
Myriam Mulot LFI puis SE Cadre de l’Education nationale
Vice-présidente de la Métropole Rouen Normandie (2020 → )
Réélue pour le mandat 2021-2026[26],[27],[28]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 6 957 habitants[Note 4], en évolution de −2,44 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8008309491 2491 7901 9372 3852 5272 530
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6402 7512 5062 3512 4182 7412 7262 8592 897
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 0433 1753 3763 4623 3753 3703 3233 5233 695
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
4 4465 7966 3366 7277 5847 6527 2967 2396 987
2015 2020 2021 - - - - - -
7 1316 9666 957------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Notre-Dame.
  • Monument aux morts (1920).
  • Bibliothèque départementale de prêt de la Seine-Maritime.
  • Roseraie de Notre-Dame-de-Bondeville.
  • La corderie Vallois :
    La corderie Vallois, 185 route de Dieppe, est une ancienne usine à tisser du tout début du XIXe siècle, aujourd'hui transformée en musée.
    Son fondateur, Jules Vallois, qui était cordier à Saint-Martin-du-Vivier, dut changer d'usine à la suite du captage du Robec, le cours d'eau local, pour alimenter la ville de Rouen.
    D'abord locataire de la propriété Rondeau, il en devient propriétaire. En 1880, la filature disparaît, remplacée par une corderie mécanique. Jules Vallois installe dans le bâtiment des machines anglaises et françaises. Ces anciennes machines sont actionnées encore aujourd'hui par une roue hydraulique[32].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Notre-Dame-de-Bondeville Blason
De sable à la bande échiquetée d'argent et de gueules de trois tires, chargée d'un besant élargi d'or surchargé d'un lion couronné de sinople[33].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • De l'Ouraille… à Silveison. À la découverte du canton de Notre-Dame-de-Bondeville (préf. Jean-Yves Merle), Association Sylveison, , 236 p.
  • Guy Pessiot, Les communes de l'agglomération de Rouen : De Maromme à Ymare, vol. 2, Rouen, Éd. des Falaises, , 512 p. (ISBN 978-2-84811-063-9).

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Rouen comprend une ville-centre et 49 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Notre-Dame-de-Bondeville et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouen - Jardin » (commune de Rouen) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 724.
  14. « Notre-Dame-de-Bondeville », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) .
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Résultats officiels pour la commune Notre-Dame-de-Bondeville
  17. « Seine-Maritime (76) - Notre-Dame-de-Bondeville », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  18. Manon Loubet, « La justice annule l'élection de la maire de Notre-Dame-de-Bondeville, près de Rouen : Le tribunal administratif de Rouen a annulé les élections municipales de Notre-Dame-de-Bondeville, lundi 21 septembre 2020. Des irrégularités pendant la campagne ont été notifiées », 76 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Le recours contre les élections municipales de Notre-Dame-de-Bondeville devant le Conseil d’État : Le Conseil d’État doit examiner, mercredi 24 mars 2021, le recours déposé par Myriam Mulot, maire de Notre-Dame-de-Bondeville après l’annulation des élections municipales de mars 2020 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Le Conseil d’État confirme l’annulation des élections municipales de Notre-Dame-de-Bondeville : Notre-Dame-de-Bondeville. Le Conseil d’État confirme l’annulation des élections municipales. La préfecture doit fixer la date d’un nouveau scrutin. En attendant, la municipalité ne va gérer que les affaires courantes », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Clemmy Friedrich, « Un soutien électoral un peu trop légèrement revendiqué », La Semaine Juridique, édition Administrations et Collectivités territoriales,‎ 19 avril 2021 actualités no 257.
  22. « Municipales : Cléon et Notre-Dame-de-Bondeville revoteront les 30 mai et 6 juin : Les électeurs de Cléon et Notre-Dame-de-Bondeville, près de Rouen, sont appelés aux urnes pour élire un nouveau conseil municipal le dimanche 30 mai et en cas de second tour, le dimanche 6 juin », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Autrement dit, la présente décision juge que le fait de revendiquer indument le soutien de tiers dont la notoriété est susceptible de concourir à la légitimation du candidat prétendument soutenu peut être constitutif d'une manœuvre électorale. En espèce, le Conseil d'État a estimé que, compte tenu du faible écart de voix entre les deux listes concurrentes (16 voix sur un total de 1 864 suffrages exprimés), la sincérité du scrutin a été altérée dans des conditions justifiant l'annulation des résultats électoraux ».
  23. Sylvain Auffret, « Municipales 2021. Myriam Mulot réélue maire à Notre-Dame-de-Bondeville : La maire, dont l’élection avait été annulée, a été réélue avec une avance plus confortable que la précédente fois. Le taux de participation a été sensiblement plus élevé également », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Hommage à Roger Pougnie : Roger Pougnie, maire honoraire, s'est éteint dans sa 82e année », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne) « Roger Pougnie a été adjoint au maire à partir de 1971, sous le mandat de Marcel Sauvage. En septembre 1982, après le décès de Marcel Sauvage, il prend les fonctions de maire. En 1983, il est élu de nouveau maire jusqu'en 1989 ».
  25. Sophie Bogatay, « Notre-Dame-de-Bondeville : Myriam Mulot succède au maire Jean-Yves Merle démissionnnaire : La première adjointe succède à Jean-Yves Merle qui a choisi de démissionner de son poste de maire pour des raisons de santé, trente ans après avoir été élu », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne) « Lors d’une séance de conseil municipal soigneusement préparée, Myriam Mulot, première adjointe depuis mars 2018, a officiellement succédé au maire Jean-Yves Merle, 76 ans, qui a choisi de quitter cette fonction et restera simple conseiller municipal. La démission de l’ancien maire, souffrant depuis de longs mois, avait été acceptée par le préfet le 3 septembre 2019 et depuis, Myriam Mulot, 45 ans, assurait l’intérim. Face à la candidature de Joël Bénard (opposition) elle a été élue, à bulletin secret et passage dans l’isoloir, avec 17 voix (9 pour Joël Bénard et 3 bulletins blancs) ».
  26. « Municipales à Notre-Dame-de-Bondeville : Myriam Mulot se porte candidate : Après avoir succédé au maire Jean-Yves Merle en septembre 2019, Myriam Mulot veut poursuivre son engagement à la tête d’une liste largement renouvelée », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « https://www.paris-normandie.fr/actualites/politique/municipales-a-notre-dame-de-bondeville-myriam-mulot-se-porte-candidate-EE16214022 ».
  27. Réélue pour le mandat 2020-2026 : « Municipales 2020. Myriam Mulot, maire de Notre-Dame-de-Bondeville : Myriam Mulot a repris ses fonctions de maire. Pour cette mandature est sera entourée d’une équipe renouvelée », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pour l’élection du maire, deux candidats se sont présentés : Myriam Mulot a été élue par 22 voix de sa majorité et Christophe Aubert (opposition) a comptabilisé les sept voix de son groupe ».
  28. Réélue pour le mandat 2021-2026 : « Myriam Mulot s’est installée dans son fauteuil de maire de Notre-Dame-de-Bondeville : Myriam Mulot a officiellement pris ses fonctions de maire de Notre-Dame-de-Bondeville à l’issue du conseil municipal, vendredi 4 juin 2021 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Site du musée industriel de la corderie Valois
  33. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.